geur instruit. La position des points principaux perdu, n'a pu encore être retrouvé. Tel est en Quoi qu'il en soit, ce traité, dont il existe plusieurs éditions, et qui parut pour la première fois en 1473 à Cologne, n'avait jamais été traduit en français, et c'est un véritable service que M. Cocheris vient de rendre aux bibliophiles en réimprimant le texte latin soigneusement revu, et en le faisant précéder d'une version fidèle et élégante. Philobiblion, excellent traité sur l'amour des Richard de Bury, né en 1287 dans le comté de Suffolk, joua un rôle important dans l'histoire de son temps. Gouverneur du prince de Galles, qui fut depuis Édouard III, il devint successivement, sous ce prince, intendant de la maison royale, trésorier de la garde-robe, puis garde du scel privé, en 1329. L'année suivante et en 1333, il fut envoyé comme ambassadeur auprès du pape Jean XXII; puis, au moyen d'intrigues, il se fit élire évêque de Durham. Après avoir rempli d'autres missions en France et sur le continent, il mourut le 14 avril 1345. La riche bibliothèque qu'il avait amassée, transportée d'abord à Oxford, au collége de Durham, fut dispersée sous Henri VIII. Il en avait dressé un catalogue qui, s'il n'est pas Le Philobiblion se compose de dix-neuf chapitres, où l'auteur a déployé une érudition qui devait le faire admirer de son temps, mais qui pour nous a un peu perdu de son mérite. Voici les titres des principaux Comme quoi les livres doivent La mentation sur la destruction des livres causée par la guerre et les incendies. Des nombreuses occasions mises à profit par l'auteur pour acquérir des livres. De l'utilité et de la nécessité de la grammaire. Des livres nouveaux qu'il faut écrire et des livres anciens qu'il faut réparer. Des livres que l'on doit toucher et arranger avec soin. Sage règlement sur la nécessité de communiquer les livres aux étrangers. Ces deux derniers chapitres sont de beaucoup les plus intéressants et nous offrent des détails très-curieux; car les autres, dont les titres sont souvent fort trompeurs, ne sont guère qu'un dithyrambe en l'honneur des livres et même en l'honneur de l'auteur, qui, il faut le dire à sa louange, paraît avoir été un véritable et passionné bibliophile. L'édition donnée par M. Cocheris est aussi complète que possible. Rien n'y manque. Il y a une dédicace, une préface, une introduction et trois notices: biographique, bibliographique, littéraire. Les notes au bas des pages sont nombreuses, et enfin les pièces justificatives, au nombre de quatorze, nous fournissent toutes sortes de renseignements sur Richard de Bury. Mémoires complets et authentiques du duc de | immense et la remplit d'hémistiches superbes et de Saint-Simon, édition Cheruel, Paris, Hachette et Cie, in-8, t. XI et XII. A mesure que cette excellente édition avance, nous remarquons avec plaisir que les notes, sans être encore bien nombreuses, sont un peu plus fréquentes. Nous signalerons à l'appendice du tome XI, un morceau inédit de Saint-Simon sur l'Académie française, une très-belle lettre de Richelieu mourant à Mazarin, des notices sur les lits de justice et sur la séance de Louis XIV au parlement, en 1655. L'appendice du tome XII contient une soixantaine de pages où l'on trouve de curieux renseignements sur le cardinal de Bouillon, Chauvelin, Anne d'Autriche et Mazarin, les conseils du roi, le Tellier, Louvois, Seignelay, Barbézieux, et enfin un mémoire de Marinier, commis des bâtiments du roi sous Colbert, Louvois et Mansart. STÉPHANIE FRAISSINET. Quatorze improvisations en vers, avec une préface par MÉRY, 2o édition. Paris, Ledoyen, 1857, in-24. Voici un petit livre dont la première édition a passé si vite que nous n'avons pas eu le temps de l'arrêter en chemin. En voulez-vous la raison? c'est M. Méry qui va nous la donner. «Il y a cinq ans, dit-il, on me fit l'honneur de m'appeler à la salle Sainte-Cécile pour présider une séance solennelle d'improvisation, dans la quelle plusieurs poëtes devaient se produire, comme dans un concours olympique... › Notre Paris, tout