L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle; Les anges y volaient sans doute obscurément, Car on voyait passer dans la nuit, par moment, Quelque chose de bleu qui paraissait une aile. La respiration de Booz qui dormait, Se mêlait au bruit sourd des... Les Poètes Français Du XIXe Siècle - Page 139edited by - 1889 - 402 pagesFull view - About this book
| Victor Hugo - 1859 - 330 pages
...Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle ; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle ; Les...mousse. On était dans le mois où la nature est douce, Les collines ayant des lys sur leur sommet. Ruth songeait et Booz dormait ; l'herbe était noire ;... | |
| 1859 - 520 pages
...Galgala. L'ombre e"tait nuptiale, auguste et solennelle ; Les anges y volaient sans doute obscure"ment, Car on voyait passer dans la nuit, par moment, Quelque...chose de bleu qui paraissait une aile. La respiration ne Booz, qui dormait, Se mêlait au bruit sourd des ruisseaux sur la mousse. On e"tait dans le mois... | |
| 1860 - 900 pages
...Booz et je vois à ses pieds la Moabite espérant on ne sait quel réveil inconnu... L'ombre élait nuptiale, auguste et solennelle; Les anges y volaient...moment. Quelque chose de bleu qui paraissait une aile. Je trouve plus loin l'histoire de Lazare et il me semble que je lis ma Bible; j'en retrouve enfm dans... | |
| Anjou (France) - 1874 - 430 pages
...monde en rumeur quelques points immobiles, Ne sera-ce point tous, pierre de nos tombeaux ? . PAVIE. Car on voyait passer dans la nuit, par moment, Quelque chose de bleu qui paraissait une aile,. , (v. HUGO.) Le temps est lourd, le soir, après un jour d'orage ; Sur le ciel assoupi passe encor... | |
| 1874 - 416 pages
...quelques points immobile*, Ne sera-ce point vous, pierre de nos tombeaux ? V. PAVIB. LUDIBRIA NOCTIS. Car on voyait passer dans la nuit, par moment. Quelque chose de bleu qui paraissait une aile... (T. HUGO.} Le temps est lourd, le soir, après un jour d'orage ; Sur le ciel assoupi passe encor un... | |
| Victor Hugo - 1877 - 432 pages
...Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle; Les souffles de la nuit flottaient sur Gaîgala. L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle; Les...mousse. On était dans le mois où la nature est douce, Les collines ayant des lis sur leur sommet. Ruth songeait et Booz dormait; l'herbe était noire; Les... | |
| Education - 1889 - 654 pages
...mouillée et molle du déluge. Et plus loin : La respiration de Booz qui dormait, Se mêlait au brait sourd des ruisseaux sur la mousse. On était dans le mois où la nature est douce, Les collines ayant des lys sur leur sommet. Ruth songeait et Booz dormait; l'herbe était noire. Voilà... | |
| Victor Hugo - 1882 - 422 pages
...d'elle Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle ; ^•...mêlait au bruit sourd des ruisseaux sur la mousse. y On était dans le mois où la nature est douce, \-*- tjit -î.1 «*\-'st 4 ' .;-" .'' • Les collmes... | |
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