 | France - 1856 - 1066 pages
...toujours nobles et grandes, qui m'avez montré la beauté véritable et dégoûté des attachemens vulgaires. C'est vous qui m'avez appris à fuir les sentiers de la foule, et, au lien d'élever ma fortune, à tâcher d'élever mon cœur. Grâce à vos leçons, je me suis complu... | |
 | 1856 - 472 pages
...COUSIN. Anne de Bourbon, Marie de Rohan, Marthe du Vigean, Louise de la Fayette, sœur Sainte-Euphémie, c'est vous qui m'avez appris à fuir les sentiers de la foule. Muses gracieuses ou sévères, mais toujours nobles et grandes, soutenez-moi dans les épreuves qui... | |
 | Armand De Pontmartin - Critica - 1859 - 434 pages
...l'âme mûr. Nous' l'avouons : nous ne quittons pas sans regret c et aimable e généreux commerce; soyez bénies, en nous séparant, Muses gracieuses...vos leçons, je me suis complu dans une pauvreté fiére; j'ai perdu sans murmure tous les prix de ma vie, et j'ai été trouvé fidèle à une grande... | |
 | Édouard Marie comte de Barthélemy - 1859 - 442 pages
...tou« jours nobles et grandes, qui m'avez montré la beauté vé« ritable et dégouté des attachemens vulgaires. C'est vous « qui m'avez appris à fuir...la foule, et, au « lieu 'd'élever ma fortune , à lâcher d'élever mon cœnr. « Grâce à vos leçons, je me suis complu dans une pauvreté « fière;... | |
 | Édouard Marie comte de Barthélemy - 1859 - 444 pages
...grandes, qui m'avez montré la beauté vé« rilable et dégouté des allachemens vulgaires. C'est vous a qui m'avez appris à fuir les sentiers de la foule,...lieu 'd'élever ma fortune , à tâcher d'élever mon cœnr. « Grâce à vos leçons, je me suis complu dans une pauvreté « fière; j'ai perdu sans murmure... | |
 | Madame Swetchine (Anne-Sophie) - Catholic converts - 1862 - 558 pages
...l'âge mûr. Nous l'avouons : nous ne quittons pas sans regret cet aimable et généreux commerce. Soyez bénies, en nous séparant, muses gracieuses ou sévères , mais toujours nobles el grandes, qui m'avez montré la beauté véritable et dégoûté des attachements vulgaires . C'est... | |
 | Armand comte de Pontmartin - French literature - 1867 - 740 pages
...l'œil des hommes ne reverra plus... Soyez bénies, en nous séparant, Muses gracieuses ou sévéres, mais toujours nobles et grandes, qui m'avez montré...de la foule, et, au lieu d'élever ma fortune, à lâcher d'élever mon cœur. Grâce à vos leçons, je me suis complu dans une pauvreté fiére (50,000... | |
 | Armand comte de Pontmartin - French literature - 1867 - 380 pages
...l'œil des hommes ne reverra plus... Soyez bénies, en nous séparant, Muses gracieuses ou sévéres, mais toujours nobles et grandes, qui m'avez montré la beauté véritable et dégoûté des atlachements vulgaires. C'est vous qui m'avez appris à fuir les sentiers de la foule, et, au lieu... | |
 | Victor Hyacinthe G. Des Diguères - 1870 - 614 pages
...de l'âge mûr. Nous l'avouons, nous ne quittons pas sans regret cet aimable et généreux commerce. Soyez bénies en nous séparant , muses gracieuses...vous qui m'avez appris à fuir les sentiers de la l'ouïe , et au lieu d'élever ma fortune , à tâcher d'élever mon cœur. « Grâce à vos lerons... | |
 | John Macray - French language - 1870 - 258 pages
...de l'age mur. Nous l'avouons ; nous ne quittons pas sans regret cet aimable et généreux commerce. Soyez bénies en nous séparant, muses gracieuses...m'avez montré la beauté véritable et dégoûté des attachemens vulgaires. C'est vous qui m'avez appris à fuir les sentiers de la foule, et au lien d'élever... | |
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Nous l'avouons : nous ne quittons pas sans regret cet aimable et généreux commerce. Soyez bénies, en nous séparant, Muses gracieuses ou sévères, mais toujours nobles et grandes, qui m'avez montré la beauté véritable et dégoûté des attachements... 
