Bibliothèque universelle et revue suisseMarc Auguste Pictet, Charles Pictet de Rochemont, Frédéric Guillaume baron Maurice Bureau de la Bibliothèque universelle, 1887 - Agriculture |
From inside the book
Results 1-5 of 27
Page 19
... voyait partout , surveillant , contrôlant , rectifiant , résolu à ne laisser au hasard que le moins de prise possible . Aussi , bien qu'il ait construit ou acheté plus de cent navires dans le cours de sa carrière , il n'eut jamais à ...
... voyait partout , surveillant , contrôlant , rectifiant , résolu à ne laisser au hasard que le moins de prise possible . Aussi , bien qu'il ait construit ou acheté plus de cent navires dans le cours de sa carrière , il n'eut jamais à ...
Page 43
... . Ah ! bien oui . Par les fenêtres on voyait passer de grands chars trainés par des boeufs de leur pas lent et lourd ; des femmes se montraient avec complaisance les légumes qu'elles rapportaient dans LA CARROCHONNE . 48.
... . Ah ! bien oui . Par les fenêtres on voyait passer de grands chars trainés par des boeufs de leur pas lent et lourd ; des femmes se montraient avec complaisance les légumes qu'elles rapportaient dans LA CARROCHONNE . 48.
Page 45
... voyait avec plaisir la table couverte des mets nationaux : les crèmes tremblant dans les sala- diers , les gaufres dorées , portant des noms et des ar- moiries . Un murmure d'admiration salua l'arrivée d'un énorme poisson qu'on avait ...
... voyait avec plaisir la table couverte des mets nationaux : les crèmes tremblant dans les sala- diers , les gaufres dorées , portant des noms et des ar- moiries . Un murmure d'admiration salua l'arrivée d'un énorme poisson qu'on avait ...
Page 88
... voyait la Suisse , et il comptait y passer quelques semaines chez un ami , vieux camarade de l'Ecole centrale fixé près du Jura par l'exploitation d'une carrière . L'ami lui avait écrit : « Mon cher Robert , tu descendras à telle ...
... voyait la Suisse , et il comptait y passer quelques semaines chez un ami , vieux camarade de l'Ecole centrale fixé près du Jura par l'exploitation d'une carrière . L'ami lui avait écrit : « Mon cher Robert , tu descendras à telle ...
Page 95
... voyait le dessin d'un tombeau , vaguement ébauché , avec ces mots : ICI REPOSE LE COMTE DE LA BELLE ETOILE MORT EN SES TERRES POUR AVOIR TROP TRAVAILLÉ . A gauche , à droite , des dessins au crayon L'AVENTURE DE L'ÉTUDIANT . 95.
... voyait le dessin d'un tombeau , vaguement ébauché , avec ces mots : ICI REPOSE LE COMTE DE LA BELLE ETOILE MORT EN SES TERRES POUR AVOIR TROP TRAVAILLÉ . A gauche , à droite , des dessins au crayon L'AVENTURE DE L'ÉTUDIANT . 95.
Other editions - View all
Common terms and phrases
Allemagne allemande amis Apples arriva assez avaient beau Benjamin Constant Berolle BIBL c'était Carrochon Charing Cross charme chose cœur commodore conseil fédéral Cornélius côté cuisine d'autres demanda dire dollars donner enfants Eugène Rambert eût faisait fallait fédéral femme fenêtres garçon Genève gens Georges Bridel gouvernement grand'mère guerre Gustave HENRY BERGER heures homme j'ai jamais jeune fille joli jour l'adjudant l'Allemagne l'école l'enfant laisser Lausanne Léon Lillian livre longtemps Lucie Ludovic Halévy mademoiselle main maison maître Maroussia Massaïs mélinite ment mieux miss Conway monde monsieur Morges n'avait n'était New-York œuvre Pampigny parler passer pauvre pays pensée père personne petit petite Plon poésie poète Polack porte pouvait premier Rambert regard reste rien Russie s'en s'était savait semblait sentiment serait seul siècle sorte Staten Island Suisse table tête Tibourtzy tion tomber trouve UNIV Vanderbilt vieux visage voilà voix volume voyage voyageur vrai Walèck XXXIII yeux
Popular passages
Page 620 - J'étais montée à l'échelle à faire l'ouvrage des tapissiers et des ouvriers, parce qu'il ne fallait pas qu'ils entrassent ; je faisais tout moi-même, les nourrices ne mettant la main à rien, de peur d'être fatiguées et que leur lait ne fût...
Page 621 - Je me souviens encore que ma cousine et moi, qui étions à peu près du même âge, nous passions une partie du jour à garder les dindons de ma tante... On nous plaquait un masque sur notre nez, car on avait peur que nous ne nous...
Page 621 - On nous mettait au bras un petit panier où était notre déjeuner, avec un petit livret des quatrains de Pibrac, dont on nous donnait quelques pages à apprendre par jour. Avec cela, on nous...
Page 224 - La BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE paraît à Lausanne au commencement de chaque mois par livraisons de 224 pages, et forme chaque année quatre beaux volumes de près de 2700 pages ensemble.
Page 620 - Je passais quelquefois la nuit entière chez un de ces enfants qui était malade, dans une petite maison hors de Paris; je rentrais chez moi le matin par une petite porte de derrière, et, après m'être habillée, je montais en carrosse par celle de devant pour m'en aller à l'hôtel d'Albret ou de Richelieu, afin que ma compagnie ordinaire ne s'aperçût de rien et ne soupçonnât pas seulement que j'eusse un secret à garder; je maigrissais à vue d'œil, mais on n'en pouvait deviner la cause.
Page 616 - Fait visite au duc. Les hommes qui passent pour être durs sont de fait beaucoup plus sensibles que ceux dont on vante la sensibilité expansive. Ils se font durs parce que leur sensibilité, étant vraie, les fait souffrir. Les autres n'ont pas besoin de se faire durs, car ce qu'ils ont de sensibilité est bien facile à porter.
Page 525 - ... le chapitre des pois dure toujours : l'impatience d'en manger, le plaisir d'en avoir mangé, et la joie d'en manger encore , sont les trois points que nos princes traitent depuis quatre jours. Il ya des dames qui apre; avoir soupé avec le roi , et bien soupé , trouvent des pois chez elles pour manger avant de se coucher , au risque d'une indigestion : c'est une mode , une fureur, et l'une suit l'autre.
Page 616 - On me querelle sur mon peu de sensibilité. Non, je n'ai pas peu de sensibilité, mais elle est susceptible et jamais celle des autres ne lui convient parfaitement. Elle me paraît toujours trop lourde ou trop légère et me heurte. Je n'y trouve rien de juste ni de très profond; je n'y vois qu'un moyen de se débarrasser de sa douleur, qui me paraît ignoble.
Page 650 - II lit au front de ceux qu'un vain luxe environne Que la Fortune vend ce qu'on croit qu'elle donne. Approche-t-il du but, quitte-t-il ce séjour; Rien ne trouble sa fin : c'est le soir d'un beau jour.