Page images
PDF
EPUB

5° un Apôtre; 6o, 7°, 8°, 9o, six Têtes de moines | ici; nous nous sommes bornés à les envoyer à notre correspondant.

camaldules.

QUESTIONS ET RÉPONSES.

Mon cher directeur,

A. DE G.

[ocr errors]

Puisque vous avez bien voulu mentionner le résultat de mes récentes investigations sur les artistes des XVI et XVIIe siècles qui appartiennent au protestantisme français, et notamment sur Salomon DE BROSSE, Soyez assez bon pour demander aux lecteurs de la Correspondance littéraire de me venir en aide dans les recherches que je poursuis toujours sur ce même personnage si célèbre de пот, - si peu et si mal connu de fait, quant à sa biographie et à son œuvre. Toute communication me serait précieuse; mais j'appelle surtout votre attention sur les points suivants. On n'a pu me signaler de portrait gravé de Salomon de Brosse. N'en existerait-il pas parmi les portraits non gravés et innommés des peintres ses contemporains et collaborateurs, Philippe de Champaigne et Rubens? Connaît-on quelque estampe ou tableau représentant la pose de la première pierre du portail Saint-Gervais par Louis XIII, le 24 juillet 1616? Tous les comptes et autres documents relatifs à la construction des divers monuments élevés par de Brosse (le Luxembourg, le portail de Saint-Gervais, la grande salle du Palais de Justice, l'aqueduc d'Arcueil, le Temple de

Charenton, les châteaux de Monceaux et de Coulommiers, etc., sont-ils aujourd'hui perdus, comme on l'assure? Existe-t-il des descendants de MM. Cesar et Anthoine de Montdésir, de Lucy le Boccage, près Château-Thierry, qui épousèrent, en 1644, les deux petites-filles de de Brosse? A quel ouvrage in-folio peut se rattacher une planche signée Salomon de Brosse, gravée par Michel Lasne, vers 1623, et représentant le pape Grégoire XV assis sur un trône au milieu d'un arc de triomphe? etc., etc. Tout à vous.

CHARLES READ.

Nous avons reçu de plusieurs de nos lecteurs que nous remercions diverses communications relatives à Ganneau, le prophète de l'Évadaïsme, sur lequel on nous avait demandé des renseignements. Leur longueur ne nous a pas permis de les insérer

NÉCROLOGIE.

MM. de Salvandy, membre de l'Académie française; Ziegler, peintre d'histoire; l'abbé Martin, archéologue distingué, mort à Ravenne; John B. Greene, savant égyptologue; C. Bassi, savant entomologiste milanais.

BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.

Euvres choisies de Paul Reynier, précédées d'une notice biographique par M. l'abbé A. BAYLE. Marseille, 1856, in-8.

Une triste pensée s'attache à ce livre. M. Paul Reynier est mort à Paris au mois de mars dernier, avait accompagné M. de Lesseps. Né à Marseille au retour d'un voyage à l'isthme de Suez où il le 10 mai 1832, il avait vingt-quatre ans. En parcourant ce volume où une main pieuse et amie a recueilli des pièces d'une valeur parfois trèsinégale, on trouve le cachet d'un talent incontestable. Ces poésies dont les unes païennes, appartiennent à l'école d'André Chénier, dont les autres sont empreintes de la plus ardente des dévotions méridionales, se distinguent beaucoup plus par la pureté de la diction, l'harmonie et l'élévation des sentiments, que par l'originalité. Celles qui nous ont le plus frappé, sont Mater purissima, hymne plein de grâce et de suavité; Ilus, étude antique, et Théos et Pathmos. Voici, pour en donner une idée au lecteur, le commencement de pouvoir citer tout entière. cette dernière pièce que nous regrettons de ne

Près des bords fortunés où la vague aplanie
Expire mollement sous les pins d'Ionie,
La riante Téos découpe les flots bleus.
De bocages mouvants gracieuse corbeille,
Elle semble flotter sur l'onde qui sommeille,
Comme on peint d'Apollon le berceau fabuleux.
Au sein des mêmes eaux, sur la rive écumante
Que bat à coups pressés l'aile de la tourmente,
Pathmos entend la mer gronder avec fracas.
On dirait, à ses flancs ceints de noires ténèbres,
Que sillonne l'éclair de ses lueurs funèbres,
Un cercueil entouré des flambeaux du trépas.