civilisé qu'il est, n'a jamais eu trop de goût pour ces tournois littéraires; il regarde les improvisateurs comme des écuyers de Franconi, sans chevaux : et, tours de force pour tours de force, à prix égal de stalle, il préfère Auriol... C'est là que je vis, pour la première fois, Mme Fraissinet. Mieux que personne, je sais que le sujet donné à son improvisation fut choisi par le moins intelligent des hasards. Le thème était répulsif à la poésie inspirée. Je tremblais de peur à l'idée de voir cette jeune femme soulever le rire ironique d'un public toujours disposé à la raillerie ou à l'admiration, mais à la raillerie surtout. rimes inattendues, et sans timidité, sans tâtonnement, sans hésitation. On aurait cru qu'elle déclamait de souvenir la tirade d'un grand poëte tragique, après quarante répétitions et cent études faites au miroir, d'après le procédé des illustres artistes qui veulent faire croire à la spontanéité de leur timbre et de leurs regards. Mon étonnement n'a jamais eu son pareil. Nous n'avons rien à ajouter à ces éloges donnés par un critique aussi compétent que M. Méry, et nous dirons seulement que ces quatorze improvisations embrassent les sujets les plus variés : chansons, sonnets, odes et élégies. Vie du pape Grégoire le Grand, légende française publiée pour la première fois par VICTOR LUZARCHE. Tours et Paris, chez Aubry, 1857, XL et 132 p. in-18, avec fac-simile. Cette légende, poëme d'environ 2,700 vers, composé vers la première moitié du XIII° siècle, a pour sujet un de ces thèmes favoris à la littérature pieuse du moyen âge : de grandes fautes effacées par de grandes expiations. Le voici en deux mots. Un comte d'Aquitaine laisse en mourant un fils et une fille, qui avaient l'un pour l'autre une telle tendresse, que le frère finit par séduire sa sœur. Le repentir suit de près leur crime. Le frère part pour la Terre-Sainte et trouve bientôt la mort sur la terre étrangère. L'enfant né de cette liaison incestueuse est exposé sur les flots par sa mère, qui dépose près de lui des tablettes d'ivoire où est racontée l'histoire de sa naissance. Il est sauvé par des pêcheurs, puis élevé dans un couvent dont la vie lui devient odieuse, lorsque le hasard lui eût fait découvrir en partie son origine; il quitte le cloître, court les aventures, et après des exploits héroïques épouse une femme qu'il a délivrée de ses ennemis. Cette femme n'est autre que sa mère. Ils ne tardent pas à découvrir le mystère qui les entoure, et le nouvel Edipe se sépare de sa mère pour que tous deux puissent expier leur crime. Grégoire, après être resté dix-sept ans sur un rocher au milieu des flots, ne quitte le lieu de sa pénitence que pour être élu pape. Peu de temps après son élévation, sa mère se rend à Rome pour y implorer le pardon de ses péchés. Elle reconnaît son fils et va terminer sa vie dans un couvent. Cette création est certainement l'une des plus originales de notre littérature du moyen âge, et il est à regretter que le nom du poëte soit resté inconnu. Le style en est d'ailleurs fort remarquable, il est vif, clair et élégant. M. Lazarche, bibliophile déjà bien connu par d'autres publications non moins intéressantes, a fait précéder le poëme d'une excellente introduction et y a joint un petit glossaire qui est fort suffisant. Journal de l'avocat Barbier, sur la régence et le règne de Louis XV. 2o édition. Paris, Charpentier. T. I à VI. placées en dehors de la sphère assez étroite de ses idées et de ses relations. Les idées de philosophie, d'art, de littérature, qui, au XVIIIe siècle, firent exercer à la France une sorte de royauté intellectuelle, lui sont complétement étrangères; il parle presque aussi souvent du janséniste Arouet, frère de Voltaire, que de Voltaire lui-même; mais ce qui rend son ouvrage précieux au plus haut degré, c'est qu'il nous y raconte, dans le plus grand détail, l'histoire du parlement et des démêlés sans cesse renaissants de cette compagnie avec la cour et le clergé. Il est là sur son terrain, car sa profession et ses relations le mettaient à