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tie chez les Romains, 165. Les barbares incorporés dans les armées romaines ne veulent pas s'y soumettre, 168. Comparaison de son ancienne rigidité avec son relâchement, 169. Disputes. Naturelles aux Grecs, 209. Opiniâtres en matière de religion, ibid. Quels égards elles méritent de la part des souverains, 211. Divination par l'eau d'un bassin: en usage dans l'empire grec, 229. Voy. Augures et Devins. Divisions. S'apaisent plus aisément dans un état monarchi

École militaire des Romains, 14. Égypte. Idée du gouvernement

de ce royaume après la mort d'Alexandre, 46 et suiv. Mauvaise conduite de ses rois, 47. Conquise par Auguste, 156. Egyptiens. En quoi consistoient leurs principales forces, 48. Les Romains les privent des troupes auxiliaires qu'ils tiroient de la Grèce, ibid. Empereurs romains. Etoient

chefs nés des armées, 115. Leur puissance grossit par degrés, 119. Les plus cruels n'étoient point haïs du bas peuple: pourquoi, 128. Etoient proclamés par les armées romaines, 131. Inconvénient de cette forme d'élection, ibid. et suiv. Tâchent en vain de faire respecter l'autorité du sénat, 132 et suiv. Successeurs de Néron jusqu'à Vespasien, 134. Leur puissance pouvoit paroître plus tyrannique que celle des princes de nos jours: pourquoi, 139. Souvent étrangers: pourquoi, 142. Meurtres de

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que que dans un état républicain, 25. Divisions dans Rome, 68. DOMITIEN, empereur. Monstre de cruauté, 133. DRUSILLE. L'empereur Caligula, son frère, lui fait décerner les honneurs divins, 128. DUILLIUS (le consul). Gagne une

bataille navale sur les Carthaginois, 32 et suiv. DURONIUS (le tribun M.). Chassé du sénat: pourquoi, 73 et suiv. Duumvirs. Leurs fonctions religieuses, 238.

plusieurs empereurs de suite, depuis Alexandre jusqu'à Dèce inclusivement, 147. Qui rétablissent l'empire chancelant, 151. Leur vie commence à être plus en sûreté, 152. Mènent une vie plus molle et moins appliquée aux affaires, 153. Veulent se faire adorer, 154. Peints de différentes couleurs, suivant les passions de leurs historiens, 159. Plusieurs empereurs grecs haïs de leurs sujets pour cause de religion, 195. Dispositions des peuples à leur égard, 196. Réveillent les disputes théologiques au lieu de les assoupir, 210. Laissent tout-à-fait périr la marine, 220.

Empire romain. Son établissement, 95. Comparé au gouvernement d'Alger, 148. Inondé par divers peuples barbares, 149. Les repousse, et s'en débarrasse, 151. Association de plusieurs princes à l'empire, 149 et 151. Partage de l'empire, 152 et 155. Ne fut jamais

plus foible que dans le temps que ses frontières étoient le mieux fortifiées, 191. Empires. Voyez Orient, Occident, Grecs, Turcs. Entreprises (les grandes ). Plus difficiles à mener parmi nous que chez les anciens : pourquoi,

197.

Epée. Les Romains quittent la leur pour en prendre à l'espagnole, 18. Epicurisme. Introduit à Rome sur la fin de la république, y produit la corruption des mœurs, 82.

Eques. Peuple belliqueux, 8.

Fantes (les) que commettent ceux qui gouvernent sont quelquefois des effets nécessaires de la situation des affaires, 164. Fécialiens. Leurs fonctions dans

l'ordre religieux et dans l'ordre politique, 239. Femmes (par quel motif la pluralité des) est en usage en Orient, 187.

Festins. Loi qui en bornoit les dépenses à Rome, abrogée par le tribun Duronius, 73 et suiv. Feux grégeois. Défense par les empereurs grecs d'en donner connoissance aux barbares, 214.

Fiefs. Si les lois des fiefs sont par

GABINIUS. Vient demander le triomphe après une guerre qu'il a entreprise malgré le peuple, 112. GALBA (l'empereur). Ne tient l'empire que peu de temps, 134.

