L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volumes 5-61773 - French literature |
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affez affure ainfi auffi avoient avoit befoin c'eft c'eſt caufe Chevalier de Laurès chofes Colbert Comète Confeil confidérable connoître deffins defirer déja Dieu Dieux Difcours différens efpèce efprit Eloge enfans Epitre eſt étoient étoit expofé fage faifant faint falut fang fans fe font fe trouve fecond fein femble fenfible fentiment feroit fervir feul fiècles fieur fingulière foient foin foit fous fouvent fubfiftance fuccès fuis fuite fuivi fujet fur-tout gens graces Hermotime hiftoriques homme intéreffant Jacques Bernoulli jeune jufqu'à jufte l'Académie Françoife L'ANNÉE LITTÉRAIRE l'auteur l'efprit l'Etat l'Hiftoire laiffe Libraire rue loix lorfqu'il Louis XIV Lucain ment Miniftre Moldavie Monfieur morceau mort n'avoit n'eft n'eſt Nation obferver ouvrage paffer paroît penfe Père Bofcowich perfonnes peuple Philofophes plaifir plufieurs Poëte pourroit préfente prefque Prince propofe puiffance puiffe raifon refte s'eft Saint Saint Louis Septembre 1773 ſes Tableau talens teur tion Tobie ufage vafte Volume
Popular passages
Page 20 - que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parler aux yeux , Et par les traits divers de figures tracées, Donner de la couleur et du corps aux pensées.
Page 350 - II a ravi le feu des cieux, / II fait fleurir les arts en des climats sauvages. L'Amerique le place a la tete des sages, La Grece 1'auroit mis au nombre de ses Dieux.
Page 28 - Pourquoi chercher si loin des dieux ? Jupiter est tout ce que tu vois , tout ce que tu sens en toi-même. Que ceux qui , dans un avenir douteux , portent une âme...
Page 176 - ¡ugement de leurs chefs , abattant le courage des foldats , renverfant les bataillons, & confpirant à la ruine de la République , ils ne trouvoient point d'autre remède pour arrêter ce torrent , que de s'expofer à la rage de ces cruelles divinités , & d'attirer fur eux-mêmes , par une efpèce de diverfion, les malheurs de leurs citoyens. I!
Page 180 - Stre» ntts , qui prétendoit l'avoir prife '»^dans un plus ancien auteur. Elle >> paroît avoir été faite pour* Car».thage ; mais , en changeant le nom , ; » elle peut avoir fervi à plufieurs au».tres villes , tant de l'Italie que de la » Grèce , des Gaules , d'Efpagne & » d'Afrique , dont les Romains ont: » invoqué les Dieux avant que d'en
Page 210 - Soleau , vicaire , un chantre, un fofloyeur, & un des enfans qui ont fait leur première communion ; le curé eft mort le 9 Mai ; dans le courant de ce mois il ya eu quinze morts , & dix en Juin (¿). Dans le temps où , pour affanir les maifons bâties en face de l'églife S.
Page 273 - Mais d'où vient que je nage en des flots de clarté? Ciel! malgré moi, s'égarant sur ma lyre, Mes doigts harmonieux peignent la volupté ! Fuyez, pécheurs, respectez mon délire. Je vois les élus du Seigneur Marcher d'un front riant au fond du sanctuaire : Des...
Page 155 - Il leur fallut un comédien , Qui mît à les polir fa gloire & fon étude ; Mais , Molière, à ta gloire il ne manqueroit rien, Si parmi les défauts que tu peignis fi bien , Tu les avois repris de leur ingratitude.
Page 143 - Praxitèle françois a supérieurement saisi la figure de ce poete ; il est d'une ressemblance à faire peur. Mais pourquoi l'at-il fait tout nu ? Nous ne pensons pas que cela fût nécessaire. L'aspect de ce corps décharné et dégoûtant n'ajoutera rien à la renommée de l'original.
Page 294 - Jl répandit ses larmes dans le sein d'un vieux solitaire , plus juste et plus humain que tous les autres. O mon fils ! lui dit le vieillard , tu vaux mieux que ta réputation ; rends grâces à Dieu. Heureux celui qui peut dire : Mes ennemis et mes rivaux censurent en moi des vices c/ue je n'ai pas.