même d'être parfaitement instruit et de se prononcer en connaissance de cause. De la première page à la dernière, on sent le progrès incessant des idées poli les lisant, à la lente décomposition de tous les pouvoirs, que leurs fautes et leur inintelligence poussèrent à la plus terrible des catastrophes. En 1847, la Société de l'histoire de France commença la publication du journal de Barbier, dont le manuscrit, conservé à la Bibliothèque impé-tiques qui aboutirent à la révolution. On assiste, en riale, ne forme pas moins de sept volumes in-4. Malheureusement, la Société ne parut pas bien comprendre l'importance de ce document. Elle n'accorda d'abord à l'habile éditeur qu'elle avait choisi que trois volumes, auxquels elle ajouta plus tard un quatrième, lorsqu'on lui eut signalé l'insuffisance du cadre qu'elle avait adopté (1). Malgré cet accroissement, l'édition de M. de La Villegille, qui obtint d'ailleurs un succès mérité, resta trèsimparfaite. Ainsi, le nombre des passages omis dans le premier volume seulement s'élève à plus de quatre cents. Il devenait donc nécessaire de donner une nouvelle édition, et cette fois complète, du Journal, et c'est ce que l'éditeur Charpentier vient d'entreprendre, fort heureusement pour lui, nous n'en doutons pas, et pour tous ceux qui s'occupent de notre histoire. On sait combien les annales du XVIIIe siècle (nous parlons bien entendu de la France) sont pauvres en documents originaux. Les mémoires de Saint-Simon s'arrêtent en 1723, et les Mémoires secrets de Bachaumont ne commencent qu'en 1762, époque où finit le Journal de Barbier, qui commence en 1718. On voit quelle importante lacune il vient remplir. Né à Paris en 1689, Barbier y mourut en 1771, après avoir, comme son père, suivi la carrière d'avocat consultant. Exclusivement homme d'affaires et de cabinet, esprit sec et froid, Barbier ne s'est guère préoccupé des personnes et des choses (1) Voy. Bibliothèque de l'Ecole des chartes, 3a série, t. I, p. 172 et suiv. A côté des affaires du parlement et des affaires judiciaires, qui tiennent une place importante dans son Journal, en nous racontant presque jour par jour les événements qui se passent sous ses yeux, Barbier, sans presque s'en douter, nous offre en plus d'un endroit le tableau curieux des désordres de l'administration, des dilapidations de la fortune publique, des misères effrayantes causées par le pacte de famine, et de l'agitation croissante des esprits. Ajoutons enfin que son livre est égayé par une foule d'anecdotes scandaleuses de la ville et de la cour, anecdotes qui ont toujours fait la joie du bourgeois de Paris. La plupart avaient été supprimées ou un peu modifiées dans l'édition de M. de La Villegille. Le nouvel éditeur n'a pas manqué de les rétablir, sauf deux ou trois conçues en tels termes, qu'il a été obligé de les laisser de côté. Les curieux en seront quittes pour les aller chercher dans le manuscrit. Les dispositions typographiques de la nouvelle édition sont excellentes et fort commodes. L'ouvrage est divisé par années, et en tête de chacune d'elles est placé un sommaire détaillé, qui se retrouve en détail en haut des pages. Enfin une table alphabétique des matières rendra, dans ce volumineux et curieux ouvrage, les recherches aussi faciles que possible. PUBLICATIONS NOUVELLES. LIVRES FRANÇAIS. Barante (De). Etudes historiques et biographiques. Paris, Di dier et C. 2 vol. in-8. Barthélemy (Ed. de). De la Noblesse au XIXe siècle et du rétablissement des dispositions pénales applicables à l'usurpation des titres. Paris, Dentu. Grand in-18. 1 fr. Barrau (H. de). Documents historiques et généalogiques sur les familles et les hommes remarquables du Rouergue. Tome III. Rodez, N. Ratery. In-8. Bellier de la Chavignerie (Em.). Institution d'une compagnie des chevaliers de l'Oiseau-Royal dans la ville de Chartres (1724-1774). Chartres, Garnier. In-8. Bernard (Aug.). Histoire de la ville de Charlieu, addition au ⚫ livre de M. Desevelinges portant le même titre. Paris, Dumoulin. In-8. Bernard (Aug.). Note sur un roi inconnu de la race carlovingienne. Paris, imprimerie Lahure. In-8. 