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Thlaspi toujours vert ou Corbeille d'argent, II,

p. 777.

Thuya d'Occident ou du Canada, gigantesque, de

Lobb, de Warren, de la Chine, nain à pointes d'or, pyra-
Nuisible aux betteraves, II, midal ou de Tartarie, de la Chine à rameau pendant, et

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Insecte du riz, des figues

sèches et du sucre, II, p. 126.
Sylviculture (de la). — II, p. 860 et suiv.
Symphorine.

-

Tabac. Plante industrielle. Historique, culture
et récolte, 1, p. 401 et suiv. - Tabac rustique, I, p. 402.
Tabac à larges feuilles, I, p. 403. Tabac à feuilles
étroites, 1, p. 405. - Plante narcotique, II, p. 754.
Décoction de tabac recommandée pour détruire les pu-
ces des chiens, II, p. 118.

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-

Oiseau de marais, II, p. 1022.
- Voy. EXPLOITATION DES BOIS.
Tamarix. - Arbrisseau d'ornement, II, p. 829..
Tan. — V. TANNÉE.

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-

-

-

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-

Nom donné à divers froments, I,

Traîneau en planches et en perches, instruments
de culture, I, p. 360.

Tramail.

-

Filet de pêcheur, HI, p. 1088.
Traquet. Oiseau insectivore, II, p. 51.
Trèfle commun ou des prés; culture et récolte, I,
p. 306 à 311, 312.- Trèfle hybride, I, p. 311.- Trèfle
incarnat, I, p. 313, 314. Trèfle rampant, I, p. 314.
- Trèfle des campagnes, I, p. 315. 95 de trèfle de

prés valent 100 de foin de prairie naturelle, tandis qu'il

faut 120 de trèfle incarnat pour valoir 100 de ce même

foin, I, p. 608.

Treilles.

p. 384 à 397.

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Allaitement des veaux, I, p. 727 et suiv.-

Sevrage des veaux, I, p. 729. Régime des veaux après
le sevrage, I, p. 730. Castration des måles, I, p. 732.
Engraissement des veaux, I, p. 783 et suiv.

-

-

-

Dans la Côte-d'Or, II, p. 219, 220.

Dans le Médoc, II, p. 263 et suiv.
Dans le Midi, II, p. 418 et suiv. A l'Ermitage, II,

-

-

p. 378 et 379. Dans la Champagne, II, p. 381. - En
Alsace, II, p. 383. - A Thomery, II, p. 396.

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Vermifoges. - Les plantes vermifuges sont indi- médicales, II, p. 772.

quées, II, p. 754 et 755.

Vernis du Japon. — II, p. 879. —Voy. AILANTE.

Véronique de Syrie, plante de jardin, II, p. 777.

- Véronique de Syrie à fleurs blanches, II, p. 780. — Vé-
ronique en épi, II, p. 787.

-

-

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Vices rédhibitoires.
Vidanges. — Engrais, I, p. 42 et suiv. — I, p. 52, au

mot URINE HUMAINE.

Vignes de la Côte-d'Or, II, p. 189 à 228.-De la Côte

et de l'Arrière-Côte, II, p. 228 à 240. Du Médoc, II,

p. 242 à 266. - Du midi de la France, II, p. 266 à 375.
De l'Ermitage, II, p. 375 à 379. De la Champagne, II,
p. 379 à 381.- De l'Alsace, II, p. 381 à 384. — Vignes de
Thomery, II, p. 384 à 397.

Vigne-vierge.- Plante grimpante, II, p. 835.
Vins.- Classement des vins de Médoc, II, p. 413 et
414. - Grands vins blancs de la Gironde, II, p. 414à 418.
- Classification des vins de l'Hérault et des vins du Midi

en général, II, p 426 et 427. Vins de Champagne,

II, p. 427 et suiv. — Imitations de vins de M. Petiot, II,

p. 437 et suiv. Falsifications des vins, II, p. 440 et

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FIN DE LA TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES.

DE LA FERME

ET

DES MAISONS DE CAMPAGNE

PREMIÈRE PARTIE

AGRICULTURE PROPREMENT DITE.

CHAPITRE PREMIER

DES QUALITÉS NÉCESSAIRES AU CULTIVATEUR ET A LA MÉNAGÉRE.

On a vu des hommes, nés et élevés dans les villes, rompre soudainement avec les habitudes de toute leur vie, aller aux champs, s'essayer aux rudes travaux de la ferme, et devenir, à la longue, de très-habiles cultivateurs. Nous connaissons de ces hommes-là, mais nous sommes forcé d'avouer qu'ils sont bien rares. Le nombre des citadins qui | envient l'existence champêtre est assurément considérable, et nous le comprenons. Chez eux, pour la plupart du moins, ils manquent d'air, de soleil et d'espace; et puis, quelle que soit leur position, ils subissent toutes sortes de sujétions désagréables. Ils ne s'appartiennent pas; ils appartiennent à une clientèle quelconque, clientèle de malades pour le médecin, de plaideurs pour l'avocat et l'avoué, d'acheteurs pour le commerçant; clientèle qu'il convient de ménager ét de caresser. Les magistrats ne s'appartiennent pas davantage; ils ont des devoirs à remplir à jours et heures fixes. Or, cela étant, il est bien naturel qu'ils exaltent la condition du cultivateur, de celui, bien entendu, qui n'est le vassal de personne, pas même du consommateur; de celui qui n'a pas d'ordres à recevoir, pas d'heures marquées, pas de sourires à s'imposer, pas de fausses gentillesses à grimacer, pas de redevances en retard au profit du maître ou du prêteur. Celui-là a ses coudées franches, ses nuits pleines, le grand air en tout temps, le chant de l'alouette au réveil, les beaux paysages et les larges espaces.

Voilà le côté poétique de la situation, le seul qui frappe le regard et remue l'imagination des

citadins. Il est séduisant sans doute, mais il est trompeur aussi, et il peut y avoir de l'inconvénient à laisser les gens sous le charme et sous le rêve.

Toute médaille a son revers, et la vie champêtre, si dorée et si fleurie aux yeux de l'inexpérience, a son revers aussi. Face à face du prestige qui passionne et égare, il convient d'exposer la réalité qui calme et donne à réfléchir. Nous ne pouvons pas, nous ne devons pas voir la campagne derrière un verre grossissant, à la manière de ces braves gens qui s'échappent de la ville une fois par semainé, pour venir y chercher le gazon vert, l'ombre sous les feuilles, les papillons bleus sur les fleurs, et les perdrix dans les éteules. Nous devons et voulons la voir en paysan, hiver comme été, vivante et morte, joyeuse et triste, douce et pénible, calme et tourmentée, rayonnante de promesses et écrasante de déceptions; nous voulons la voir sous ses deux faces, c'est-à-dire complétement et sérieusement. Et, tout compte fait, nous nous disons que la vie des champs, même un peu déflorée, conservera encore assez d'attraits, et continuera de l'emporter sur celle des villes.

Avec un citadin, on peut faire de loin en loin un excellent cultivateur d'arbres fruitiers, un fleuriste hors ligne, un légumiste de premier ordre, un habile éleveur d'abeilles, de volaille et de lapins, conditions et industries fort honorables, après tout, et qui ont leurs agréments et leurs profits; mais il devient presque toujours difficile de faire de ce citadin un homme de la grande culture, un

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