Correspondance littéraire, philosophique et critique, adressée a un souverain d' Allemagne, depuis 1735 jusqu'en 1769, Part 3, Volume 2Longchamps, 1813 |
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Page 14
... Histoire de M. de La Harpe avec M. de Sauvigny , une autre avec M. Blin - de - Saint - Maure , etc. , n'en eût pas moins réussi si les anecdotes auxquelles elle fait állu- sion eussent été plus présentes au souvenir des spectateurs . On ...
... Histoire de M. de La Harpe avec M. de Sauvigny , une autre avec M. Blin - de - Saint - Maure , etc. , n'en eût pas moins réussi si les anecdotes auxquelles elle fait állu- sion eussent été plus présentes au souvenir des spectateurs . On ...
Page 61
... histoire , c'est que madame la Comtesse a , pour être payée , cent moyens refusés à un honnête bourgeois de Paris tel que moi ; et que si j'avais l'honneur d'être à sa place , je serais sûr de ne rien perdre . Si l'on pouvait se ...
... histoire , c'est que madame la Comtesse a , pour être payée , cent moyens refusés à un honnête bourgeois de Paris tel que moi ; et que si j'avais l'honneur d'être à sa place , je serais sûr de ne rien perdre . Si l'on pouvait se ...
Page 62
... Histoire du jeune homme qui , pour obte- nir la main de la veuve dont il est amoureux , lui déclare qu'il est résolu de se laisser mourir de faim , et qu'il ne sortira de chez elle que mort ou marié . Le valet du jeune homme fait la ...
... Histoire du jeune homme qui , pour obte- nir la main de la veuve dont il est amoureux , lui déclare qu'il est résolu de se laisser mourir de faim , et qu'il ne sortira de chez elle que mort ou marié . Le valet du jeune homme fait la ...
Page 66
... Histoire . A l'exemple de ses héros , M. l'abbé de Mably s'y livre , sans aucun égard , à toutes les saillies de sa mauvaise humeur ; il n'y a point de nom , point de réputation qui en im- pose à la liberté de sa plume ; nos plus ...
... Histoire . A l'exemple de ses héros , M. l'abbé de Mably s'y livre , sans aucun égard , à toutes les saillies de sa mauvaise humeur ; il n'y a point de nom , point de réputation qui en im- pose à la liberté de sa plume ; nos plus ...
Page 70
... Histoire ne doit jamais se » permettre de bouffonneries ; que son Histoire » universelle n'est qu'une pasquinade digne des lecteurs qui l'admirent sur la foi de nos phi- >> losophes ; que dans son Histoire de Charles XII , » le héros ...
... Histoire ne doit jamais se » permettre de bouffonneries ; que son Histoire » universelle n'est qu'une pasquinade digne des lecteurs qui l'admirent sur la foi de nos phi- >> losophes ; que dans son Histoire de Charles XII , » le héros ...
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Common terms and phrases
à-la-fois aérostatique amour applaudi assez auteur Beaumarchais beauté Brames caractère célèbre chant charme chevalier cœur comédie Comédiens comique comte de Haga comtesse d'Alembert Deslon Didon différens dire donner doute dramatique drame enfans Epigramme eût fable femmes française génie genre goût Harpe heureux homme ibid italienne j'ai jamais jeune jour juger l'abbé de Mably l'Académie l'amour l'auteur l'esprit l'honneur l'ouvrage laisser lettres long-temps Mably machine madame madame d'Epinay madame de Genlis madame de Montesson madame Dugazon mademoiselle Majesté manière Mariage de Figaro Marmontel ment mérite Messieurs mière mœurs monde Montgolfier musique n'en opéra opéra comique ouvrage paru père peut-être philosophe Physiognomonie Piccini pièce piquante plaisir poëte premier acte première représentation presque Prince public qu'un quelquefois ridicule Rivarol rôle s'est Sacchini scène Sciences semble sensible sentiment serait seul sieur spectacle spectateurs style Suard succès sujet surtout talent Télèphe teurs Théâtre Théâtre italien tion tragédie traits trouve vérité Voltaire
Popular passages
Page 81 - Oui, pour fée étourdie à vos traits je me livre ; Mais- si ma prophétie a manqué son effet, II faut vous l'avouer, c'est qu'en ouvrant mon livre J'avais pour le premier pris le second feuillet.