13 p. Bussy-Rabutin (Le comte de). Histoire amoureuse des Gaules, suivie de la France galante, romans satiriques du XVIIe siècle attribués au comte de Bussy. Edition nouvelle, avec des notes et une introduction par M. Aug. Poitevin. Paris, Ad. Delahays. 2 vol. in-18. Chodzko (L.). Histoire de Pologne (7e série de la guerre d'Orient), ornée d'une carte de la Pologne, par A.-H. Dufour. Paris, Barba. Grand in-8. Charles IX. La chasse royale. Nouvelle édition, par Henri Chevreul. Paris, L. Potier. Grand in-18. Clément (P.). Les Assignats et le cours forcé du papier-monnaie. Paris, Panckoucke. In-8. Deltuf (Paul). Les Pigeons de la Bourse. Paris, Charlieu. Grand in-18. Duvergier de Hauranne. Histoire du gouvernement parlementaire en France, 1814-1848. Paris, Michel Lévy frères. 2 vol. in-8. Janet (Paul). La Famille. Leçons de philosophie morale. Paris, Ladrange. Grand in-18. Laquenille (Edm. de). Fortifications de Voves (recherches archéologiques). Chartres, Garnier. In-8. Lucien. Œuvres complètes, traduction nouvelle, par Eugène Talbot, docteur ès lettres, etc. Paris, L. Hachette et C. 2 vol. in-12. Maury (L.-F.-Alf.). Histoire des religions de la Grèce antique, depuis leur origine jusqu'à leur complète constitution. Tome I. Paris, Ladrange. In-8. Michaud, de l'Acad. franç. Histoire des croisades. Nouvelle édition, par M. Huillard-Bréholles. Paris, Furne. 4 vol. in-8, VII et 2,034 p., 4 grav. sur acier, 1 carte. Mignet. Notice historique sur la vie et les travaux de M. Lakanal. Paris, F. Didot frères. Grand in-8. Perrot (J.-F.-A.), archéologue, etc. Un dernier mot sur le prétendu polythéisme des Egyptiens. Nîmes, Baldy et Roger. In-8. Poulet-Delsalle (F.). Dictionnaire général et raisonné des éléments créateurs de la langue française. 1re livr.: A-Abluant. Paris, Lenormant. Grand in-8, 16 p. Prat (Le marquis du). Vie d'Antoine du Prat, chevalier. Paris, Quinet (Ed.). Œuvres complètes. Tome VI. Paris, Pagnerre. In-8. Raguse. Mémoires du maréchal Marmont, duc de Raguse, de 1792 à 1841. 2e édit. Tome VI à IX et dernier. Paris, Perrotin. 4 vol. in-8. Relation (La) de trois ambassades de monseigneur le comte de Roederer (P.-L.). Œuvres, publiées par son fils, le baron Saint-Julien. Les Courriers de la Fronde, en vers burlesques, Scudo (P.). Le Chevalier Sarti. Paris, Hachette. Grand in-18. Vi et 553 p. Scott (Ed.-L.). Les Noms de baptême et les prénoms. Paris, Houssiaux. In-16, 123 p. Sellier. Notice historique sur la compagnie des archers ou arbalétriers de Châlons-sur-Marne. 2e édit. Paris, V. Didron. In-8, 88 p. Semichon (E.). La Paix et la trêve de Dieu. Paris, Didier. In-8, x et 448 p. Stern (Daniel). Jeanne Darc, drame historique en cinq actes et Uchard (Mario). La Fiammina, comédie en quatre actes, en Vitet. Discours prononcé aux funérailles de M. A. de Musset, le lundi 4 mai 1857. Paris, F. Didot frères. ESTAMPES. Canrobert, maréchal, par L. Noël, d'après une photographie de Bingham. Paris. Champfleury. Paris, Lemercier. Lafayette (Mme de). Gravé par Riffaut. Paris. Morlot (Mgr F.-N.-M.), cardinal-archevêque de Paris. Paris. Parceval (F. de), amiral de France, par L. Noël, d'après Larivière. Paris. PLANS ET CARTES. Atlas souterrain de la ville de Paris, région N. E., levé et dessiné par les géomètres de l'inspection des carrières. Paris, Imprimerie impériale. Carte des chemins de fer concédés à la grande société des clemins de fer russes par l'ukase de S. M. l'empereur de Russie en date du 26 janvier (7 février) 1857. Extrait de la carte de l'Europe orientale. Paris, Andriveau-Goujon. MUSIQUE. Gounod (Ch.). Ave verum, solo de basse ou contralto. Paris, Lebeau. Panseron (A.). Douze vocalises pour basse chantante, baryton et contralto, par Marco Bordogni, arrangées pour les voix graves. Paris, Brandus. Journal des Débats. 1. L. Ratisbonne. Esquisses morales de Daniel Stern.-2. H. Baudrillart. L'abbé Saint-Pierre, de M. G. de Molinari.