qui était le vôtre, et qui ne me laissait pas manquer mon pain quotidien dans ma solitude; personne ne l'a remplacé, et je meurs de faim. Cet ami savait que nous n'étions pas si éloignés de compte, et qu'il n'eût fallu qu'une conversation pour... Lettres inédites de Voltaire - Page 519by Voltaire - 1856 - 1202 pagesFull view - About this book
| François Marie Arouet de Voltaire - 1882 - 688 pages
...solitude; personne ne l'a remplacé, cl je meurs de faim, (let ami .sa va il que nous ifélionspassi éloignés de compte, et qu'il n'eût fallu qu'une conversation pour nous entendre * ; niais on ne trouve pas partout des hommes avec qui on puisse parler. La mullilude des livres nouveaux,... | |
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