DU CHRISTIANISME OU CONFÉRENCES SUR LA RELIGION, PAR M. D. FRAYSSINOUS, ÉVÊQUE D'HERMOPOLIS, PREMIER AUMÔNIER DU ROI. In necessariis unitas, in dubiis libertas, in omnibus caritas. Dans les choses nécessaires unité, dans les CHEZ VANLINTHOUT ET VANDENZANDE. AU ROI. SIRE, TÉMOIN des ravages de l'impiété, le chrétien ne saurait étre sans alarmes pour l'avenir; mais son espérance se ranime, quand il porte ses regards sur ce tróne de saint Louis, où, après tant de siècles, sont encore assises les mémes vertus. Il ne peut croire que la foi de ses pères soit destinée à périr chez une nation à qui le ciel a rendu de tels Princes. Heureux les peuples, SIRE, lorsque la religion, qui est leur premier besoin, trouve son appui dans les exemples plus encore que dans la politique de ceux qui les gouvernent! Ministre de cette religion sainte, il nous a été donné de la défendre dans la chaire de vérité. |