-3. Ph. Chasles. Mémoires de Mme de Fitz-Herbert. - 8. Ed. Laboulaye. La Liberté de conscience, par J. Simon. - 3, 9. Ph. Chasles. Littérature étrangère. 10. CuvillierFleury. Histoire du Consulat et de l'Empire, par M. Thiers (tome XV). 19. E. Renan. Histoire des religions de la Grèce antique, par M. A. Maury. - 20. M. de Barante. Le comte de Ficquelmont. 22. H. Rigault. Le Purgatoire du Dante, traduit par M. L. Ratisbonne. Le Paradis, traduit par M. Mesnard. 23. L. Ratisbonne. A. de Musset. 25. Préface de l'histoire du chancelier Bâcon, par M. Ch. de Rémusat.-26. Cuvillier-Fleury. Mme Bovary, de Flaubert. 29. Et.-J. Delécluze. La Sainte-Chapelle de Paris.- 31. E. Egger. Histoire de la révolution grecque, par M. Spyridion Tricoupi. L'Assemblée nationale, 2. A. de Pontmartin. Causeries littéraires.-3. Alb. du Boys. De l'Education, par Mgr Dupanloup. 6. Lerminier. Le Consulat et l'Empire, par M. Thiers (tome XV).-12. Rollet. Augustin Thierry.-13. Desauteiron. Exposition des œuvres de Paul Delaroche. — 17. G. de Caudemberg. Le Monde avant l'homme ou le Berceau de l'univers, par le Dr W.-F.-A. Zimmermann. 20, 26. Lerminier. Henri IV, par M. A. Poirson. - Vie du maréchal Gouvion Saint-Cyr, par le baron Gay de Vernon. 28. Am. Achard. Lettres de Silvio Pellico, par M. Ant. de Latour. Le Constitutionnel, 2, 6. Tardieu. Exposition des œuvres de Paul Delaroche.-3. P. Limayrac. Lettres du maréchal SaintArnaud.-9. L. Enault. Paris dans sa splendeur.- 10. P. Limayrac. Des causes et des effets dans notre situation littéraire. -15. H.-M. Martin. Siam et ses habitants, par sir John Bowring. 17, 24. P. Limayrac. Du Gouvernement parlementaire en France (1814-1848), par M. Duvergier de Hauranne. 23. J. Weiss. Mémoires du duc de Saint-Simon, édition Chéruel.-31. P. Limayrac. Etude sur Virgile, par M. SainteBeuve. 8. George Sand. Un été dans le Sahara, par E. Fromentin.-11. Isid. Cahen. Choix d'études sur la littérature contemporaine, par M. Villemain.-13, 27. L. Ulbach. Du Suicide, par M. E. Lisle. — 17, 25. A. Nefftzer. Réfutation des mémoires du duc de Raguse, par M. Laurent (de l'Ardèche).— 19. Izalguier. L'Im mortalité de l'âme chez les juifs, par le Dr G. Brecher.- 24. Isid. Cahen. Histoire de France de M. H. Martin (4o édit.). 26. Odysse Barot. Mémoires de sir Robert Peel. Le Siècle, 6. Taxile Delord. Le maréchal de Richelieu, par Capefigue. -7. E. de la Bédollière. La Corse et son avenir, par Jean de la Rocca. 12, 19. T. Delord. Les Tragiques, par Théod.-Agrippa d'Aubigné, avec annotations par Ludovic Lalanne. 13. Ferd. de Lasteyrie. Œuvres complètes de David (d'Angers). 15. A. Etex. Exposition des œuvres de Paul Delaroche.- 22. A. Peyrat. Mémoires du duc de Raguse. — 23. L. Jourdan. François Arago, par M. Audiganne jeune. E. d'Auriac. L'industrie française sous Louis XIV. La Patrie, 2. H. d'Audigier. Le duc de Raguse devant l'histoire. - 6. P. Clément. Situation des campagnes en France vers le milieu du XVIIIe siècle, par le marquis de Turbilly. - 9. J.-J. Arnoux. Paul Delaroche. 16. Smith. Siam et les Siamois, par sir John Bowring. - 29. Nisard. Choix d'études sur la littérature contemporaine, par M. Villemain. Le Pays, 6. Alb. Bizouard. Souvenirs du vicomte de Pelleport. -13. Barbey d'Aurevilly. Choix d'études sur la littérature contemporaine, par M. Villemain. -14. H. Nicolle. Un été dans le Sahara, par M. Eug. Fromentin.-21. J. Barbey d'Aurevilly. Des derniers tableaux de Paul Delaroche et de la pensée dans les arts. La Gazette de France, 12. Guttinguer. Mouvement littéraire.— 13. Thénot. Le Palais du Louvre. -18. Guttinguer. Sorvenirs d'Alfred de Musset. - 23. A. de Selle. Réthorique d'Aristote, traduction de M. Norbert Bonafus. 15 mai. Ch. de Rémusat. Du traditionalisme: II. Le comte de Maistre. C. Clarigny. La presse en Amérique.-G. Planche. De la moralité de l'histoire et du règne de Henri IV.-Ch. de Mazade. Georges Sand: Ses mémoires et son théâtre.-A. Lefèvre-Pontalis. Les élections de 1857 en Angleterre. - Henri Murger. Les Vacances de Camille (3 partie). — Ed. Vanéechout. Les Côtes de l'Amérique centrale et la Société hispano-américaine. |