French prose and poetry: being an advanced French reader; containing selections from the principal classical French poets and prose writers during the past two hundred years. Also a treatise upon French versification, and notes upon the selections, explanatory and critical |
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... terre ; quand vous serez monté au Capitole , où ils croyaient que Dieu était aussi pré- sent que dans le ciel , et qu'il avait enfermé le destin de la monarchie universelle ; après que vous aurez passé au travers de ce grand espace qui ...
... terre ; quand vous serez monté au Capitole , où ils croyaient que Dieu était aussi pré- sent que dans le ciel , et qu'il avait enfermé le destin de la monarchie universelle ; après que vous aurez passé au travers de ce grand espace qui ...
Page 14
... terre et de leur soleil ; et que l'on ne doit point chasser un mot qui a été dans la bouche de Charlemagne et de saint Louis . Mais c'est vous principale- ment , mademoiselle , qui êtes obligée d'en prendre la protec- tion.15 14 § 4 ...
... terre et de leur soleil ; et que l'on ne doit point chasser un mot qui a été dans la bouche de Charlemagne et de saint Louis . Mais c'est vous principale- ment , mademoiselle , qui êtes obligée d'en prendre la protec- tion.15 14 § 4 ...
Page 17
... terre , encore moins qu'on la vît mendier à la porte d'un prince étranger . Non , non , sire , il n'y a ni couronne ni honneur pour vous delà la mer : si vous allez au - devant du secours d'Angleterre , il reculera ; si vous vous ...
... terre , encore moins qu'on la vît mendier à la porte d'un prince étranger . Non , non , sire , il n'y a ni couronne ni honneur pour vous delà la mer : si vous allez au - devant du secours d'Angleterre , il reculera ; si vous vous ...
Page 25
... terre , où il demeura jusqu'à sa mort , qui arriva en 1703. La permission de rentrer en France ne lui avait été accordée qu'après vingt - huit ans d'exil . On estime surtout ses Réflexions sur le génie du peuple romain , remarquables ...
... terre , où il demeura jusqu'à sa mort , qui arriva en 1703. La permission de rentrer en France ne lui avait été accordée qu'après vingt - huit ans d'exil . On estime surtout ses Réflexions sur le génie du peuple romain , remarquables ...
Page 34
... terre . Je vous ai vu que vous n'étiez pas plus grand que cela . M. JOURD . Moi ? COV . Oui . Vous étiez le plus bel enfant du monde , et toutes les dames vous prenaient dans leurs bras pour vous baiser . M. JOURD . Pour me baiser ? COV ...
... terre . Je vous ai vu que vous n'étiez pas plus grand que cela . M. JOURD . Moi ? COV . Oui . Vous étiez le plus bel enfant du monde , et toutes les dames vous prenaient dans leurs bras pour vous baiser . M. JOURD . Pour me baiser ? COV ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 81 - L'esprit de la conversation consiste bien moins à en montrer beaucoup qu'à en faire trouver aux autres : celui qui sort de votre entretien content de soi et de son esprit, l'est de vous parfaitement. Les hommes n'aiment point à vous admirer, ils veulent plaire; ils cherchent moins à être instruits, et même réjouis, qu'à être goûtés et applaudis; et le plaisir le plus délicat est de faire celui d'autrui.
Page 267 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du venu La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 33 - Jourdain. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 48 - Les sciences ont deux extrémités qui se touchent: la première est la pure ignorance naturelle, où se trouvent tous les hommes en naissant. L'autre extrémité est celle où arrivent les grandes âmes, qui, ayant parcouru tout ce que les hommes peuvent savoir, trouvent qu'ils ne savent rien, et se rencontrent en cette même ignorance d'où ils étaient partis; mais c'est une ignorance savante qui se connaît.
Page 425 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui. Je ne veux point mourir encore.
Page 90 - C'est le retranchement des vaines richesses et des plaisirs trompeurs qui leur conserve cette paix, cette union et cette liberté. Ils sont tous libres et tous égaux. On ne voit parmi eux aucune distinction, que celle qui vient de l'expérience des sages vieillards, ou de la sagesse extraordinaire de quelques jeunes hommes qui égalent les vieillards consommés en vertu. La fraude, la violence, le parjure, les procès, les guerres ne font jamais entendre leur -voix cruelle et empestée, dans ce...
Page 274 - Cette grande roideur des vertus des vieux âges Heurte trop notre siècle et les communs usages; Elle veut aux...
Page 250 - L'âge insensiblement nous conduit à la mort : Nous avons assez vu sur la mer de ce monde Errer au gré des flots notre nef vagabonde ; II est temps de jouir des délices du port. Le bien de la fortune est un bien périssable ; Quand on bâtit sur elle...
Page 264 - Creusez, fouillez, bêchez; ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse. » Le père mort, les fils vous retournent le champ, Deçà, delà, partout; si bien qu'au bout de l'an II en rapporta davantage. D'argent, point de caché. Mais le père fut sage De leur montrer, avant sa mort, Que le travail est un trésor.
Page 47 - Quand on veut reprendre avec utilité, et montrer à un autre qu'il se trompe, il faut observer par quel côté il envisage la chose, car elle est vraie ordinairement de ce côté-là, et lui avouer cette vérité, mais lui découvrir le côté par où elle est fausse.