Oeuvres posthumes de Marmontel... Imprimées sur la manuscrit autographe de l'auteur. Mémoires, Volume 3Chez Xhrouet, 1846 |
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... 'est le sujet qui lui donne le ton , et son caractère est pris dans la nature . : Il est naturel à l'homme de chanter : voilà le genre de l'ode établi . Quand , comment , et d'où lui vient 2 ÉLÉMENTS DE LITTÉRATure .
... 'est le sujet qui lui donne le ton , et son caractère est pris dans la nature . : Il est naturel à l'homme de chanter : voilà le genre de l'ode établi . Quand , comment , et d'où lui vient 2 ÉLÉMENTS DE LITTÉRATure .
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... voilà ce qui caractérise l'ode . Lechant nous est inspiré par la nature , ou dans l'enthousiasme de l'admiration , ou dans le délire de la joie , ou dans l'ivresse de l'amour , ou dans la douce rêverie d'une âme qui s'abandonne aux ...
... voilà ce qui caractérise l'ode . Lechant nous est inspiré par la nature , ou dans l'enthousiasme de l'admiration , ou dans le délire de la joie , ou dans l'ivresse de l'amour , ou dans la douce rêverie d'une âme qui s'abandonne aux ...
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Jean François Marmontel. tous mortels , et que Dieu nous jugera tous . » Voilà le précis de cette ode . Horace débute comme Rousseau , dans les leçons qu'il donne à la jeunesse romaine , sur l'inégalité apparente et sur l'égalité réelle ...
Jean François Marmontel. tous mortels , et que Dieu nous jugera tous . » Voilà le précis de cette ode . Horace débute comme Rousseau , dans les leçons qu'il donne à la jeunesse romaine , sur l'inégalité apparente et sur l'égalité réelle ...
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... voilà l'inspiration tranquillé . Est - ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui - même . Voilà l'inspiration prophétique . Mais il faut bien se consulter avant de prendre un si rapide essor : par exemple , il ne convient pas à ...
... voilà l'inspiration tranquillé . Est - ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui - même . Voilà l'inspiration prophétique . Mais il faut bien se consulter avant de prendre un si rapide essor : par exemple , il ne convient pas à ...
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... voilà comme leur audace ose enfreindre toutes les lois . Que peut - il y avoir de sacré pour eux ? Ils ont dérobé le feu du ciel ; et de là ce déluge de maux qui ont inondé la terre et précipité les pas de la mort . N'a - t - on pas vu ...
... voilà comme leur audace ose enfreindre toutes les lois . Que peut - il y avoir de sacré pour eux ? Ils ont dérobé le feu du ciel ; et de là ce déluge de maux qui ont inondé la terre et précipité les pas de la mort . N'a - t - on pas vu ...
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Common terms and phrases
âme Anacréon Aristophane Aristote arts assez aurait beau beauté caractère cause chant charme choses Cicéron Cinna comédie comique Corneille Crassus crime Démosthène dieux doit donner éloquence Épaminondas épique esprits eût exemple fable force génie genre gloire goût Grecs Hécube hémistiche héros Homère hommes Horace ïambes idées imiter Italiens jamais l'action l'âme l'amour l'Arioste l'art l'autre l'éloquence l'épopée l'esprit l'expression l'harmonie l'homme l'ode l'orateur l'oreille l'un l'usage laisse langage langue lui-même lyrique malheur ment Mérope merveilleux mesure Métastase modèle mœurs Molière mouvements moyens musique nature naturel non-seulement objet odes Orat oratoire pantomime parler passions pathétique peindre peinture pensée personnages peuple philosophie Pindare plaisir poëme poésie poëte poétique prose prosodie qu'un quæ quelquefois Quinault Quintilien raison ridicule rien rime Rodogune satire scène semble sensible sentiment serait seul simple situation Sophocle spectacle spectateur stance style sublime sujet syllabes système talent théâtre tion tragédie tragique vérité veut vices Virgile voilà Voltaire vraisemblance Zaïre
Popular passages
Page 244 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Page 205 - Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.
Page 214 - ... laissait rien à la fortune de ce qu'il pouvait lui ôter par conseil et par prévoyance; mais au reste si vigilant et si prêt à tout, qu'il n'a jamais manqué les occasions qu'elle lui a présentées; enfin un de ces esprits remuants et audacieux qui semblent être nés pour changer le monde.
Page 12 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide. De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé. Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez- vous ces enfants et ces femmes?
Page 217 - L'un, dès qu'il parut dans les armées, donne une haute idée de sa valeur, et fait attendre quelque chose d'extraordinaire, mais toutefois s'avance par ordre, et vient comme par degrés aux prodiges qui ont fini le cours de sa vie : l'autre, comme un homme inspiré, dès sa première bataille s'égale aux maîtres les plus consommés. L'un, par de vifs et continuels efforts, emporte l'admiration du genre humain, et fait taire l'envie : l'autre jette d'abord une si vive lumière, qu'elle n'osait...
Page 469 - En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux : Ce qu'ils peuvent n'est rien ; ils sont comme nous sommes, Véritablement hommes, Et meurent comme nous.
Page 122 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte, j'en murmure; L'air même que vous respirez, Avec trop de plaisir passe par votre bouche ; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Page 469 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Page 347 - L'imbécile Ibrahim, sans craindre sa naissance, Traîne, exempt de péril, une éternelle enfance. Indigne également de vivre et de mourir, On l'abandonne aux mains qui daignent le nour[rir".
Page 12 - Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes...