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quand j'en ai trouvé à dire de ceux de qui j'avois dit le mal que j'en savois.

[Il faut dire la vérité, mes enfants, peut-être que sous cette apparente justice y avoit-il un mauvais dessein caché dans mon cœur d'être plus croyable sur le mal que je disois quand j'avois dit du bien. ]

L'écrit se termine par les lignes suivantes, qui ne se trouvent que dans le manuscrit :

Il y a longtemps que je dis à mes bons amis que je vois bien par les grands et les continuels malheurs de ma vie que Dieu me veut avoir, mais qu'il m'aura. Quand je dis à mes bons amis, j'entends à fort peu de gens; car outre qu'il est ridicule de fatiguer le monde du récit de son malheur, c'est qu'on se les redit et qu'on se chagrine soi-même en les disant aux autres. Voici donc comme je veux qu'on soit :

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Une réorganisation complète vient d'avoir lieu dans l'administration des Archives de l'empire. Elle résulte de trois décrets du 23 décembre 1855, du 22 mars 1856 et du 1er août suivant, complétés par un remarquable règlement de 90 articles et rendu par M. le ministre d'État, à la date du 12 novembre dernier. Dans cet ensemble de dispositions nouvelles, on paraît avoir eu pour but de donner des garanties à la bonne gestion des titres de l'État, en augmentant le nombre des employés, en élevant le chiffre de leurs traitements, enfin en substituant à la responsabilité unique et omnipotente du directeur de l'établissement une responsabilité collective qui pèse, pour chaque section, sur les employés et sur le chef de cette section.

Quant au public, le résultat acquis dès aujourd'hui

par ce changement est une facilité beaucoup plus grande dans les communications qu'il va journellement demander aux Archives. Il nous suffira de citer comme preuve l'article 39 du nouveau règlement, dont plus d'un de nos lecteurs réclamera sans doute le bénéfice, et qui est ainsi conçu :

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Dans un des derniers numéros du Bulletin de la Société du Protestantisme français, M. C. Read a donné un article très-intéressant sur divers artistes qui professaient la religion réformée. Nous y avons entre autres remarqué le passage relatif à de Brosses, le célèbre architecte du Luxembourg et de tant d'autres monuments. M. Read a prouvé, d'après les registres de l'ancienne église réformée de Paris, que de Brosses était protestant, qu'il s'appelait Salomon et non Jacques, comme on l'a cru jusqu'ici, qu'il est né à Verneuil-sur-Oise, qu'il est mort à Paris, et qu'il a été enterré le 9 décembre 1626 au cimetière des Religionnaires, rue des Saint-Pères.

En 1852, au congrès de savants allemands tenu à Wiesbaden, le professeur Forchhammer a parlé de la possibilité de construire des cartes sousmarines d'après le même principe que les cartes géographiques ordinaires, avec des ombres plus ou moins fortes pour indiquer les montagnes et autres inégalités du lit de l'Océan. Aujourd'hui le célèbre orientaliste a mis son idée à exécution en dressant et en faisant graver une carte de cette nature. Cette carte, destinée à entrer dans un ouvrage sur les ruines de Troie, maintenant sous presse, représente la mer entre l'île de Ténédos et le rivage de l'Asie Mineure, qui est en face, et comprend, par conséquent, le lieu classique du mouillage de la flotte grecque. Elle est basée en partie sur les sondages opérés par le capitaine de la marine britanique T. Graves, commandant le Beacon, et publiés dans les cartes de l'amirauté anglaise, en partie sur les observations faites sur les lieux par le savant professeur lui-même, qui est allé étudier la topographie de ces régions classiques.

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3-13 décembre, à Paris, maison Silvestre. Catalogue d'une collection de beaux livres provenant du cabinet de M***. Chez M. Delion.

Beaux livres provenant des collections bien connues de MM. du Roure, de Saint-Mauris, Taylor, Baudelocque, etc.

5-6 décembre, maison Silvestre. Livres relatifs la théologie, aux beaux-arts, à la littérature, à l'histoire. Chez M. Tross.

Plusieurs volumes curieux d'une belle condition. Livres importants sur les beaux-arts. 8-18 décembre, maison Silvestre. Catalogue des livres, la plupart rares, curieux ou en belle condition, composant la bibliothèque de M. Pierre-Joseph D***, ancien

notaire à Cambrai. Chez M. Potier.

Amateur persévérant et délicat, M. D*** (Defre

mery) a travaillé pendant vingt-cinq ans à former cette collection, particulièrement composée d'éditions elzeviriennes et de volumes en anciennes reliures aux armes de bibliophiles célèbres, tels que Bossuet, le cardinal de Bourbon, Colbert, Fouquet, Girardot de Préfond, Grolier, dont toujours on écrira mal le fameux Grolierii et amicorum; le comte d'Hoym, Henri II, Henri III, Longepierre, etc., etc. On trouve également en grand nombre dans ce catalogue des livres annotés ou signés par des hommes illustres.

15 décembre, à Strasbourg. Bibliothèque de M. Christian Bartholmess. Chez M. Piton, à Strasbourg.

15-20 décembre, maison Silvestre. Catalogue des livres de la bibliothèque d'un ancien membre de l'Institut historique. Chez M. François.

2-23 janvier, maison Silvestre. Catalogue des livres rares et précieux, manuscrits et imprimés, composant la bibliothèque de M. C. R***, de Milan. Chez M. Potier.

Collection particulièrement riche en livres italiens, mais non pas exclusivement. On y trouve bon nombre de volumes précieux à d'autres titres : des manuscrits avec miniatures, des incunables, des livres imprimés sur vélin, des heures gothiques françaises, des Aldes, des Elzevirs latins et français, de belles reliures anciennes, etc.

BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.

Mosaïque. Peintres, musiciens, littérateurs, artistes dramatiques, à partir du XVe siècle jusqu'à nos jours, par P. HÉDOUIN. Paris, Heugel, Ledoyen, 600 p. in-8.

Mosaïque est bien le mot qui convient à ce beau volume où l'on trouve prose, vers et musique, où il est parlé de peintres, de compositeurs, de chroniqueurs, d'académiciens, de poëtes, de danseuses, d'acteurs et d'actrices, etc.

La première partie est remplie presque uniquement par des notices très-bien faites sur Memmeling, Watteau, Nattier, Pater, Chardin, Hubert Robert, et suivie d'un catalogue détaillé de leur œuvre. Puis viennent, sous le titre de Art musical, des notices sur Monsigny, Gossec, Grétry, Lesueur, Meyerbeer, Paganini, Dessauer, etc. A ces compositeurs succèdent les hommes de lettres et les artistes dramatiques de diverses époques : le chroniqueur Jehan Molinet, notice assez longue et très-instructive les Sanlecque, le baron de Courset, l'académicien Michaud, Talma, Marie Dorval, Mule Navarre, etc.

Ce qui donne un très-vif intérêt aux deux der

nières parties de cet ouvrage, c'est que M. Hédouin, homme de goût, de cœur et d'esprit, y a jeté ses souvenirs et qu'il nous raconte de curieuses et piquantes anecdotes sur des personnages qu'il a connus intimement.

Il y a en tête du volume une très-belle eau-forte, de M. Edmond Hédouin, représentant la célèbre danseuse Cupis de Camargo, et aux dernières pages, on trouve gravée une charmante mélodie d'Albanesi Félicité passée, pastorale du siècle de Louis XV, arrangée avec accompagnement de piano par M. P. Hédouin.

La Morale d'Aristote, traduite en français avec notes perpétuelles, par M. BARTHÉLEMY SAINTHILAIRE, 3 vol. gr. in-8. Paris, A. Durand.

La morale d'Aristote n'a jamais été traduite tout entière en français. M. Barthélemy Saint-Hilaire vient d'en publier la traduction complète en trois volumes in-8, du format des autres parties de sa traduction générale d'Aristote,

La morale à Nicomaque, le principal ouvrage de morale qui nous soit parvenu sous le nom d'Aristote, comprend les deux premiers volumes. La grande morale et la morale à Eudème remplissent le troisième, avec le petit traité des vertus et des vices qui est apocryphe. On ne s'est jamais bien rendu compte de ce qu'étaient ces diverses expressions d'une même pensée dans trois œuvres différentes, portant le même nom d'auteur, et reproduisant les mêmes théories dans un ordre à peu près identique; car on sait que trois des livres de la morale à Nicomaque, les V, VI et VII, sont reproduits textuellement dans la morale à Eudème où ils forment les livres IV, V❘ et VI. Que sont ces rédactions différentes? à qui doit-on les attribuer à quelle époque remontentelles? quels en sont les vrais caractères? Telles sont les questions qu'a discutées M. Barthélemy Saint-Hilaire dans une Dissertation préliminaire qui a près de 100 pages. Les conclusions auxquelles il s'arrête comme les plus probables, c'est que la grande morale et la morale à Eudème sont des rédactions faites par des élèves d'un mérite inégal, qui ont reproduit fidèlement les théories du maître. M. Barthélemy Saint-Hilaire met d'ailleurs la morale à Eudème fort au-dessus de la grande morale. Quant à la morale à Nicomaque, il l'attribue sans hésiter au génie d'Aristote, et il

ne comprend pas les doutes qu'ont élevés quelques savants, à l'imitation de Cicéron qui inclinait à en faire l'œuvre de Nicomaque, fils d'Aristote, plutôt que l'œuvre d'Aristote lui-même. Il nous semble difficile, en effet, qu'un pareil monument puisse être rapporté dans l'antiquité grecque à une autre main que celle du stagirite.

Dans une préface qui a 253 pages, M. Barthélemy Saint-Hilaire a traité de la science morale considérée d'abord en elle-même, et ensuite dans son histoire. Dans cette revue rapide d'une des branches les plus cultivées de la philosophie, il ne s'est adressé qu'aux plus grands noms : dans l'antiquité, Platon avec Socrate, Aristote et les stoïciens; dans les temps modernes, Kant tout seul. M. Barthélemy Saint-Hilaire ne s'aveugle pas sur son auteur, et il le met, en fait de morale comme en fait de politique et de psychologie, audessous de Platon. Pour la morale, il ne le préfère même pas à Kant, bien qu'il reconnaisse hautement ses mérites.

L'introduction de la morale d'Aristote est accom

pagnée de notes nombreuses et concises qui portent principalement sur les théories. Une table trèsample des matières termine l'ouvrage, et des sommaires analytiques sont placés à la tête de chaque chapitre.

Höllenfahrt... (Voyage infernal), par HENRI HEINE. Deuxième édition. Hanovre, Rumpler, 1 vol. in-12 de 140 pag. Paris, F. Klincksieck. H. Heine s'ennuie en enfer, il revient sur la terre et passe en revue littérateurs, compositeurs et artistes de notre époque. Le sujet, comme on le voit, prête à une satire aussi complète que possible, malheureusement l'auteur est resté bien au-dessous de la tâche qu'il s'était imposée; son poëme se divise en vingt-quatre chants, subdivisés en stances de quatre vers dans le mètre employé dans Atta Troll. Il fait comparaître successivement tous les noms connus en Allemagne, Ida Duringsfeld, Wildermuth, Burow, Overbeck, Steinle, Schadow, Flotow, etc., etc. A chacun il décoche une épigramme, un mot qui a la prétention d'être acéré, mais, hélas! qu'il y a loin de ce trait, imbelle, sine ictu, aux sanglantes et spirituelles attaques de Henri Heine. Car, il faut le dire, le livre est d'un anonyme qui a voulu tromper le public en le faisant croire à une

œuvre posthume du poëte du Romanzero et du Buch der Lieder. Du reste, la fraude a réussi, et la première édition a été épuisée avant même d'être entrée en France. Pour mieux abuser son public, l'anonyme auteur de la Höllenfahrt a mis dans la bouche de Heine une critique sanglante de ses propres œuvres ; il lui fait dire :

« Tantôt je chantais comme les anges, et tantôt je grognais comme les bêtes immondes. »

Malheureusement qui veut trop prouver ne prouve rien, ou prouve souvent le contraire de ce qu'il veut démontrer. H. Heine pouvait se moquer de ses œuvres, mais il l'aurait fait avec esprit et non pas grossièrement, comme l'anonyme en question. En résumé, la Höllenfahrt, sans être un livre absolument mauvais, est un livre assez faible, contenant de véritables tours de force de versification, mais sans esprit, sans comique et sans élément satirique suffisant; qui ne doit son succès matériel qu'au subterfuge peu loyal de son auteur attribuant à Henri Heine une œuvre indigne du poëte. ED. G.

Les Éphémères, sonnets par JOSEPHIN SOULARY;
2o série. Lyon, Chanoine, 1856, in-8.
Ce volume fait suite à une première série de
sonnets que l'auteur, aujourd'hui chef de division
à la préfecture du Rhône, a publiés en 1847. Il se
compose de trente-cinq pièces qui n'ont pas toutes
la même valeur, mais dont quelques-unes méritent
fort d'être distinguées. Nous citerons, entre autres,
la suivante, pleine de délicatesse et de sentiment,
et qui suffira à donner une idée de la manière du
poëte. Elle est intitulée les Deux Cortéges.

Deux cortèges se sont rencontrés à l'église.
L'un est morne, il conduit la bière d'un enfant.
Une femme le suit, presque folle, étouffant
Dans sa poitrine en feu le sanglot qui la brise.
L'autre, c'est un baptême. - Au bras qui le défend
Un nourrisson bégaye une note indécise;
Sa mère, lui tendant le doux sein qu'il épuise,
L'embrasse tout entier d'un regard triomphant.

On baptise, on absout, et le temple se vide.
Les deux femmes, alors, se croisant sous l'abside,
Échangent
un coup d'œil aussitôt détourné,

Et, merveilleux retour qu'inspire la prière!
La jeune mère pleure en regardant la bière,
La femme qui pleurait sourit au nouveau-né!

Les artistes français à l'étranger. Recherches sur leurs travaux et sur leur influence en Europe, précédées d'un Essai sur les origines et le développement des arts en France, par L. DUSSIEUX. Paris, Gide et Baudry, in-8 de 496 et CXLVI pages.

Dans ce curieux et intéressant volume, M. Dussieux nous apprend l'empire que l'art français exerce sur l'art européen; il nous montre combien son influence a été grande; et pour prouver ce qu'il avance, il donne la liste des artistes français qui ont été appelés par les nations voisines, et mentionne ceux qui ont été chargés d'exécuter des travaux pour les souverains étrangers. Sa liste est nombreuse et aussi complète que possible. Une première édition de cet ouvrage, si l'on peut appeler première édition une petite brochure in-12, remplacée par un gros volume in-8, avait déjà paru en 1853; mais aujourd'hui ce travail est devenu tout à fait important, et l'on peut difficilement croire, si M. Dussieux ne vous en donnait les preuves évidentes, que les artistes français aient été d'un aussi continuel exemple hors de leur pays.

M. Dussieux a fait précéder sa liste d'une Étude approfondie sur l'art français, et ces deux travaux réunis en font un des ouvrages les plus curieux à consulter. GEORGES DUPLESSIS.

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sertation sur le commerce et l'usage de l'ivoire dans l'antiquité, puis l'auteur passe aux diptyques consulaires qu'il examine et commente en détail, aux diptyques mythologiques et enfin aux diptyques chrétiens. Il nous donne ensuite la description des ivoires antiques, chrétiens, orientaux et du moyen âge réunis jadis par M. Gabriel Fejérvary et actuellement en la possession de M. Joseph Mayer à Liverpool. Cette riche collection ne comprend pas moins de 102 pièces de toutes les époques et de tous les pays.

PUBLICATIONS NOUVELLES.

LIVRES FRANÇAIS.

About (E.). Le Roi des montagnes. In-16. Paris, Hachette. 2 fr. Album de l'église de Brou. Texte. In 4 d'une feuille. Bourg. 5 fr. Ancien théâtre françois. Tome IX. Paris, Jannet. 5 fr.

Arago (F.). Œuvres complètes, publiées sous la direction de M. J.-A. Barral. Tome IX. In-8. Paris, Gide et Baudry. 7 fr. 50 c.

Aubert (A.). Monographie de la commune de Juvigny. In-12. Châlons-sur-Marne. 1 fr. 25 c.

Augier (E.). Théâtre. Tomes II, III, IV, V. In-32. Paris, Michel Lévy frères. Prix du volume: 1 fr.

Aunet (Mme L. d'). Un Mariage en Provence. In-16. Paris, Hachette.

Barrau. Histoire de la révolution française (1789-1799). In-18. Paris, Hachette. 1857. 3 fr. 50 c.

Barthélemy Saint-Hilaire. Lettres sur l'Egypte. In-8. Faris, Michel Lévy frères. 7 fr. 50 c.

