J'étais montée à l'échelle à faire l'ouvrage des tapissiers et des ouvriers, parce qu'il ne fallait pas qu'ils entrassent ; je faisais tout moi-même, les nourrices ne mettant la main à rien, de peur d'être fatiguées et que leur lait ne fût... Bibliothèque universelle et revue suisse - Page 620edited by - 1887Full view - About this book
| Madame de Maintenon - France - 1789 - 324 pages
...tapissiers et des ouvriers , parce qu'il ne falloit pas qu'ils entrassent. Les nourrices ne mettoient la main à rien , de peur d'être fatiguées , et que leur lait ne fût moins bon. J'allois souvent de l'une à l'autre , à pied , déguisée , portant sous mon bras du linge... | |
| Jean-Joseph Regnault-Warin - 1806 - 466 pages
...tapissiers et des ouvriers , parce qu'il ne fallait pas qu'ils entrassent. Les nourrices ne mettalent la main à rien ; de peur d'être fatiguées et que leur lait fut moins bon. J'allais souvent de l'une à l'autre , à pied , déguisée , portant sous mon bras... | |
| Pierre-Louis Roederer - France - 1835 - 504 pages
...l'ouvrage des tapissiers , « parce qu'il ne fallait pas qu'ils entrassent. Les « nourrices ne mettaient la main à rien , de peur « d'être fatiguées et que leur lait ne fût moins « bon. J'allais souvent de l'une à l'autre, à pied, ei déguisée, portant sous mon bras du... | |
| 1847 - 976 pages
...tapissiers et des ouvriers, parce qu'il ne fallait pas qu'ils entras« sent. Les nourrices ne mettaient la main à rien, de peur d'être « fatiguées et que leur lait ne fût moins bon. J'allais souvent de l'une « à J'autre, à pied, déguisée, portant sous mon bras du linge,... | |
| Paul duc de Noailles - France - 1848 - 620 pages
...tapissiers et des ouvriers, parce qu'il ne fallait pas qu'ils entrassent. Les nourrices ne mettaient la main à rien de peur d'être fatiguées et que leur lait ne fût moins bon. J'allais souvent de l'une à l'autre , à pied , déguisée , portant sous mon bras du linge... | |
| Eugène Ernest Desplaces - Biography - 1865 - 712 pages
...tapissiers et des ouvriers, parce qu'il ne fallait « pas qu'ils entrassent; les nourrices ne met« taient la main à rien, de peur d'être fatiguées « et que leur lait ne fût moins bon. J'allais sou« vent de l'une à l'autre, à pied, déguisée, por« tant sous mon bras du... | |
| Madame de Maintenon - 1856 - 500 pages
...faire l'ouvrage des tapissiers et ouvriers, parce qu'il ne falloit pas qu'ils entrassent ; je faisois tout moi-même, les nourrices ne mettant la main à...d'être fatiguées et que leur lait ne fût pas bon ; j'allois souvent à pied de nourrice en nourrice, déguisée, portant sous mon bras du linge, de... | |
| Madame de Maintenon - 1856 - 498 pages
...faire l'ouvrage des tapissiers et ouvriers, parce qu'il ne falloit pas qu'ils entrassent ; je faisois tout moi-même, les nourrices ne mettant la main à...d'être fatiguées et que leur lait ne fût pas bon; j'allois souvent à pied de nourrice en nourrice, déguisée, portant sous mon bras du linge, de la... | |
| Augustin Challamel - France - 1861 - 304 pages
...tapissiers « et des ouvriers, parce qu'il ne fallait pas qu'ils entrassent; « les nourrices ne mettaient la main à rien, de peur d'être « fatiguées et que leur lait ne fût moins bon. J'allais souvent « de l'une à l'autre, à pied, déguisée, portant sous mon bras « du... | |
| Gustave Gouellain, Jean Benoît Désiré Cochet - Normandy - 1863 - 946 pages
...tapissiers et de.s ouvriers, parce qu'il ne fallait pas qu'ils entrassent. Les nourrices ne mettaient la main à rien 'de peur d'être fatiguées et que leur lait ne fût moins bon. J'allais souvent de l'une à l'autre à pied, déguisée , portant sous mon bras du linge,... | |
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