Oeuvres choisies de M. de Chateaubriand, Volume 14 |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Common terms and phrases
aime âme amour anciens animaux assez avoit avons beau beauté belle bonheur caractère cause chanter CHAPITRE charme cherche chose chrétiens christianisme ciel corps côté cour créé d'autres dernier Dieu dieux dire divine dogme doit donne doute effet enfants Enfin étoient étoit eût existe femme fils fond font force forme génie Grecs hommes humain idées Indiens infinie insectes j'ai jeune jours l'âme l'amour l'esprit l'homme l'univers laisse lieu livres lui-même lumière main malheur manière matière ment mère merveilleux milieu mille monde montagne montre morale mort mouvement mystères nature naturellement nécessaire nuit objets oiseaux ouvrage parler passé passions peine pensée père petits peuples peut-être philosophes place poëte porte premier présent preuve propre qu'un raison rapport religion reste rien s'il saint seconde semble sentiments sera seroit seul siècle soleil sorte suit sujet terre tion tirer tombe tombeau touchant tour traits trouve vérité vertu vient voix Voyez yeux
Popular passages
Page 293 - Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines : C'est le sang de vingt rois , tous chrétiens comme moi ; C'est le sang des héros défenseurs de ma loi ; C'est le sang des martyrs....
Page 367 - L'imagination est riche, abondante et merveilleuse; l'existence pauvre, sèche et désenchantée. On habite, avec un cœur plein, un monde vide; et, sans avoir usé de rien, on est désabusé de tout.
Page 293 - T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux. Ton Dieu que tu trahis, ton Dieu que tu blasphèmes, Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes; En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres : Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
Page 338 - Ah ! combien frémira son Ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Page 104 - Le nœud de notre condition prend ses replis et ses tours dans cet abîme ; de sorte que l'homme est plus inconcevable sans ce mystère que ce mystère n'est inconcevable à l'homme.
Page 238 - Le jour n'y finit point, et la nuit, avec ses sombres voiles, y est inconnue : une lumière pure et douce se répand autour des corps de ces hommes justes, et les environne de ses rayons comme d'un vêtement.
Page 88 - Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l'Eternel, ton Dieu, tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l'étranger qui est dans tes portes.
Page 20 - ... dans cette partie où la vérité se fait entendre , nous y verrons quelque image de la Trinité que nous adorons. La pensée, que nous sentons naître comme le germe de notre esprit, comme le fils de notre intelligence , nous donne quelque idée du Fils de Dieu conçu éternellement dans l'intelligence du Père céleste. C'est pourquoi ce Fils de Dieu prend le nom de Verbe...
Page 428 - J'entends par peuple la populace, qui n'a que ses bras pour vivre. Je doute que cet ordre de citoyens ait jamais le temps ni la capacité de s'instruire; ils mourraient de faim avant de devenir philosophes. Il me paraît essentiel qu'il y ait des gueux ignorants. Si vous faisiez valoir comme moi une terre, et si vous aviez des charrues, vous seriez bien de mon avis.
Page 260 - No las damas, amor, no gentilezas de caballeros, canto, enamorados, ni las muestras, regalos y ternezas de amorosos afectos y cuidados; mas el valor, los hechos, las proezas de aquellos españoles esforzados, que a la cerviz de Arauco no domada pusieron duro yugo por la espada.