Bayard (F.). Théâtre. Tome VII. Paris, Hachette. 3 fr. 50 c. Brunet et Montaiglon. Li romans de Dolopathos, publié pour la première fois en entier d'après les deux manuscrits de la Bibliothèque impériale. In-16. Paris, Jannet. 5 fr. Bussy-Rabutin. Histoire amoureuse des Gaules, revue et annotée par M. P. Boiteau, suivie des romans historico-satiriques du XVIIe siècle, recueillis et annotés par M. C.-L. Livet. Tome I. In-16. Paris, Jannet. 5 fr.

Cabet. Départ de Nauvoo du fondateur d'Icarie avec les vrais Icariens. In-12 d'une feuille. Paris, chez tous les libraires. 25 C.

Cap. Etudes biographiques pour servir à l'histoire des sciences.
Première série. Chimistes-naturalistes. In-18 de 11 feuilles 2/3.
Paris, Victor Masson.

Carrey (E.). L'Amazone. In-18. Paris, Lévy frères.
Cousin (V.). Jacqueline Pascal. 3e édition, revue et augmentée.
In-3. Paris, Didier. 7 fr.

Crisolontia ou Supplément au compte rendu du congrès scientifique soi-disant de France. XXIIe session. In-18 de 2 feuil. 1/2. Imprimerie de Marchessou, au Puy.

Delisle (L.). Notice sur un sacramentaire de l'Eglise de Paris. In-8 d'une demi-feuille. Imprimerie de Lahure, à Paris. Description succincte d'une statue religieuse du moyen âge découverte à Poissy en 1841. In-8.

Devay (F.). Danger des mariages consanguins au point de vue sanitaire. In-8. Lyon; Paris, Labé.

Digot (A.). Histoire de Lorraine. Tome V. In-8 avec un plan. Nancy, Vagner.

Dumont. Histoire des fiefs et principaux villages de la seigneurie de Commercy. Tome I. In-8. Nancy, Dard; Paris, Derache.

Duranville (L.). Essai historique et archéologique sur la ville de Pont-de-l'Arche et sur l'abbaye de Notre-Dame de Bonport, avec 5 pl. In-8. Rouen; Paris, Didron. 4 fr.

Dussieux. Les Artistes français à l'étranger. Paris, Gide et Baudry.

Enault (L.). De Paris à Caen. Paris, Hachette. 2 fr. Feuillet (0.). Scènes et proverbes. In-18. Paris, Michel Lévy frères. 1857. 3 fr.

Frémy (A.). Confessions d'un bohémien. In-16. Librairie nou

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Monuments de Seine-et-Marne. Salins: tombeaux et dalles tumulaires des anciens seigneurs de Villeneuve-la-Cornue (XIVe siècle), par Fichot et Régamey. Imp. lith. de Lemercier, à Paris.

Godofridi Torini Biturigens is officina (Officine de Geofroy Tory de Bourges, imprimeur de François Ier), dessin de M. A. Devéria. In-4. 1856. Impr. lith. de Thierry frères. Chenonceaux, gravé à l'eau-forte par C. Meryon, d'après Ducerceau. Impr. lith. de Delâtre, à Paris.

LIVRES ANGLAIS.

Noake (John). Notes and Queries for Worcestershire, 12mo.

5 S.

Old Memories, a Novel, 3 v. post Svo. 1 1. 11 s. 6 d.
Roberts (Geo.). Social History of the Southern Counties of
England, 8vo. 18 s.

Russian Chit-Chat; or, Sketches of a Residence in Russia, by a
Lady, 12mo. 4 s. Longman.

Stowe (Mrs.). Dred, a Tale of the Great Desert Swamp, 12mo. 2 s. 6 d.

LIVRES ALLEMANDS.

(A Paris, chez F. Klincksieck.) Ebeling (F. W.). Beiträge, urkundliche, zur Geschichte und Politik des 17. Jahrh. 1o Abth., Zur Geschichte der Niederlande.

Elvers (R.). Römische Servitutenlehre. In-8. 14 fr. 75 c. Heideloff und Müller. Mittelalterliche Baudenkmale aus Schwaben. Suppl. Esslingen. Gr. in-fol., avec 9 planc. 9 fr. 60 c.

Hagen (V. der). Bilder aus dem Ritterleben. Grand in-4.

3 fr. 55 c.

Herzen (A.). Aus den Memoiren eines Russen. In-12. Les trois vol. 10 fr. 75 c.

Holzschnitte berühmter Meister. Auswahl von OriginalFormschnitten in treuen Copien; herausgeg. von R. Weigel. Cah. XIII, gr. in-fol. 12 fr.

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