Deux ombres de vieillards habitent ces asiles.
Le nautonnier les voit, dominant les deux îles,
Fantômes lumineux, éclairer son chemin.
L'un repose son front plein d'un vague sourire
Sur son bras arrondi qui soutient une lyre,

Et, près du flot dormant, dort la coupe à la main.
Livrant sa draperie au souffle des tempêtes,
L'autre tient le cinnor des antiques prophètes,
Il chante, et ses accents ne sont pas d'un mortel;
Car de sa grande voix qui monte dans l'orage
Il domine le bruit des vagues sur la plage,
Il domine le bruit des foudres dans le Ciel.

II. TÉOS.

Berceau d'Anacréon, salut, île sereine,
Arbres verts où pendait son luth mélodieux,
Rives qui sous ses pas amollissiez l'arène,
Et qui fermiez sur lui vos bois voluptueux.

PATHMOS.

De Jean le bien-aimé, salut, exil sévère;
Coteaux dont la rudesse offensait ses pieds nus,
Vous qui lui rappeliez ce chemin du Calvaire
Dont il gravit la pente à côté de Jésus.
TÉOS.

O mer, t'en souvient-il? sous sa nef adorée,
Tes flots avec amour glissèrent bien des fois,
Quand, sur une galère à la poupe dorée,
Il voguait triomphant vers le palais des rois.

PATHMOS.

O mer, t'en souvient-il? sur ton abîme sombre
La tempête et la nuit redoublèrent leur deuil,
Quand un vaisseau sinistre y balança dans l'ombre
L'exilé que César jeta sur cet écueil.....

Le Japon contemporain, par M. Ed. FRAISSINET. Paris, Hachette, 1857, in-18.

L'auteur de ce nouveau volume s'est déjà fait connaître par des travaux pleins d'intérêt sur le Japon, et pour lesquels, comme ici, il a su utiliser habilement les nombreux documents publiés récemment par les Hollandais et les Américains. L'ouvrage est divisé en neuf chapitres : Le pays. Voyage à travers le Japon. Les habitations et les habitants. Institutions politiques et civiles. - L'empereur et les villes impériales. La religion et les prêtres. Les femmes et le mariage.

[ocr errors]

Les sciences, les lettres, les beaux-arts. L'industrie et le commerce.

On voit que M. Fraissinet nous a tracé une description complète du Japon, autant du moins que le permet l'état de nos connaissances sur ce

mystérieux pays fermé depuis plus de deux siècles aux étrangers.-Son livre abonde en faits neufs et curieux qui en rendent la lecture aussi attachante qu'instructive.

Histoire des théories et des idées morales dans l'antiquité, par J. DENIS. Ouvrage couronné par l'Académie des sciences morales et politiques. 2 vol. in-8. Paris, Durand, 1856.

M. J. Denis passe en revue tous les philosophes de l'antiquité, depuis Pythagore jusqu'à Julien et Proclus ce ne sont pas de sèches analyses qu'il a voulu faire; il cherche au fond de tous les systèmes l'idée morale, guidé par cette conviction, qui est à la fois l'inspiration et le résultat de ses études, que la vie morale de l'humanité est une, comme l'homme est un; que les vérités morales, nécessaires à la vie humaine, ne sont le privilége d'aucun temps ni d'aucun peuple; que partout on retrouve la même conscience, avec des transformations et des développements particu. liers. L'amour de la philosophie et la croyance au progrès dominent dans tout ce livre, que l'on doit entièrement lire, malgré l'aridité apparente des questions qu'il traite, parce qu'il a du mouvement, des idées neuves et un cachet bien personnel. Tout en n'adoptant pas plusieurs des conclusions de l'auteur, il nous est impossible de ne pas rendre hautement justice à son érudition et å sa compétence. V. F.

Chansons et Saluts d'amour de Guillaume dẹ Ferrières, dit le Vidame de Chartres, la plutpart inédits, etc., précédés d'une notice sur l'auteur, par M. LOUIS LACOUR. Paris, Aubry, 1856, in-8 de quatre feuilles et demie.

Cette plaquette s'ouvre par un erratum, qui témoigne à la fois de la grande exactitude et de l'excessive modestie de M. Lacour. Il s'est trompé d'une lettre dans l'orthographe du nom du poète qu'il publie, et il ne veut pas induire ses lecteurs dans la même erreur: on lira donc Ferrières au lieu de Ferrière; voilà pour l'exactitude. De plus, il se pourrait que ce poëte, ce Vidame de Chartres, ne fut pas Guillaume de Ferrières, mais bien plutôt Guillaume de Meslay. M. Lacour le soupconnait, mais il n'a pas voulu, « entrant dans la carrière, se prononcer autrement que ses maîtres, les

savants et respectables auteurs du XXIII volume | Sépultures gallo-romaines découvertes à Beau

de l'Histoire littéraire de la France; » voilà pour la modestie. N'avons-nous pas eu raison de la dire excessive? Nos illustres maîtres sont assez riches de leurs découvertes, ce nous semble, pour que nous puissions, une fois, rectifier une erreur, et ce sont des occasions trop rares pour qu'on doive les laisser échapper.

La Notice sur le Vidame de Chartres, qu'on nommera Guillaume de Ferrière, de Ferrières ou de Meslay, selon qu'on le jugera à propos, est écrite avec plus d'esprit, peut-être, qu'il ne convient à un travail de ce genre. C'est là un reproche dont M. Lacour ne nous saura pas mauvais gré; encore faut-il, par un exemple, montrer qu'il est fondé.

« A défaut de la lance, prenez l'épée, dit quelque part Arnaud de Marsan, et frappez si fort que le ciel et l'enfer vous renvoient en échos les bruits de vos coups. Ainsi j'ai frappé de tout temps: les plus belles et les meilleures dames se font gloire de m'être soumises!» Et M. Lacour conclut : « Les poëtes qui, dans leurs vers, se plaignent le plus des dames, sont donc ceux qui ont le moins sacrifié à la bravoure et exposé leur vie; " en d'autres termes : la vertu des femmes, aux XII et XIIIe siècles, était en raison inverse du courage de leurs amants.

M. Lacour ajoute en note qu'il peut fournir, à l'appui de cette thèse, des preuves qui donneraient matière à un gros volume. Aussi me garderai-je bien d'aller à l'encontre; je crains seulement que les vanteries amoureuses de « ces messieurs des XII et XIIIe siècles » n'aient été prises trop au sérieux.

Cinq Chansons et quatre Saluts d'amour composent ce joli volume, qui serait, à en juger par les dernières pages de la Notice, un hommage rendu, par l'éditeur Aubry, " aux écrivains de toute espèce qui ont vu le jour dans les murs de Chartres, et plus particulièrement à M. Michel Chasles, membre de l'Institut (voir la Dédicace).

[ocr errors]

Ce patriotisme aura certainement sa récompense : l'éditeur fait une excellente affaire, tout en cédant à une bonne inspiration, et ce volume, le dixième du Trésor des pièces rares et inédites, n'aura pas moins de succès que les précédents. PAUL POUGIN.

vais, par M. MATHON. Beauvais et Paris, Dumoulin, 1856. 24 pages in-8. Planches.

Dissertation très-intéressante sur l'usage des cercueils en plomb, et qui a été provoquée par la découverte d'un sarcophage de ce métal faite le 27 janvier dernier, et où l'on a trouvé les restes d'un squelette, que M. Serres a reconnu être celui d'une femme. Les quatre dernières pages sont consacrées à la description d'une épingle à cheveux de l'époque mérovingienne.

Index pseudonymorum. Wörterbuch der Pseudonymen, etc. (Dictionnaire des pseudonymes, ou Catalogue de tous les auteurs qui se sont servis de faux noms), par E. WELLER. Leipzig, Falcke et Rössler; Paris, Bohné et Schultz, et F. Klincksieck, 1856, gr. in-8.

« Il n'existe pas, dit l'auteur, dans son intéressante préface, de dictionnaire général des pseudonymes. Mon travail est destiné à combler cette lacune pour la littérature. » Le premier écrivain qui ait entrepris la tâche difficile de rassembler les pseudonymes est Vinc. Placcius, dont le syntagma de scriptoribus anonymis atque pseudonymis parut à Hambourg en 1674. Puis vinrent J. A. Fabricius, G. P. G. Villani (Angelo Aprosio), et parmi les Français, Adr. Baillet, qui, en 1690, donna les Auteurs déguisés sous des noms étrangers. M. Weller nous fournit l'indication sommaire des différents ouvrages publiés sur cette matière depuis la fin du XVII siècle, jusqu'aux ouvrages de Barbier et de M. Quérard. Et, soit dit en passant, il maltraite fort ce dernier, auquel il prodigue les plus gros mots. Il l'appelle, entre autres, un bibliographe « qui n'a jamais lu la Bibliothèque historique du P. Lelong, qui ne connaît pas le nouveau catalogue du British museum, qui ne sait ni l'allemand, ni l'anglais, ni le latin, et commet, dans ses travaux, les erreurs les plus grossières contre la grammaire de ces langues, etc., etc. » M. Quérard, nous n'en doutons pas, ne laissera pas ces attaques sans ré

[blocks in formation]

desquels est placé le nom véritable, souvent avec une date. Avec le supplément, elle n'occupe pas moins de 172 pages à deux colonnes. La deuxième partie, les Pseudonymes non dévoilés (Nichtenthüllte Pseudonymen), contient, à la suite du nom pseudonyme, le titre de l'ouvrage. On voit de quelle commodité, de quel usage journalier peut être un pareil répertoire. Pour le compléter, il aurait fallu y joindre une table alphabétique, où, à la suite de chaque nom d'auteur, on aurait mis le ou les pseudonymes dont il s'est servi. Ce serait un tableau fort curieux des supercheries litté raires. Voltaire, à lui seul, fournirait un article très-important.

L'auteur nous promet incessamment une suite, sous le titre de les Faux lieux d'impression, depuis le XVe siècle jusqu'à nos jours; nous ne saurions trop l'encourager dans son entreprise. Il n'en est pas, du reste, à son coup d'essai; et les monographies qu'il a déjà publiées sur le traité De Tribus impostoribus, sur Urial Acosta, sur la Littérature populaire française depuis 1833, et sur les Chansons de la guerre de Trente ans, lui assignent une place distinguée parmi les bibliographes de notre temps. L. L.

A Dictionary, Sanskrit and English, extended and improved from the second edition of the dictionary of professor H.-H. WILSON, etc., by Theodor GOLDSTÜCKER, professor of the sanskrit language and literature in the university college. London, gr. in-4 (1 livraison). Berlin, Asher and Co. Paris, B. Duprat et F. Klincksieck.

Le dictionnaire que nous annonçons est celui d'une langue morte dont le développement complet a duré 3,000 ans environ.

Deux éditions de cet ouvrage avaient déjà été publiées par M. Wilson, la première en 1819 et la seconde en 1832. Cette dernière, qui déjà avait été considérablement augmentée, contenait à peu près tout ce qui était indispensable pour comprendre le sanscrit classique, c'est-à-dire qu'elle suffisait et au delà, pour l'interprétation des livres sanscrits publiés à cette époque.

La rareté de ce dictionnaire et son prix devenu très-élevé, en prouvant avec quel empressement il avait été accueilli, indiquaient aussi qu'il était indispensable d'en publier une édition nouvelle. Il

y avait encore une meilleure raison à alléguer : depuis 1832 les études sanscrites ont fait d'immenses proprès. Les Vêdas ont été traduits, et le bouddhisme a été l'objet d'études suivies. Quoique les hymnes des Vêdas soient composés en sanscrit; quoique les livres des Bouddhistes soient aussi écrits dans la même langue, il y a, pour chacune de ces littératures, toute une nomenclature nouvelle à enregistrer. Les Vêdas qui sont l'expression de la première civilisation indoue emploient un langage bien différent du sanscrit classique, dont il se distingue naturellement par les archaïsmes; d'un autre côté, les livres boudhistes écrits à une époque bien plus rapprochée, ont, pour populariser l'enseignement religieux, introduit dans le sanscrit, en même temps qu'une terminologie particulière à leur métaphysique abstruse, bien des formes vulgaires que le purisme des Brahmanes rejeterait avec dégoût.

Il s'agissait donc de faire entrer dans la nouvelle édition du dictionnaire sanscrit :

1° Un certain nombre de mots et d'acceptions omis dans l'édition précédente;

2o Les archaïsmes de la langue védique; 3o Les expressions particulières au bouddhisme. Pour donner un idée de l'importance des additions introduites par le nouvel éditeur, nous ferons remarquer que le mot qui termine la page 80 de la troisième et dernière édition se trouvait à la page 30 de la seconde. Au reste, l'habileté bien connue de M. Goldstücker et le concours du savant et illustre professeur Wilson sont une

garantie suffisante pour les indianistes. Un livre signé de ces deux noms ne peut être qu'un guide sûr et fidèle. P.-E. FOUCAUX.

PUBLICATIONS NOUVELLES.

LIVRES FRANÇAIS.

Achard (J. P. X.). Notes sur quelques anciens artistes d'Avignon. 4 édition. Carpentras.

Arbois de Jubainville (H. d'). Église de Saint-Christophe de Neufchâteau. Paris, Leleux. In-8.

Asselineau (A.). L'enlèvement d'Hélène (suivi de Deux lettres d'une comédienne et de Venezia la morta). Paris. In-12. Barrière (Th.) et Capendu (Er.). Les faux bonshommes, comédie. Paris. In-18.

Beauvoir (Mme A. R. de). Dos à dos, comédie en un acte et

en prose. Paris. In-8.

Bellier de la Chavignerie (É.). Études sur le pays chartrain. La correspondance administrative sous Louis XIV, envisagée au point de vue chartrain. Chartres. In-8.

Bernard (Aug.). Geofroy Tory, peintre et graveur, premier imprimeur royal, réformateur de l'orthographe et de la typographie sous François Ier. Paris, Edwin Tross. In-8. Charton (E.). Voyageurs anciens et modernes, etc. T. IV. Paris, au Magasin pittoresque. Gr. in-8. Coynart (R. de), chef d'escadron d'état-major. Étude historique, topographique et militaire sur la cité gauloise d'Alésia. Paris, impr. Martinet. In-8 de 26 pages, plus 2 cartes, Créqui (la marquise de). Lettres inédites à Sénac de Meilhan (1782-1789), publiées par MM. Ed. Fournier et Sainte-Beuve. Paris, impr. F. Didot. In-18.

Delisle (Léop.). Catalogue des actes de Philippe-Auguste. Paris, chez A. Durand, 7, rue des Grès. In-8.

Des Périers (Bonaventure). Œuvres françoises, publiées par
M. L. Lacour. T. II. Paris, chez P. Jannet. In-16.
Fraisse (A.). M. Eugène de Mirecourt et ses Contemporains.
Lyon, Vingtrinier. In-8.

Gautler (T.). Les Grotesques. Nouvelle édition. In-18. Paris,
Michel Lévy frères.

Girardin (Mme E. de). Marguerite ou Deux amours. In-18. Paris, Michel Lévy frères.

Gourdon (E.). Histoire du congrès de Paris. In-8. Paris, Librairie nouvelle. 1857. 5 fr.

Grégoire (L.). La Ligue en Bretagne. In-8. Nantes, Guéraud; Paris, Dumoulin.

Guizot. Sir Robert Peel. Paris, Didier. In-8.

Hugo (Victor). Euvres complètes. T. II. Odes et ballades.

Les Orientales. Paris, impr. S. Raçon, chez Alex. Houssiaux. In-8 de 446 pages.

Inventaire des meubles, bijoux et livres estant à Chenonceaux le 8 janvier MDCIII, etc., etc., publié par le prince Augustin Galitzin. Paris. In-8.

Janin (J.). Les petits bonheurs. Paris. Gr. in-8 de 412 pages, avec 15 planches.

Joanne (A.). Les Environs de Paris illustrés. Hachette. In-16. Lacroix (Oct.). De l'éducation religieuse et d'un collége chrétien. Paris. In-32.

Lafon (Mary). Fierabras, légende nationale. Paris. Gr. in-8. Legrand (P.). Dictionnaire du patois de Lille. 2o édition. Lille, Vanackère. In-12 de 155 pages.

Lemercier de Neuville (L.). Pastiches critiques des poëtes contemporains. Paris. Gr. in-18. Quatorze portraits satiriques des poëtes de l'époque.

Lièvre (A.), pasteur. Histoire des protestants et des Églises
réformées du Poitou. T. I. Poitiers, Bernard. In-18.
Malte-Brun fils. Géographie complète de la France et de ses
colonies, d'après les documents les plus récents. Grand in-8 de
35 feuilles, plus 12 grav. Paris, Morizot. 1857. 10 fr.

LIVRES ANGLAIS ET AMÉRICAINS.
(Paris, F. Klincksieck.)

Baird (H, M.). Modern Greece: a narrative of a residence and
travels in that country. In-8, av. ill. New-York. 12 fr.
Ferrier (J. P.). Caravan journeys and wanderings in Persia,
Afghanistan, Turkistan, and Beloochistan. transl. by V. Jesse.
In-8, av. carte et illustr. Londres. 27 fr.

