Dictionnaire universel des sciences morale, économique, politique et diplomatique; ou Bibliotheque de l'homme-d'état et du citoyen; |
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Common terms and phrases
actions affaires ainſi appelle aſſez auſſi avoient avoit bonheur c'eſt cauſe cents change charge choſes citoyens civile commerce commun contraire corps Corſes Corvées côté Cour Crédit Crimes d'autres d'en d'être demande Dieu différentes dire doit doivent donner effet également enfin eſt établi état étoient étoit fans fonds font force forme forte général gens gouvernement Grecs guerre hommes intérêts jour juger juſtice l'Etat l'homme l'un liberté lieu livres loix lorſque main maniere ment mille monde mort moyens n'en n'eſt nation nature naturelle néceſſaire négociant nombre nouveau nouvelle obligé ordonne ordres Parlement particuliers payer pays peine pendant pere perſonne peuple peuvent place pluſieurs porte pouvoir premier premiere Prince propre Provinces public publique qu'à qu'un raiſon regle rendre République rien Romains Rome s'en s'il ſans ſera ſeroit ſes ſeul ſociété ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſujets ſur terre tion traité trouve vérité voie
Popular passages
Page 396 - Celui-là chez eux est sobre et modéré qui ne s'enivre que de vin ; l'usage trop fréquent qu'ils en ont fait le leur a rendu insipide ; ils cherchent à réveiller leur goût déjà éteint par des eaux-de-vie et par toutes les liqueurs les plus violentes.
Page 289 - A ces caufes , & autres à ce nous mouvant, de l'avis de notre confeil & de notre •certaine fcience, pleine puiffance & autorité royale, nous...
Page 354 - A ces caufes & autres à ce nous mouvant , de l'avis de notre Confeil , & de notre certaine fcience , pleine puiflance & autorité royale , nous...
Page 106 - Réglemens & autres chofes à ce contraires , auxquels Nous avons dérogé & dérogeons par ces préfentes : Car tel eft notre plaifir. En témoin de quoi nous y avons fait mettre notre fcel.
Page 11 - Les plaisirs, pris sans modération, abrègent plus les jours des hommes que les remèdes ne peuvent les prolonger. Les pauvres sont moins souvent malades faute de nourriture, que les riches ne le deviennent pour en prendre trop. Les alimens qui flattent trop le goût, et qui font manger au-delà du besoin, empoisonnent au lieu de nourrir.
Page 395 - ... sur votre santé, sur vos affaires ; et pendant que vous lui répondez il perd le fil de sa curiosité, vous interrompt, entame un autre sujet ; ou, s'il survient quelqu'un à qui il doive un discours tout différent, il sait, en achevant de vous congratuler, lui faire un compliment de condoléance; il pleure d'un œil, et il rit de l'autre. Se formant quelquefois sur les ministres ou sur le favori, il parle en...
Page 493 - C'eft une efpece de talion, qui fait que la fociété refufe la fureté à un citoyen qui en a privé , ou qui a voulu en priver un autre. Cette peine eft tirée de la nature de la chofe , puifée dans la raifon , & dans les fources du bien & du mal. Un citoyen mérite la mort, lorfqu'il a violé la fureté au point qu'il a ôté la vie, ou qu'il a entrepris de l'ôter. Cette peine de mort eft comme le remede de la fociété malade.
Page 335 - Expofant ou fes ayans caufe , pleinement & paifiblement , fans fouffrir qu'il leur foit fait aucun trouble ou empêchement. Voulons que la copie des Préfentes , qui fera imprimée tout au long au commencement ou à la fin...
Page 335 - Car tel eft notre plaifir ; & afin que ce foit chofe ferme , & ftable à toujours, nous y avons fait mettre notre fcel.
Page 304 - Que l'affranchi doit fe nourrir & fe vêtir à les dépens pendant la corvée } mais que s'il n'a pas de quoi fe nourrir, le patron eft obligé de le lui fournir , ou du moins" de lui donner le temps de gagner fa nourriture.