Lectures pour tous ou extraits des œuvres générales de Lamartine: choises, destinés et publiés par Lui-mème à l'usage de toutes les familles, de tous les âges |
From inside the book
Results 1-5 of 24
Page 17
... large ligne aussi bleue que le ciel , lit serpentant de la Saône sur lequel flotte , de distance en distance , la fumée des navires à vapeur ; au delà , une terre fertile , la Bresse , semblable à une large fo- rêt ; plus loin , un ...
... large ligne aussi bleue que le ciel , lit serpentant de la Saône sur lequel flotte , de distance en distance , la fumée des navires à vapeur ; au delà , une terre fertile , la Bresse , semblable à une large fo- rêt ; plus loin , un ...
Page 18
... large étendue et une plus creuse profondeur de la vallée de Saint - Point , dans laquelle elle vient aboutir . A l'endroit où ce ravin s'ouvre enfin tout à fait , et où on le quitte pour descendre en serpen- tant les flancs de la vallée ...
... large étendue et une plus creuse profondeur de la vallée de Saint - Point , dans laquelle elle vient aboutir . A l'endroit où ce ravin s'ouvre enfin tout à fait , et où on le quitte pour descendre en serpen- tant les flancs de la vallée ...
Page 28
... large qu'aux autres hommes ? car je crois que vous êtes le plus vieux de la vallée . - J'ai quatre - vingts ans , me répondit le vieillard . Ma femme , la Madeleine , est morte il y a sept ans ; elle était bien plus jeune que moi . Tous ...
... large qu'aux autres hommes ? car je crois que vous êtes le plus vieux de la vallée . - J'ai quatre - vingts ans , me répondit le vieillard . Ma femme , la Madeleine , est morte il y a sept ans ; elle était bien plus jeune que moi . Tous ...
Page 47
... large goutte Découlait de sueur dont je lavais ma route . Quand je fus à peu près à moitié du chemin , Au pas où , le sentier coupé par le ravin , L'arche du petit pont , où le torrent dégorge , Joint une rive à l'autre au creux noir de ...
... large goutte Découlait de sueur dont je lavais ma route . Quand je fus à peu près à moitié du chemin , Au pas où , le sentier coupé par le ravin , L'arche du petit pont , où le torrent dégorge , Joint une rive à l'autre au creux noir de ...
Page 49
... large au lin était cousue ; Une image de sainte , au bas , avec des lis , Comme le pauvre peuple en suspend à ses lits ; Un rameau de buis sec ; plus haut , une couronne De ces fleurs de papier qu'aux fiançailles l'on donne , Que tresse ...
... large au lin était cousue ; Une image de sainte , au bas , avec des lis , Comme le pauvre peuple en suspend à ses lits ; Un rameau de buis sec ; plus haut , une couronne De ces fleurs de papier qu'aux fiançailles l'on donne , Que tresse ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
aime âme arbalète arbres barque blanche bois bon Dieu bord Bosphore Bossuet bras brise bruit C'était chante châtaigniers cheveux chien ciel cieux cime cœur collines couché désert divin Dumouriez écume Éden encens enfants famille femme fenêtre feuilles fille flancs fleurs flots FRIESSHARDT front genoux GESSLER gloire goutte Guillaume Tell heures hommes j'ai jamais jardin jette jeune jour l'âme l'eau l'herbe l'homme l'œil l'ombre lac des Quatre-Cantons laisse larmes lèvres Liban lierre Louis XVI Mâcon main maison Malesherbes matin mère Misène monde monsieur montagnes monte mort murmure Naples narguilé nature noir nuit ombre pain Palmyre passe passereau pauvre pensée père petite peuple pieds pierres pleurs poëte porte Procida qu'un rayons regard rocher rochers roule sable saint sapins Schwytz Seigneur sentier sentiment seul sillon sœurs soir soleil sombre souffle STAUFFACHER Syrie tendresse terre tête toit tombe tour vagues vallée vent visage voilà voile Voiron voix WALTHER yeux
Popular passages
Page 194 - Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux! Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise :
Page 128 - S'élève au créateur du jour et de la nuit, Et semble offrir à Dieu, dans son brillant langage, De la création le magnifique hommage.
Page 193 - L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive; II coule, et nous passons !" Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse, Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur, S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur?
Page 423 - Pour moi, quand' je verrais dans les célestes plaines Les astres, s'écartant de leurs routes certaines, Dans les champs de l'éther l'un par l'autre heurtés, Parcourir au hasard les cieux épouvantés; Quand j'entendrais gémir et se briser la terre ; Quand je verrais son globe errant et solitaire, Flottant loin des soleils, pleurant l'homme détruit. Se perdre dans les champs de l'éternelle nuit ; Et quand, dernier témoin de...
Page 199 - Je voudrais maintenant vider jusqu'à la lie Ce calice mêlé de nectar et de fiel : Au fond de cette coupe où je buvais la vie, Peut-être restait-il une goutte de miel...
Page 124 - Peuple! dit Louis XVI d'une voix qui retentit dans le silence et qui fut entendue distinctement de l'autre extrémité de la place , peuple ! je meurs innocent de tous les crimes qu'on m'impute ! Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France !.. » Il allait continuer; un frémissement parcourait la foule.
Page 209 - Toi, dont le monde encore ignore le vrai nom, Esprit mystérieux, mortel , ange ou démon, Qui que tu sois, Byron, bon ou fatal génie, J'aime de tes concerts la sauvage harmonie...
Page 129 - Salut, principe et fin de toi-même et du monde, Toi qui rends d'un regard l'immensité féconde; Ame de l'univers, Dieu, père, créateur, Sous tous ces noms divers je crois en toi, Seigneur; Et, sans avoir besoin d'entendre ta parole, Je lis au front des deux mon glorieux symbole.
Page 5 - On dit que ce brillant soleil N'est qu'un jouet de ta puissance, Que sous tes pieds il se balance Comme une lampe de vermeil.
Page 421 - Vers cet être inconnu, mon principe et ma fin. Qui m'en a détaché? Qui suis-je, et que dois-je être? Je meurs, et ne sais pas ce que c'est que de naître. Toi qu'en vain j'interroge, esprit, hôte inconnu, Avant de m'animer, quel ciel habitais-tu? Quel pouvoir t'a jeté sur ce globe fragile ? Quelle main t'enferma dans ta prison d'argile ? Par quels nœuds étonnants, par quels secrets rapports Le corps tient-il à toi comme tu tiens au corps ? Quel jour séparera l'âme de la matière?