Hawks (F. L.). Narrative of the expedition of an American Squadron to the China Seas and Japan. 1852-54, published by order of the Congress. Vol I, gr. in-4, avec 89 gr. lithogr. 76 illustr. sur bois, cart. et pl. Washington. 90 fr. Irving (W.). Life of G. Washington. Vol III. 1777-79. In-12. Londres. 3 fr. 75 c.

Kane (E. K.). Arctic explorations in 1853-55. 2 vol. in-8, av. portrait, carte et illustr. Philadelphia. 45 fr. M'Ciure (R.). Discovery of the north-west passage 1850-54, edit. by S. Osborn. In-8, av. pl. Londres: 20 fr. Robinson (E.). Later biblical researches in Palestine and the adjacent regions. Journal of travels in 1852. In-8, avec cartes et plans. Londres. 20 fr.

Smucker (S. M.). Life of J. C. Fremont, and his narrative of explorations and adventures, in Kansas, Nebraska, Oregon and California. In-12, avec portr. et illustr. New-York. 7 fr. Tucker (G.). The history of the United States, from their colonization to 1841. Vol. Ier. (Il y en aura 4.). In-8. Philadelphia. 16 fr.

Wilkes (C.). Narrative of the United States exploring expedition during 1838-1842. 5 vol. imp. in-8, avec portr., cartes et illustrations. New-York. 125 fr.

LIVRES ALLEMANDS. (Paris, F. Klincksieck).

Movers (F. C.). Die Phönizier. 2o Bd., 3r Theil. In-8. 7 fr. Mommsen (T.). Stadtrechte der lateinischen Gemeinden Salpensa und Malaca. In 4, avec supplément. 6 fr. 25 c. Monumenta Germaniæ historica, inde ab a. D. usque ad a. MD. T. XIV. In-fol. 64 fr.

Mullach (A.). Grammatik der griechischen Vulgarsprache in historischer Entwicklung. In-8. 10 fr. 75 c.

Müller (M.). Rig-Veda. Mit Einleitung, Text, Uebersetzung und Grammatik. Livr. 1re. In-4. 16 fr.

Voigt (G.). Enea Silvio de' Piccolomini, als Pabst Pius II, and sein Zeitalter. Vol. 1er, in-8, avec portr. 8 fr.

Waitz (G.). Ueber die Anfänge der Vassallität. In-4. 3 fr. 25 c.

LIVRE GREC.

Oracula Sibyllina, textu ad codices manuscriptos recognito, maianis supplementis aucto, curante C. Alexandre, volumen alterum. In-8. Paris, F. Didot.

JOURNAUX FRANÇAIS.

DÉCEMBRE.

Le Moniteur universel, 1, 2. Sainte-Beuve. Le maréchal de Villars (fin).— 1, 8. Hôte. Voyage d'exploration aux rivières Kwora et Binue. - 2. Ed. Thierry. Esquisses morales de Daniel Stern. Voyage pittoresque d'Ed. Texier. Diplomates et publicistes de Ch. Vergé. 4. A. Audiganne. Œuvres de F. Arago. 5. Sainte-Beuve. Réception de F. Ponsard à l'Acadé mie française.- Rapetti. Les nièces de Mazarin d'A. Renée.8, 14. A. Lemoinne. Les Derniers fermiers généraux. -9. Ed. Thierry. Le comte de Raousset-Boulbon, par H. de la Madelène. La Bretagne catholique de L. Buron, etc. 1 CuchevalClarigny. Vie et correspondance de Jeffrey, par lord Corkburn. -12. G. Guiffrey. Mémoires de Fléchier sur les grands jours d'Auvergne. 15, 22. Sainte-Beuve. Histoire de la querelle des anciens et des modernes de H. Rigault. De la chute de la république romaine, par Troplong.-23. Ed. Thierry. Les petits bonheurs, par J. Janin. Les savants illustres de A. Mangin, etc.-28. Livet. La mode dans le langage. -29. Sainte-Beuve. Rapport sur les ouvrages dramatiques. Rapetti. Mémoires du duc de Raguse, de 1792 à 1832.-30. Ed. Thierry. Mme de Chevreuse, de V. Cousin. Voyage de Paris à Rouen, par Bertrandy, etc.-31. Th. Gautier. La Touraine.

16. Ed. Thierry.

« PreviousContinue »