Les Poètes Français: recueil des chefs-d'oeuvre de la poésie française, depuis les origines jusqu'à nos joursEugène Crépet Gide, 1861 - French poetry |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 16
... doux ramages Des hupes , des coqus et des ramiers rouhars Dessus un arbre verd , bec en bec fretillars , Et des tourtres , aux bois , voyant les mariages . Je mourrois de plaisir , voyant , en ces beaux mois , Debusquer un matin le ...
... doux ramages Des hupes , des coqus et des ramiers rouhars Dessus un arbre verd , bec en bec fretillars , Et des tourtres , aux bois , voyant les mariages . Je mourrois de plaisir , voyant , en ces beaux mois , Debusquer un matin le ...
Page 18
... doux sommeil encor les yeux sillee 2 . Ça , ça , que je les baise et vostre beau tetin , Cent fois , pour vous apprendre à vous lever matin . ÉLÉGIE CONTRE LES BUCHERONS DE LA FOREST DE GASTINE Quiconque aura , premier 3 , la main ...
... doux sommeil encor les yeux sillee 2 . Ça , ça , que je les baise et vostre beau tetin , Cent fois , pour vous apprendre à vous lever matin . ÉLÉGIE CONTRE LES BUCHERONS DE LA FOREST DE GASTINE Quiconque aura , premier 3 , la main ...
Page 32
... doux sons Composez de ta tirelire 3 , Qu'il n'est amant qui ne desire , T'oyant chanter au renouveau * , Comme toy devenir oiseau . Quant ton chant t'a bien amusée , De l'air tu tombes en fusée Qu'une jeune pucelle , au soir , De sa ...
... doux sons Composez de ta tirelire 3 , Qu'il n'est amant qui ne desire , T'oyant chanter au renouveau * , Comme toy devenir oiseau . Quant ton chant t'a bien amusée , De l'air tu tombes en fusée Qu'une jeune pucelle , au soir , De sa ...
Page 36
... doux style , et dont notre Terpandre invoquait la muse . Nos prétentions , on le voit , sont modestes , et pour cause ; les bouquets poétiques de cette anthologie ne s'adressent pas aux contemporains de Pontus de Tyard ; or , " Le temps ...
... doux style , et dont notre Terpandre invoquait la muse . Nos prétentions , on le voit , sont modestes , et pour cause ; les bouquets poétiques de cette anthologie ne s'adressent pas aux contemporains de Pontus de Tyard ; or , " Le temps ...
Page 42
... . Niceron ; Étude sur le XVIe siècle . France et Bourgogne . Pontus de Tyard , par Abel Jeandet ( ouvrage couronné ) , Paris , A. Aubry , 4860 , 4 vol . in - 8 ; etc. - - SONNET AU SOMMEIL Pere du doux repos , Sommeil , 42 SEIZIÈME SIÈCLE .
... . Niceron ; Étude sur le XVIe siècle . France et Bourgogne . Pontus de Tyard , par Abel Jeandet ( ouvrage couronné ) , Paris , A. Aubry , 4860 , 4 vol . in - 8 ; etc. - - SONNET AU SOMMEIL Pere du doux repos , Sommeil , 42 SEIZIÈME SIÈCLE .
Other editions - View all
Common terms and phrases
Adieu aime amant âme amour assez Baïf beau beauté Bellay belle Belleau Benserade Boileau chansons chant CHARLES ASSELINEAU Charleval charme chose ciel cieux cœur Colletet Corneille cour courtisan dame Desportes Dieu dieux dire discours divin donne douce douleur doux esprit estre eût fleurs Fontaine française galant génie gloire goût heureux homme j'ai j'ay Jacques Tahureau jamais Jean jeune Jodelle jour juge l'amour l'esprit laisse langue latin littéraire lyrique madame mademoiselle main Malherbe malheur mieux mille Molière monde Montreuil mort Muses Nicolas Rapin nuict odes œuvres parler passer passion peine pensée PHILOXENE BOYER Pierre de Ronsard Pindare plaisir plaisirs pleurs poëme poésie poëte poétique Pontus Pontus de Tyard premier prince Racan raison Régnier Remy Belleau rien rimes Ronsard rose s'en s'il Saint-Pavin Sainte-Beuve satire savant Scarron Segrais seigneur sentiment sera seul sonnet sort souvent stances Tabourot Tahureau tousjours trouve veux XVIe siècle yeux
Popular passages
Page 306 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 378 - O bienheureux celui qui peut de sa mémoire Effacer pour jamais ce vain espoir de gloire, Dont l'inutile soin traverse nos plaisirs ; Et qui, loin retiré de la foule importune, Vivant dans sa maison, content de sa fortune, A, selon son pouvoir, mesuré ses désirs...
Page 608 - Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner.
Page 304 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 617 - Tantôt plus, tantôt moins, le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer; on nous ruine en fêtes: L'une fait tort à l'autre, et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 593 - Comme il disait ces mots. Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 518 - Percé jusques au fond du cœur D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle, Misérable vengeur d'une juste querelle, Et malheureux objet d'une injuste rigueur, Je demeure immobile, et mon âme abattue Cède au coup qui me tue.
Page 619 - Craignez, Romains, craignez que le ciel quelque jour Ne transporte chez vous les pleurs et la misère ; Et, mettant en nos mains, par un juste retour, Les armes dont se sert sa vengeance sévère, II ne vous fasse, en sa colère, Nos esclaves à votre tour.
Page 377 - TIRCIS, il faut penser à faire la retraite ; La course de nos jours est plus qu'à demi faite , L'âge insensiblement nous conduit à la mort : Nous avons assez vu sur la mer de ce monde Errer au gré des flots notre nef vagabonde ; II est temps de jouir des délices du port.