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elles-mêmes préjudiciables à la durée d'un empire, 63. Flottes. Portoient autrefois un bien plus grand nombre de soldats qu'à présent : pourquoi, 31. Une flotte en état de tenir la mer ne se fait pas en peu de Fortune. Ce n'est pas elle qui détemps, 32.

cide du sort des empires, 165. François croisés. Leur mauvaise

conduite en Orient, 218. Frise et Hollande. N'étoient autrefois ni habitées ni habitables, 200. Frondeurs baléares. Autrefois les plus estimés, 18. Frontières de l'empire fortifiées par Justinien, 191 et suiv.

GALLUS. Incursions des barbares sur les terres de l'empire, sous son règne, 150. Pourquoi ils ne s'y établirent pas alors, 176. Gaule (gouvernement de la), tant cisalpine que transalpine, confié à César, 92.

Gaulois. Parallèle de ce peuple avec les Romains, 23 et suiv. Genéraux des armées romaines. Cause de l'accroissement de leur autorité, 75. GENSERIC, roi des Vendales, 178. GERMANICUS. Le peuple romain le pleure, 124. Gladiateurs. On en donnoit le spectacle aux soldats romains pour les accoutumer à voir couler le sang, 17.

GORDIENS (les empereurs). Sont assassinés tous les trois, 147. Goths. Reçus par Valens sur les terres de l'empire, 161 et suiv. Gouvernement libre. Quel il doit être pour se pouvoir maintenir, 74. Gouvernement de Rome. Son excellence, en ce qu'il contenoit dans son système les moyens de corriger les abus, 73. Gouvernement militaire. S'il est préférable au civil, 138. Inconvénient d'en changer totalement la forme, 157 et suiv. Grandeur des Romains. Causes de son accroissement, 1. 1°. Les triomphes, 2. 2°. L'adoption qu'ils faisoient des usages étrangers qu'ils jugeoient préferables aux leurs, 3. 3°. La capacité de leurs rois, ibid. 4. L'intérêt qu'avoient les consuls de se conduire en gens d'honneur pendant leur consulat, 5.5°. La distribution du butin aux soldats, et des terres conquises aux citoyens, 6. 6. Continuité des guerres, 7. 7°. Leur constance à toute épreuve, qui les préservoit du découragement, 8. 8°. Leur habileté à détruire leurs ennemis les uns par les autres, 50 et suiv. 9. L'excellence du gouvernement, dont le plan

fournissoit les moyens de corriger les abus, 73. Grandeur de Rome. Est la vraie cause de sa ruine, 79. Comparaison des causes générales de son accroissement avec celles de sa décadence, 167 et suiv. Gravure. Utilité de cet art pour

les cartes géographiques, 198. Grec (empire). Quelles sortes d'événements offre son histoire, 194. Hérésies fréquentes dans cet empire, ibid. et suiv. Envahi en grande partie par les Latins croisés, 219. Repris par les Grecs, ibid. Par quelles voies il se soutint encore après l'échec qu'y ont donné les Latins, 220. Chute totale de cet empire, 222. Grèce (état de la) après la conquête de Carthage par les Romains, 39.

Grèce (grande). Portrait des habitants qui la peuploient, 8. Grecques (villes). Les Romains les rendent indépendantes des princes à qui ils avoient appartenu, 44. Assujetties par les Romains à ne faire, sans leur consentement, ni guerres, ni alliances. 49. Mettent leur confiance dans Mithridate, 64. Grecs. Ne passoient pas pour religieux observateurs du serment, 82. Nation la plus ennemie des hérétiques qu'il y eût, 193.

Grecs (empereurs). Haïs de leurs sujets pour cause de religion, ibid. et suiv. Necessèrent d'embrouiller la religion par des

controverses, 207.

Guerres. Perpétuelles ous les rois de Rome, 1. Agréables au peuple par le profit qu'il en retiroit, 4. Avec quelle vivacité les consuls romains la faisoient, 5. Presque continuelles

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Iconoclastes. Font la guerre aux images, 202. Accusés de magie par les moines, ibid. et

suiv.

