Bibliothèque universelle et revue suisseMarc Auguste Pictet, Charles Pictet de Rochemont, Frédéric Guillaume baron Maurice Bureaux de la Bibliothèque universelle, 1887 - Agriculture |
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Page 27
... un frappant contraste avec celui de son père , et l'affection mutuelle , les égards des époux l'un pour l'autre , leur cordialité envers les quelques amis qui ne crai- gnaient pas de fréquenter le modeste logis de Broadway , suffisaient ...
... un frappant contraste avec celui de son père , et l'affection mutuelle , les égards des époux l'un pour l'autre , leur cordialité envers les quelques amis qui ne crai- gnaient pas de fréquenter le modeste logis de Broadway , suffisaient ...
Page 31
... un peu en bas , dit le conducteur , il fau- drait pas mal d'argent pour le remonter . Rien que les échafaudages , ça coûterait déjà bon .... La voiture s'était arrêtée , des enfants passaient sur la route , le cocher cria à l'un d'eux ...
... un peu en bas , dit le conducteur , il fau- drait pas mal d'argent pour le remonter . Rien que les échafaudages , ça coûterait déjà bon .... La voiture s'était arrêtée , des enfants passaient sur la route , le cocher cria à l'un d'eux ...
Page 40
... un coup aux polissons ; l'un d'eux , but- tant sur des cailloux , au bord de la chaussée , s'y étala . - C'est bien fait , cria Charles en tapant plus fort ; t'avais - je pas dit veille - toi ? gros crétin ! Au bout d'un long ruban de ...
... un coup aux polissons ; l'un d'eux , but- tant sur des cailloux , au bord de la chaussée , s'y étala . - C'est bien fait , cria Charles en tapant plus fort ; t'avais - je pas dit veille - toi ? gros crétin ! Au bout d'un long ruban de ...
Page 41
... un soldat en faction regardait fixement la voiture qui arrivait au trot : Halte ! qui vive ? dit - il d'une voix sonore en ... L'un d'eux , un adjudant sous - officier , d'allure assez déterminée , descendit le perron et marcha droit au ...
... un soldat en faction regardait fixement la voiture qui arrivait au trot : Halte ! qui vive ? dit - il d'une voix sonore en ... L'un d'eux , un adjudant sous - officier , d'allure assez déterminée , descendit le perron et marcha droit au ...
Page 47
... un grand embarras et je vous avoue que je n'ose rien vous demander du tout . Ah ! et comment me défendrez - vous ? - C'est bien simple , je dirai : Ma cliente est char- mante , elle a été injustement arrêtée , et si l'un des juges osait ...
... un grand embarras et je vous avoue que je n'ose rien vous demander du tout . Ah ! et comment me défendrez - vous ? - C'est bien simple , je dirai : Ma cliente est char- mante , elle a été injustement arrêtée , et si l'un des juges osait ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 620 - J'étais montée à l'échelle à faire l'ouvrage des tapissiers et des ouvriers, parce qu'il ne fallait pas qu'ils entrassent ; je faisais tout moi-même, les nourrices ne mettant la main à rien, de peur d'être fatiguées et que leur lait ne fût...
Page 621 - Je me souviens encore que ma cousine et moi, qui étions à peu près du même âge, nous passions une partie du jour à garder les dindons de ma tante... On nous plaquait un masque sur notre nez, car on avait peur que nous ne nous...
Page 621 - On nous mettait au bras un petit panier où était notre déjeuner, avec un petit livret des quatrains de Pibrac, dont on nous donnait quelques pages à apprendre par jour. Avec cela, on nous...
Page 224 - La BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE paraît à Lausanne au commencement de chaque mois par livraisons de 224 pages, et forme chaque année quatre beaux volumes de près de 2700 pages ensemble.
Page 620 - Je passais quelquefois la nuit entière chez un de ces enfants qui était malade, dans une petite maison hors de Paris; je rentrais chez moi le matin par une petite porte de derrière, et, après m'être habillée, je montais en carrosse par celle de devant pour m'en aller à l'hôtel d'Albret ou de Richelieu, afin que ma compagnie ordinaire ne s'aperçût de rien et ne soupçonnât pas seulement que j'eusse un secret à garder; je maigrissais à vue d'œil, mais on n'en pouvait deviner la cause.
Page 616 - Fait visite au duc. Les hommes qui passent pour être durs sont de fait beaucoup plus sensibles que ceux dont on vante la sensibilité expansive. Ils se font durs parce que leur sensibilité, étant vraie, les fait souffrir. Les autres n'ont pas besoin de se faire durs, car ce qu'ils ont de sensibilité est bien facile à porter.
Page 525 - ... le chapitre des pois dure toujours : l'impatience d'en manger, le plaisir d'en avoir mangé, et la joie d'en manger encore , sont les trois points que nos princes traitent depuis quatre jours. Il ya des dames qui apre; avoir soupé avec le roi , et bien soupé , trouvent des pois chez elles pour manger avant de se coucher , au risque d'une indigestion : c'est une mode , une fureur, et l'une suit l'autre.
Page 616 - On me querelle sur mon peu de sensibilité. Non, je n'ai pas peu de sensibilité, mais elle est susceptible et jamais celle des autres ne lui convient parfaitement. Elle me paraît toujours trop lourde ou trop légère et me heurte. Je n'y trouve rien de juste ni de très profond; je n'y vois qu'un moyen de se débarrasser de sa douleur, qui me paraît ignoble.
Page 650 - II lit au front de ceux qu'un vain luxe environne Que la Fortune vend ce qu'on croit qu'elle donne. Approche-t-il du but, quitte-t-il ce séjour; Rien ne trouble sa fin : c'est le soir d'un beau jour.