Page 294 - ... la vie qu'à force d'opium, mourir et ressusciter vingt fois sans cesser de mettre à profit les intervalles où ce cruel état la laissait respirer, pour remplir tous les devoirs de la tendresse maternelle et tous ceux de l'amitié la plus empressée et la plus active. Au milieu des...
Page 496 - J'ai donné ma pièce au public pour l'amuser et non pour l'instruire, non pour offrir à des bi'gueules mitigées le plaisir d'en aller penser du bien en petite loge, à condition d'en dire du mal en société. Les plaisirs du vice et les honneurs de la vertu, telle est la pruderie du siècle. Ma pièce n'est point un ouvrage équivoque, il faut l'avouer ou la fuir.
Page 483 - Noces, et la salle s'est trouvée remplie presqu'au moment où les portes ont été ouvertes au public; à peine la moitié de ceux qui les assiégeaient depuis huit heures du matin at-elle pu parvenir à se placer; la plupart entraient par force en jetant leur argent aux portiers. On n'est pas...
Page 490 - Mais Figaro?.... Le drôle à son patron • Si scandaleusement ressemble, II est si frappant qu'il fait peur ; Et pour voir à la fin tous les vices ensemble, Le parterre en chorus a demandé l'auteur.
Page 269 - ... raison. On a fait naître à M. le comte de Vaudreuil le désir de voir jouer, à sa campagne de Genevilliers , les fameuses Noces ; il l'a proposé à l'auteur, qui lui a représenté que les défenses de laisser jouer un ouvrage si innocent avaient élevé contre sa comédie un soupçon d'immoralité qui ne lui permettait d'en souffrir la représentation , quelque part que ce pût être, que lorsque l'approbation d'un censeur l'aurait lavée de cette tache. On a choisi pour censeur M. Gaillard...
Page 215 - Caron a tenté de faire représenter und pièce que Sa Majesté avait défendue , et l'a tenté sans autre garant de cette hardiesse qu'une espérance donnée , dit-on , assez vaguement par Monsieur ou par M. le comte d'Artois qu'il n'y aurait point de contre-ordre. Nous n'avons vu que la dernière répétition de ce fameux ouvrage ; elle fut fort lente et fort tumultueuse. Nous ne pouvons, d'après une telle représentation, juger que très -imparfaitement de l'ensemble de l'ouvrage.
Page 520 - Ce dépôt est confié à l'Académie française. « Les langues, comme les lois, doivent être constamment rappelées aux principes dont elles émanent. La nôtre doit aux ouvrages du génie sa force et son abondance; elle doit à la grande sociabilité de la nation une partie de ses grâces ; mais c'est à la communication réciproque des gens du monde et des gens de lettres qu'elle doit son véritable caractère, et c'est à leur association seule qu'elle peut devoir la conservation de ces avantages....
Page 496 - qui se permettent de voir un spectacle qu'elles jugent « malhonnête, pourvu qu'elles le -voient en secret : je « ne me prête pas à de pareilles fantaisies.
Page 2 - M. le comte de*** ; elle est d'un jeune homme qui s'est fait appeler long-temps M. de Parcieux, et qui, n'ayant pu prouver le droit qu'il avait de porter ce nom , s'en est vengé fort noblement en prenant celui du chevalier de Rivarol, lequel, dit-on, ne lui appartient pas mieux, mais dont il faut espérer qu'il voudra bien se contenter, tant qu'on ne l'obligera pas à en chercher un autre.