JEAN et ALEXIS COMNÈNE. Rechassent les Turcs jusqu'à l'Euphrate, 217. Ignorance profonde où le clergé grec plongeoit les laïques, 205.

Illyrie (rois d'). Extrêmement

abattus par les Romains, 41. Images (culte des). Poussé à

un excès ridicule sous les empereurs grecs, 202 et suiv. Effets de ce culte superstitieux, 203. Les iconoclastes déclament contre ce culte, 204. Quelques empereurs l'a

Huns (les). Passent le Bosphore cimmérien, 160. Servent les Romains en qualité d'auxiliaires, 182.

bolissent: l'impératrice Théodora le rétablit, 205 et suiv. Impériaux (ornements). Plus respectés chez les Grecs que la personne même de l'empereur, 194.

Imprimerie. Lumières qu'elle a

répandues partout, 197. Infanterie. Dans les armées ro

maines, étoit, par rapport à la cavalerie, comme de dix à un il arrive, par la suite, tout le contraire, 167. Invasions des barbares du Nord dans l'empire, 149, 176. Causes de ces invasions, 149. Pourquoi il ne s'en fait plus de pareilles, 151.

JOSEPH et ARSENE. Se disputent

le siége de Constantinople: opiniâtreté de leurs partisans,

209.

Italie. Portrait de ses divers habitants lors de la naissance de Rome, 8. Dépeuplée par le transport du siége de l'empire en Orient, 155 et suiv. L'or et l'argent, qui y avoient été en abondance, y deviennent très-rares, 156. Čependant les empereurs en exigent toujours les mêmes tributs, 157. L'armée d'Italie s'approprie le tiers de cette région, 179. JUGURTHA. Les Romains le somment de se livrer lui-même à leur discrétion, 59. JULIEN (DIDIUS). Proclamé empereur par les soldats, est ensuite abandonné, 138. JULIEN, surnommé l'Apostat. Homme simple et modeste, 155. Service que ce prince rendit à l'empire sous Constantius, 158. Son armée poursuivie par les Arabes : pourquoi, 163.

K

Jurisprudence. Ses variations sous le seul règne de Justinien, 188 et suiv. D'où pouvoient provenir ces variations, 189 et suiv.

Justice (le droit de rendre la ). Confié par l'empereur Claude à ses officiers, 130. JUSTINIEN, empereur. Entreprend de reconquérir sur les barbares l'Afrique et l'Italie, 181. Emploie utilement les Huns, 183. Ne peut équiper contre les Vandales que cinquante vaisseaux, 184. Tableau de son règne, 186. Ses conquêtes ne font qu'affoiblir l'empire, ibid. Epouse une femme prostituée : empire qu'elle prend sur lui, 187. Idée que nous en donne Procope, 188. Dessein imprudent qu'il conçut d'exterminer tous les hétérodoxes, 190. Divisé de sentiments avec l'impératrice, ibid. Fait construire une prodigieuse quantité de forts, ibid.

KOULI-KAN. Sa conduite à l'égard de ses soldats après la conquête des Indes, 35.

Lacédémone. État des affaires de cette république après la défaite des Carthaginois par les Romains, 39. Latines

Colonies

villes ). d'Albe: par qui fondées, 9. Latins. Peuple belliqueux, ibid. Latins croisés. Voyez Croisés. Légion romaine. Čomment elle étoit armée, 11. Comparée avec la phalange macédonienne, 42. Quarante-sept légions établies par Sylla dans divers

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endroits de l'Italie, 87. Celles d'Asie toujours vaincues par celles d'Europe, 140. Levées dans les provinces: ce qui s'ensuivit, ibid. et suiv. Retirées par Constantin des bords des grands fleuves dans l'intérieur des provinces: mauvaises suites de ce changement, 159. Législateurs romains. Firent la religion pour l'état, et les autres firent l'état pour la religion, 224. N'eurent d'autre

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