Histoire de la philosophie |
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Page vii
... personne . L'œuvre man- querait de fidélité en même temps qu'elle manquerait de beauté . Le peintre doit choisir , dans l'existence du grand homme , les beaux moments , qui sont aussi les vrais , où l'homme a une indi- vidualité , une ...
... personne . L'œuvre man- querait de fidélité en même temps qu'elle manquerait de beauté . Le peintre doit choisir , dans l'existence du grand homme , les beaux moments , qui sont aussi les vrais , où l'homme a une indi- vidualité , une ...
Page xiii
... personne , et dont l'apparente sympathie recouvre une réelle impénétrabilité de l'âme . La véritable frater- nité philosophique a son principe dans l'ardeur même de la foi à la raison . Le précepte le plus sublime et le plus doux de la ...
... personne , et dont l'apparente sympathie recouvre une réelle impénétrabilité de l'âme . La véritable frater- nité philosophique a son principe dans l'ardeur même de la foi à la raison . Le précepte le plus sublime et le plus doux de la ...
Page xv
... personne ; c'était , dans la philosophie , l'équivalent d'une politique d'équilibre , procédant par concessions arbitraires et par refus non moins arbitraires aux divers partis . Telle n'est point , semble - t - il , la vraie méthode ...
... personne ; c'était , dans la philosophie , l'équivalent d'une politique d'équilibre , procédant par concessions arbitraires et par refus non moins arbitraires aux divers partis . Telle n'est point , semble - t - il , la vraie méthode ...
Page 2
... personne, amour de la liberté et mépris de la mort. Le dévouement est considéré comme la première des vertus, parce qu'il résume en lui ces trois sentiments. Les idées métaphysiques auxquelles se rattachent ces croyances morales sont la ...
... personne, amour de la liberté et mépris de la mort. Le dévouement est considéré comme la première des vertus, parce qu'il résume en lui ces trois sentiments. Les idées métaphysiques auxquelles se rattachent ces croyances morales sont la ...
Page 4
... personne ; tout est volonté . Puis , du polythéisme védique , la pensée indienne passe au panthéisme brahmanique . D'abord on voit les dieux nombreux et flottants se rassembler sous trois dieux souverains ; puis , der- rière eux ...
... personne ; tout est volonté . Puis , du polythéisme védique , la pensée indienne passe au panthéisme brahmanique . D'abord on voit les dieux nombreux et flottants se rassembler sous trois dieux souverains ; puis , der- rière eux ...
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Common terms and phrases
absolue actions aimer âmes amour Anaxagore Aristote beauté brahmane c'est-à-dire causes finales charité choses Confucius conscience conséquence contemplative contrat corps d'Aristote Descartes dialectique Dieu dieux dire divine doctrine doit elle-même Épicure essence éternelle ètres existe fond force forme gouvernement Hegel Héraclite Hobbes hommes humaine idées infinie intel intelligible justice Kant l'absolu l'acte l'âme l'amour l'esprit l'essence l'État l'être l'existence l'histoire l'homme l'idée l'individu l'infini l'intelligence l'unité l'univers l'universelle Leibniz liberté Locke logique lois lui-même lumière mathématiques matière mécanisme mème Mencius ment métaphysique méthode monades monde Montesquieu morale mouvement nature naturel nécessaire nécessité nirvâna notion objet panthéisme Parménide pensée perfection phénomènes philosophie physique Platon Plotin politique premier principe produit progrès propre puissance Pythagoriciens qu'une raison réalité réel religieuse rien saint saint Anselme scholastique science sensation serait seul social société Socrate sorte Spinoza Stoïcisme substance supérieur suprême système théorie tion universelle vérité vertu Victor Cousin voilà volonté libre vraie Zoroastre
Popular passages
Page 272 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. Toute...
Page 272 - Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout. Infiniment éloigné de comprendre les extrêmes, la fin des choses et leur principe sont pour lui invinciblement cachés dans un secret impénétrable, également incapable de voir le néant d'où il est tiré, et l'infini où il est englouti.
Page 278 - ... rien, suivant la seule raison, n'est juste de soi ; tout branle avec le temps. La coutume fait toute l'équité, par cette seule raison qu'elle est reçue ; c'est le fondement mystique de son autorité.
Page 525 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 246 - Car elles m'ont fait voir qu'il est possible de parvenir à des connaissances qui soient fort utiles à la vie, et qu'au lieu de cette philosophie spéculative, qu'on enseigne dans les écoles, on en peut trouver une pratique, par laquelle connaissant la force et les actions du feu, de l'eau, de l'air, des astres, des cieux et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connaissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à...
Page 277 - Suivez la manière par où ils ont commencé : c'est en faisant tout comme s'ils croyaient, en prenant de l'eau bénite, en faisant dire des messes, etc. Naturellement même cela vous fera croire et vous abêtira.
Page 368 - Les peuples d'Europe ayant exterminé ceux de l'Amérique, ils ont dû* mettre en esclavage ceux de l'Afrique, pour s'en servir à défricher tant de terres.
Page 356 - La loi, en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.
Page 245 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 357 - ... genre de vie des peuples, laboureurs, chasseurs ou pasteurs : elles doivent se rapporter au degré de liberté que la constitution peut souffrir, à la religion des habitants, à leurs inclinations, à leurs richesses, à leur nombre, à leur commerce, à leurs mœurs , à leurs manières. Enfin elles ont des rapports entre elles ; elles en ont avec leur origine , avec l'objet -du législateur, avec l'ordre des choses sur lesquelles elles sont établies. C'est dans toutes ces vues qu'il faut...