Rouget de Lisle et la MarseillaiseBachelin-Deflorenne, 1864 - 122 pages |
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40 août Amable Tastu amis de Rouget ARMAND LEBAILLY armes BACHELIN-DEFLORENNE RUE beau Béranger bras Cahors champêtre asile chansonnier chansons chant de guerre Chant de l'armée chant de Roland chants héroïques Choisy Choisy-le-Roi cimetière Cinquante Chants citoyen Navoigille cœur Colnet composé couronne croix d'honneur DCCC LXIV délices Dietrich Ducessois Eau-forte par G enfants épée Félix Pyat fleurs frère gardeuse de vaches général Blein général Hoche get de Lisle Gindre de Mancy girondins gloire Hélas homme jeune Joseph jour l'armée du Rhin l'auteur l'Hymne des Marseillais l'oubli laise larmes liberté Lons-le-Saunier Louis XV madame Voïart main MARSEILLAISE Eau-forte ment Montaigu mort musicien noble œuvres parente de Rouget paroles patrie Perrotin peuple poésie poëte prison publié qu'un Quiberon reste rêve Révolution française Roland à Roncevaux Rouget de Lisle s'il Saint-Fargeau Sainte-Pélagie sang seillaise seul soldats sort souvenirs STAAL stance Tallien teurs triomphe trouve violon Voilà
Popular passages
Page 51 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides, L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre...
Page 53 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre...
Page 50 - L'étendard sanglant est levé. Entendez-vous dans ces campagnes Mugir ces féroces soldats ? Ils viennent jusque dans nos bras Egorger nos fils, nos compagnes ! Aux armes, citoyens ! formez vos bataillons ! Marchons, marchons ! Qu'un sang impur abreuve nos sillons...
Page 51 - Français! en guerriers magnanimes Portez, ou retenez vos coups. Épargnez ces tristes victimes A regret s'armant contre nous.
Page 43 - Je fis les paroles et l'air de ce chant, à Strasbourg, dans la nuit qui suivit la proclamation de la guerre, fin d'avril 1792.
Page 51 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Page 76 - Déployant ses ailes dorées, L'industrie aux cent mille bras, Joyeuse, parcourt nos climats Et fertilise nos contrées. Le désert se peuple à sa voix, Le sol aride se féconde ; Et, pour les délices du monde, Au monde elle donne des lois.
Page 50 - ALLONS, enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé ! Entendez-vous, dans les campagnes, Mugir ces féroces soldats ? Ils viennent jusque dans nos bras Égorger nos fils, nos compagnes...
Page 60 - Quel homme ennemi de la gloire Peut demander : Combien sont-ils ? Eh ! demande où sont les périls ; C'est là qu'est aussi la victoire. Lâche soldat, combien sont-ils ? Mourons pour la patrie, etc.
Page 70 - Viens, Aurore, Je t'implore, Je suis gai quand je te voi. La bergère Qui m'est chère, Est vermeille comme toi. De rosée Arrosée, La rose a moins de fraîcheur ; Une hermine Est moins fine ; Le lait a moins de blancheur. Pour entendre Sa voix tendre On déserte le hameau ; Et Tityre, Qui soupire, Fait taire son chalumeau.