Alors un petit Juif, au long nez, au teint blême, Pauvre, mais satisfait, pensif et retiré, Esprit subtil et creux, moins lu que célébré, Caché sous le manteau de Descartes, son maître, Marchant à pas comptés, s'approcha du grand Être: « Pardonnez-moi,... Moralistes et philosophes - Page 268by Adolphe Franck - 1872 - 484 pagesFull view - About this book
| Voltaire - 1801 - 284 pages
...Descartes son maître, Marchant à pas comptés, s'approcha du grand être: « Pardonnez-moi, dit-il en lui parlant tout bas, Mais je pense, entre nous, que vous n'existez pas ; Je crois l'avoir prouvé par mes mathématiques. J'ai de plais écoliers, et de mauvais critiques.... | |
| Voltaire - French poetry - 1808 - 398 pages
...Descartes son maître , Marchant à pas comptés, s'approcha du grand Être. « Pardonnez-moi , dit-il , en lui parlant tout bas ; « Mais je pense, entre nous, que vous n'existez pas. " « Je crois l'avoir prouvé par mes mathématiques. ie J'ai de plats écoliers , et de mauvalf critiques.... | |
| Voltaire - 1821 - 602 pages
...Descartes son maître, Marchant à pas comptés, s'approcha du grand Être. ;> Pardonnez-moi, dit-il, en lui parlant tout bas; » Mais je pense, entre nous, que vous n'existez pas. (A) )> Je crois l'avoir prouvé par mes mathématiques. » J'ai de plats écoliers et de mauvais critiques.... | |
| Voltaire - 1833 - 522 pages
...Descartes, son maître, Marchant à pas comptés, s'approcha du grand Etre: « Pardonnez-moi, dit-il en lui parlant tout bas, Mais je pense, entre nous, que vous n'existez pas*. élever leurs pierres. Le lit du roi Og était de quinze pieds. Le serpent, qui eut de lougues conversations... | |
| Voltaire - 1855 - 220 pages
...Descartes, son maître, Marchant a pas comptés, s'approche du grand Être : « Pardonnez-moi, dit-il en lui parlant tout bas, » Mais je pense, entre nous, que vous n'existez pas ; » Je crois l'avoir prouvé par mes mathématiques. >j J'ai de plats écoliers et de manvais critiques... | |
| Jean Félix Nourrisson - Philosophy - 1858 - 546 pages
...Descartes, son maître, Marchant à pas comptés, s'approcha du grand Être : — Pardonnez-inoi, dit-il, en lui parlant tout bas, Mais je pense, entre nous, que vous n'existez pas; Je crois l'avoir prouvé par mes mathématiques; J'ai de plats écoliers et de mauvais critiques; Jugez-nous...... | |
| Henri Joseph Léon Baudrillart - Economics - 1858 - 558 pages
...Descartes son maître, Marchant à pas comptés s'approcha du grand Être : « Pardonnez-moi, dit-il, en lui parlant tout bas, « Mais je pense, entre nous, que vous n'existez pas. » Tout en attaquant les métaphysiciens, Voltaire a beaucoup fait de métaphysique, il en a fait toute... | |
| Voltaire - 1859 - 658 pages
...pour trouver la vérité dans les plus absurdes et les plus insipides fables. ,i Pardonnez-moi, dit-il en lui parlant tout bas, Mais je pense, entre nous, que vous n'existez pasi. Je crois l'avoir prouvé par mes mathématiques. J'ai de plats écoliers et de mauvais critiques... | |
| Voltaire - 1859 - 646 pages
...pour trouver la vérité dans les plus absurdes et les plus insipides fables. « Pardonnez-moi, dit-il en lui parlant tout bas, Mais je pense, entre nous, que vous n'existez pas1. Je crois l'avoir prouvé par mes mathématiques. J'ai de plats écoliers et de mauvais critiques... | |
| Jean-Félix Nourrisson - French language - 1867 - 632 pages
...Descartes, son maître, Marchant à pas comptés, s'approche du grand Ètrftï .V — Pardonnez-moi, dit-il, en lui parlant tout bas, Mais je pense, entre nous, que vous n'existez pas; Je crois l'avoir prouvé par mes mathématiques; J'ai de plats écoliers et de mauvais critiques; '... | |
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