La science de l'esprit: principes généraux de philosophie pure et appliquée, Volume 1 |
From inside the book
Results 1-5 of 72
Page x
... donne pour le dernier mot de la science je ne sais quels romans astronomiques et géologiques . On ne voit partout que les lois des êtres bruts et le règne de la fatalité , on oublie , on rejette les lois morales et leur carac- tère ...
... donne pour le dernier mot de la science je ne sais quels romans astronomiques et géologiques . On ne voit partout que les lois des êtres bruts et le règne de la fatalité , on oublie , on rejette les lois morales et leur carac- tère ...
Page 5
... donne ces définitions ; et néanmoins , toutes différentes qu'elles sont , elles paraissent également répondre au senti- ment commun sur la philosophie . De tout temps on l'a regardée comme renfermant la connaissance de soi- même ; de ...
... donne ces définitions ; et néanmoins , toutes différentes qu'elles sont , elles paraissent également répondre au senti- ment commun sur la philosophie . De tout temps on l'a regardée comme renfermant la connaissance de soi- même ; de ...
Page 7
... donne , par les applications diverses qu'elle en fait selon les besoins et le génie des âges . Après avoir expliqué , par Socrate et Pla- ton , les rapports moraux de la vie humaine , elle saisit , par Plotin et surtout saint Augustin ...
... donne , par les applications diverses qu'elle en fait selon les besoins et le génie des âges . Après avoir expliqué , par Socrate et Pla- ton , les rapports moraux de la vie humaine , elle saisit , par Plotin et surtout saint Augustin ...
Page 15
... donne , disait Descartes , de l'étendue et du mouvement , et je ferai un monde . » Y a - t - il dans ce mot célèbre autant de vérité que de confiante audace ? Dépouiller les corps , même les végétaux et les animaux , de toute force , de ...
... donne , disait Descartes , de l'étendue et du mouvement , et je ferai un monde . » Y a - t - il dans ce mot célèbre autant de vérité que de confiante audace ? Dépouiller les corps , même les végétaux et les animaux , de toute force , de ...
Page 25
... donne les organes de l'ani- mal complet : il reste seulement plus petit que le tout primitif . En l'absence de centres organiques , l'unité d'action résulte de l'accord sympathique des parties . Que l'on coupe par le milieu une planaire ...
... donne les organes de l'ani- mal complet : il reste seulement plus petit que le tout primitif . En l'absence de centres organiques , l'unité d'action résulte de l'accord sympathique des parties . Que l'on coupe par le milieu une planaire ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
absolu actes action activité affections animaux appelle besoin caractère cause cerveau change choses commun complète condition connaissance connaître conséquent considérer contraire corps d'être degré dernier détermine développement Dieu différentes dire distinction distingue diverses divine doit donne doute effet également éléments elle-même enfin entière erreurs espèces esprit essentielle exemple facultés faux fonctions fond force forme général genre hommes humaine idées images infiniment intérieure jugement l'activité l'âme l'amour l'autre l'esprit l'être l'existence l'homme l'idée l'infini l'intelligence l'une l'unité liberté libre lui-même manière manifeste matière ment monde montre morale mouvement moyen n'en nature naturelle nécessaire nombre objets ordre organes parfaite particulier passe pensée perfection philosophie physique porte pourrait premier propre propriétés puissance puisse pure qu'une qualités quantité raison rapport réalité réelle règne représente reste rien s'il saisir science sens sensible sentiment serait seule simple social société sorte spirituelle substance suite sujet supérieure système terme tion trouve vérité vivante voit volonté vrai
Popular passages
Page 494 - Et comme la multitude des lois fournit souvent des excuses aux vices, en sorte qu'un état est bien mieux réglé lorsque, n'en ayant que fort peu, elles y sont fort étroitement observées...
Page 132 - ... celle, ô Socrate, qui est la fin de tous ses travaux précédents : beauté éternelle, non engendrée et non périssable, exempte de décadence comme d'accroissement, qui n'est point belle dans telle partie et laide dans telle autre, belle seulement en tel temps...
Page 326 - Semblable à la statue de Glaucus, que le temps, la mer et les orages avaient tellement défigurée qu'elle ressemblait moins à un dieu qu'à une bête féroce...
Page 477 - Certainement cette méthode serait belle, mais elle est absolument impossible, car il est évident que les premiers termes qu'on voudrait définir en supposeraient de précédents pour servir à leur explication, et que de même les premières propositions qu'on voudrait prouver en supposeraient d'autres qui les précédassent; et ainsi il est clair qu'on n'arriverait jamais aux premières.
Page 107 - Prenons, par exemple, ce morceau de cire : il vient tout fraîchement d'être tiré de la ruche, il n'a pas encore perdu la douceur du miel qu'il contenait, il retient encore quelque chose de l'odeur des fleurs dont il a été recueilli...
Page 494 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle, c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 132 - ... comme un animal, ou la terre , ou le ciel , ou toute autre chose, qui est absolument identique et invariable par elle-même, de laquelle toutes les autres beautés participent, de manière cependant que leur naissance ou leur destruction ne lui apporte ni diminution, ni accroissement, ni le moindre changement....
Page 131 - Mais auparavant que j'examine cela plus soigneusement, et que je passe à la considération des autres vérités que l'on en peut recueillir, il me semble très à propos de m'arrêter quelque temps à la contemplation de ce Dieu tout parfait, de peser tout à loisir ses merveilleux attributs, de considérer, d'admirer et d'adorer l'incomparable beauté de cette immense lumière au moins autant que la force de mon esprit, qui en demeure en quelque sorte ébloui, me le pourra permettre.
Page 494 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre...
Page 115 - Ces vérités éternelles que nos idées représentent sont le vrai objet des sciences; et c'est pourquoi, pour nous rendre véritablement savants, Platon nous rappelle sans cesse à ces idées où se voit, non ce qui se forme, mais ce qui est, non ce qui s'engendre et se corrompt, ce qui se montre et passe aussitôt, ce qui se fait et se défait, mais ce qui subsiste éternellement.