Taureau garonnais, I, p. 683. — Taureau de - Taureau de Parthenay, I, p. 689. – Hygiène du taureau, I, p. 723 et suiv. Emascula- Sulfatage. Sulfatage de la semence des céréales, I, p. 184, 191. - Sulfatage du bois employé dans la pépinière, II, p. 187 et 188.- Des échalas, Il, p. 208. Sulfate de chaux (Voy. PLATRE). Sulfate de fer. Son emploi dans le sulfatage des tuteurs de pépinières et des échalas, II, p. 187, 188 et; 208; comme remède dans la chlorose des végétaux, II, p. 167 et 202; contre l'oidium, II, p. 215. — Sulfate de cuivre, pour préparer la semence de froment, I, p. 183; pour falsifier le pain, Sureau. Sureau noir; propriétés médicales, II, p. 771. Sureaux d'ornement, II, p. 829. Les baies Teigne des pois, II, p. 87. Teignes des pelleteries, Tenthrèdes ou Mouches à scie. Compren- nent l'allante du cerisier (ver limace), la tenthrède du I, p. 18 à 29. Sable, argile, I, p. 18 et 19. Calcaire, humus, terres sableuses, I, p. 19 et suiv. Terres argileuses, I, p. 23 et suiv. - Terres calcaires, terres humifères, 1, p. 25. De la connais- Terrets. Cépages du Midi. Terret noir, terret Bourret ou terret gris, terret blanc, II, p. 281, 292 et Thlaspi toujours vert ou Corbeille d'argent, II, Thuya d'Occident ou du Canada, gigantesque, de Lobb, de Warren, de la Chine, nain à pointes d'or, pyra- Insecte du riz, des figues sèches et du sucre, II, p. 126. - Tabac. Plante industrielle. Historique, culture - Oiseau de marais, II, p. 1022. Tiquet. Voy. ALTISE. sous celui de Furmint, cité, II, p. 281. Décrit, II, Tondage des chevaux, 1, p. 616 et suiv. Tonneau, - Futaille de 228 litres employée dans Tordeuse ou Pyrale de la vigne, II, p. 104. Tor- deuses du prunier, du cerisier, de Holm, II, p. 104, 105. Des arbres fruitiers, II, p. 602. les terrains tourbeux, I, p. 29. Sert de combustible - - - Tournesol ou Croton des teinturiers. Culture et Maladie des canards et des oies, I, p. 970 et 974. Tourteaux. Considérés comme engrais, I, p. 33, 34. A quoi servent les tourteaux de lin, I, p. 364. - Nom donné à divers froments, I, Traîneau en planches et en perches, instruments Tramail. - Filet de pêcheur, HI, p. 1088. prés valent 100 de foin de prairie naturelle, tandis qu'il Troène. Arbrisseau d'ornement, II, p. 833. Pour les haies, II, p. 843. Sylviculture, II, p. 879. Troglodytes. Oiseaux utiles, II, p. 49 et 51. Trolle d'Europe. — Plante de parterre, II, p. 780. Trouble. Filet de pêcheur, II, p. 1088. Truie. Choix de la truie, I, p. 903. Accouple- 670. Race de Schwitz, I, p. 670 et 671. p. €72 et suiv. - Race gasconne, I, p. 675 et suiv. Race béarnaise, I, p. 677 et suiv. - Race bazadaise, I, p. 680 et 681. - Race d'Aubrac, I, p. 681 et 682. Race garonnaise, I, p. 682 et suiv. Race de Salers, I, p. 686 et suiv. Race parthenaise, I, p. 688 et suiv. Race charolaise, I, p. 691 et suiv. Race Mancelle, I, p. 698 et suiv. Race de la Camargue, I, p. 700 et 701. Race de l'Algérie, I, p. 701 et 702.- Race flamande, I, p. 702 et suiv. Race normande, I, p. 707 et suiv. I, p. 718 et suiv. - Race des Vosges, I, p. 720. — Race Valériane des jardins, II p. 780. - Valériane Varechs ou goemon. Plantes marines servant Allaitement des veaux, I, p. 727 et suiv.- Sevrage des veaux, I, p. 729. Régime des veaux après - Végétaux ligneux pour bordures, II, p. 835. Véhicules (du choix des), I, p. 622 et suiv. Velar. - Précoce ou printanier. Plante potagère, II, - - Dans la Côte-d'Or, II, p. 219, 220. Dans le Médoc, II, p. 263 et suiv. - - p. 378 et 379. Dans la Champagne, II, p. 381. - En Urbec.-Voy. URBÈRE. -Nom vulgaire du rhynchite Urbère ou Urebère.