Lectures pour tous ou extraits des œuvres générales de Lamartine: choises, destinés et publiés par Lui-mème à l'usage de toutes les familles, de tous les âges |
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Page 13
... vieux jardinier de rappeler ma jument noire , qui paissait en liberté dans un verger voisin , et de la seller pour moi . La jument privée , depuis long- temps oisive , voyant la selle que le jardinier portait sur sa tête , secoua sa ...
... vieux jardinier de rappeler ma jument noire , qui paissait en liberté dans un verger voisin , et de la seller pour moi . La jument privée , depuis long- temps oisive , voyant la selle que le jardinier portait sur sa tête , secoua sa ...
Page 19
... vieux et aussi vénérés que ceux de Sicile ; ils rampent plutôt qu'ils ne se dres- sent sur une pente de mousse et de gazon tellement rapide , que leurs feuilles et leurs fruits , en tombant , roulent loin de leurs racines au moindre ...
... vieux et aussi vénérés que ceux de Sicile ; ils rampent plutôt qu'ils ne se dres- sent sur une pente de mousse et de gazon tellement rapide , que leurs feuilles et leurs fruits , en tombant , roulent loin de leurs racines au moindre ...
Page 23
... vieux châtaignier . Je m'élançai , je franchis le mur , et je me retrouvai dans le sentier ; mais je n'y retrouvai plus ma jument : elle avait été effrayée par les pierres qu'un âne paissant au- dessus du sentier , sur une pente de ...
... vieux châtaignier . Je m'élançai , je franchis le mur , et je me retrouvai dans le sentier ; mais je n'y retrouvai plus ma jument : elle avait été effrayée par les pierres qu'un âne paissant au- dessus du sentier , sur une pente de ...
Page 24
... vieux et cassé dans mon enfance . Je le croyais couché depuis longues années sous une de ces pierres de granit couvertes de mousse , qui parsemaient comme des tombes son petit champ d'orge et de folle avoine autour de son haut cha- let ...
... vieux et cassé dans mon enfance . Je le croyais couché depuis longues années sous une de ces pierres de granit couvertes de mousse , qui parsemaient comme des tombes son petit champ d'orge et de folle avoine autour de son haut cha- let ...
Page 25
... vieux sorbier de votre cour , quand nous ramassions au pied de l'arbre les sorbes que la Madeleine votre femme faisait mûrir sur la paille , ou quand je rappelais les chiens courants de mon père au bord du grand bois , au - dessus de ...
... vieux sorbier de votre cour , quand nous ramassions au pied de l'arbre les sorbes que la Madeleine votre femme faisait mûrir sur la paille , ou quand je rappelais les chiens courants de mon père au bord du grand bois , au - dessus de ...
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Common terms and phrases
aime âme arbalète arbres barque blanche bois bon Dieu bord Bosphore Bossuet bras brise bruit C'était chante châtaigniers cheveux chien ciel cieux cime cœur collines couché désert divin Dumouriez écume Éden encens enfants famille femme fenêtre feuilles fille flancs fleurs flots FRIESSHARDT front genoux GESSLER gloire goutte Guillaume Tell heures hommes j'ai jamais jardin jette jeune jour l'âme l'eau l'herbe l'homme l'œil l'ombre lac des Quatre-Cantons laisse larmes lèvres Liban lierre Louis XVI Mâcon main maison Malesherbes matin mère Misène monde monsieur montagnes monte mort murmure Naples narguilé nature noir nuit ombre pain Palmyre passe passereau pauvre pensée père petite peuple pieds pierres pleurs poëte porte Procida qu'un rayons regard rocher rochers roule sable saint sapins Schwytz Seigneur sentier sentiment seul sillon sœurs soir soleil sombre souffle STAUFFACHER Syrie tendresse terre tête toit tombe tour vagues vallée vent visage voilà voile Voiron voix WALTHER yeux
Popular passages
Page 194 - Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux! Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise :
Page 128 - S'élève au créateur du jour et de la nuit, Et semble offrir à Dieu, dans son brillant langage, De la création le magnifique hommage.
Page 193 - L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive; II coule, et nous passons !" Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse, Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur, S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur?
Page 423 - Pour moi, quand' je verrais dans les célestes plaines Les astres, s'écartant de leurs routes certaines, Dans les champs de l'éther l'un par l'autre heurtés, Parcourir au hasard les cieux épouvantés; Quand j'entendrais gémir et se briser la terre ; Quand je verrais son globe errant et solitaire, Flottant loin des soleils, pleurant l'homme détruit. Se perdre dans les champs de l'éternelle nuit ; Et quand, dernier témoin de...
Page 199 - Je voudrais maintenant vider jusqu'à la lie Ce calice mêlé de nectar et de fiel : Au fond de cette coupe où je buvais la vie, Peut-être restait-il une goutte de miel...
Page 124 - Peuple! dit Louis XVI d'une voix qui retentit dans le silence et qui fut entendue distinctement de l'autre extrémité de la place , peuple ! je meurs innocent de tous les crimes qu'on m'impute ! Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France !.. » Il allait continuer; un frémissement parcourait la foule.
Page 209 - Toi, dont le monde encore ignore le vrai nom, Esprit mystérieux, mortel , ange ou démon, Qui que tu sois, Byron, bon ou fatal génie, J'aime de tes concerts la sauvage harmonie...
Page 129 - Salut, principe et fin de toi-même et du monde, Toi qui rends d'un regard l'immensité féconde; Ame de l'univers, Dieu, père, créateur, Sous tous ces noms divers je crois en toi, Seigneur; Et, sans avoir besoin d'entendre ta parole, Je lis au front des deux mon glorieux symbole.
Page 5 - On dit que ce brillant soleil N'est qu'un jouet de ta puissance, Que sous tes pieds il se balance Comme une lampe de vermeil.
Page 421 - Vers cet être inconnu, mon principe et ma fin. Qui m'en a détaché? Qui suis-je, et que dois-je être? Je meurs, et ne sais pas ce que c'est que de naître. Toi qu'en vain j'interroge, esprit, hôte inconnu, Avant de m'animer, quel ciel habitais-tu? Quel pouvoir t'a jeté sur ce globe fragile ? Quelle main t'enferma dans ta prison d'argile ? Par quels nœuds étonnants, par quels secrets rapports Le corps tient-il à toi comme tu tiens au corps ? Quel jour séparera l'âme de la matière?