— Insecte nuisible, II, p. 218, II, p. 34 et suiv. — Déramage, II, p. 37. — Choix des co- cons pour graines, II, p. 37 et 38. Des maladies des vers à soie, II, p. 38 et 39. - Produits des vers à soie, II, p. 39 et 40. Excréments des vers à soie comme Vermifoges. - Les plantes vermifuges sont indi- médicales, II, p. 772. Vernis du Japon. — II, p. 879. —Voy. AILANTE. Véronique de Syrie, plante de jardin, II, p. 777. - Véronique de Syrie à fleurs blanches, II, p. 780. — Vé- - - Verrat. Choix du verrat, I, p. 903. longs versoirs dans les sols tenaces; plus ou moins courts dans les terres faciles à diviser, I, p. 104. Verte-longue panachée, citée et figurée, II, p. 506. Verveine de Miquelon ou à bouquets, II, p. 784. Vesce. - Classification; terres, engrais qui convien- nent; culture, récolte et emploi de la vesce, I, p. 322 Vices rédhibitoires. Vignes de la Côte-d'Or, II, p. 189 à 228.-De la Côte et de l'Arrière-Côte, II, p. 228 à 240. Du Médoc, II, p. 242 à 266. - Du midi de la France, II, p. 266 à 375. Vigne-vierge.- Plante grimpante, II, p. 835. en général, II, p 426 et 427. Vins de Champagne, FIN DE LA TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. DE LA FERME ET DES MAISONS DE CAMPAGNE PREMIÈRE PARTIE AGRICULTURE PROPREMENT DITE. CHAPITRE PREMIER DES QUALITÉS NÉCESSAIRES AU CULTIVATEUR ET A LA MÉNAGÉRE. On a vu des hommes, nés et élevés dans les villes, rompre soudainement avec les habitudes de toute leur vie, aller aux champs, s'essayer aux rudes travaux de la ferme, et devenir, à la longue, de très-habiles cultivateurs. Nous connaissons de ces hommes-là, mais nous sommes forcé d'avouer qu'ils sont bien rares. Le nombre des citadins qui | envient l'existence champêtre est assurément considérable, et nous le comprenons. Chez eux, pour la plupart du moins, ils manquent d'air, de soleil et d'espace; et puis, quelle que soit leur position, ils subissent toutes sortes de sujétions désagréables. Ils ne s'appartiennent pas; ils appartiennent à une clientèle quelconque, clientèle de malades pour le médecin, de plaideurs pour l'avocat et l'avoué, d'acheteurs pour le commerçant; clientèle qu'il convient de ménager ét de caresser. Les magistrats ne s'appartiennent pas davantage; ils ont des devoirs à remplir à jours et heures fixes. Or, cela étant, il est bien naturel qu'ils exaltent la condition du cultivateur, de celui, bien entendu, qui n'est le vassal de personne, pas même du consommateur; de celui qui n'a pas d'ordres à recevoir, pas d'heures marquées, pas de sourires à s'imposer, pas de fausses gentillesses à grimacer, pas de redevances en retard au profit du maître ou du prêteur. Celui-là a ses coudées franches, ses nuits pleines, le grand air en tout temps, le chant de l'alouette au réveil, les beaux paysages et les larges espaces. Voilà le côté poétique de la situation, le seul qui frappe le regard et remue l'imagination des citadins. Il est séduisant sans doute, mais il est trompeur aussi, et il peut y avoir de l'inconvénient à laisser les gens sous le charme et sous le rêve. Toute médaille a son revers, et la vie champêtre, si dorée et si fleurie aux yeux de l'inexpérience, a son revers aussi. Face à face du prestige qui passionne et égare, il convient d'exposer la réalité qui calme et donne à réfléchir. Nous ne pouvons pas, nous ne devons pas voir la campagne derrière un verre grossissant, à la manière de ces braves gens qui s'échappent de la ville une fois par semainé, pour venir y chercher le gazon vert, l'ombre sous les feuilles, les papillons bleus sur les fleurs, et les perdrix dans les éteules. Nous devons et voulons la voir en paysan, hiver comme été, vivante et morte, joyeuse et triste, douce et pénible, calme et tourmentée, rayonnante de promesses et écrasante de déceptions; nous voulons la voir sous ses deux faces, c'est-à-dire complétement et sérieusement. Et, tout compte fait, nous nous disons que la vie des champs, même un peu déflorée, conservera encore assez d'attraits, et continuera de l'emporter sur celle des villes. Avec un citadin, on peut faire de loin en loin un excellent cultivateur d'arbres fruitiers, un fleuriste hors ligne, un légumiste de premier ordre, un habile éleveur d'abeilles, de volaille et de lapins, conditions et industries fort honorables, après tout, et qui ont leurs agréments et leurs profits; mais il devient presque toujours difficile de faire de ce citadin un homme de la grande culture, un |