Les Poètes Français: recueil des chefs-d'oeuvre de la poésie française, depuis les origines jusqu'à nos joursEugène Crépet Gide, 1861 - French poetry |
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... coup d'œil toute l'histoire de l'art , le plus mince écolier sait aujourd'hui quels obstacles invincibles s'opposent à l'éclosion d'un poëme épique en de- hors des âges primitifs d'un peuple , et comment , si , par impossible , nous ...
... coup d'œil toute l'histoire de l'art , le plus mince écolier sait aujourd'hui quels obstacles invincibles s'opposent à l'éclosion d'un poëme épique en de- hors des âges primitifs d'un peuple , et comment , si , par impossible , nous ...
Page 9
... coup de ses strophes , et des plus belles et des plus riches en effets harmoniques , ont été abandonnées à tort ou par impuissance , car il est plus difficile qu'on ne pense de toucher adroitement à ces armes si légères ! On sait que le ...
... coup de ses strophes , et des plus belles et des plus riches en effets harmoniques , ont été abandonnées à tort ou par impuissance , car il est plus difficile qu'on ne pense de toucher adroitement à ces armes si légères ! On sait que le ...
Page 77
... coup de patte il escrimoit , Et puis appaisoit sa cholère Tout soudain qu'on luy faisoit chère 3 . Belaud n'estoit point malplaisant , Belaud n'estoit point mal - faisant , Par intervalles . — 2 C'est - à - dire , tant sa mine était ...
... coup de patte il escrimoit , Et puis appaisoit sa cholère Tout soudain qu'on luy faisoit chère 3 . Belaud n'estoit point malplaisant , Belaud n'estoit point mal - faisant , Par intervalles . — 2 C'est - à - dire , tant sa mine était ...
Page 85
... ; Et gardez - vous d'estre plus malheureuses . 1 Abattue sous ses coups . songez que ... - Vulcain . 2 C'est - à - dire ait été la proie ... - 3 Croyez , FRAGMENT DE L'ÉLÉGIE III Quand vous lirez , ô Dames POÉSIES DE LOUISE LABÉ . 85.
... ; Et gardez - vous d'estre plus malheureuses . 1 Abattue sous ses coups . songez que ... - Vulcain . 2 C'est - à - dire ait été la proie ... - 3 Croyez , FRAGMENT DE L'ÉLÉGIE III Quand vous lirez , ô Dames POÉSIES DE LOUISE LABÉ . 85.
Page 87
... coup taris dans la source même de leur séve , ils se flétrissent et ne gran- dissent plus . Les autres « plus aimés des dieux , » meurent jeunes , en pleine verdeur et bien qu'on reconnaisse à certains signes de gra- cieuse débilité ...
... coup taris dans la source même de leur séve , ils se flétrissent et ne gran- dissent plus . Les autres « plus aimés des dieux , » meurent jeunes , en pleine verdeur et bien qu'on reconnaisse à certains signes de gra- cieuse débilité ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 306 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 378 - O bienheureux celui qui peut de sa mémoire Effacer pour jamais ce vain espoir de gloire, Dont l'inutile soin traverse nos plaisirs ; Et qui, loin retiré de la foule importune, Vivant dans sa maison, content de sa fortune, A, selon son pouvoir, mesuré ses désirs...
Page 608 - Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner.
Page 304 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 617 - Tantôt plus, tantôt moins, le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer; on nous ruine en fêtes: L'une fait tort à l'autre, et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 593 - Comme il disait ces mots. Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 518 - Percé jusques au fond du cœur D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle, Misérable vengeur d'une juste querelle, Et malheureux objet d'une injuste rigueur, Je demeure immobile, et mon âme abattue Cède au coup qui me tue.
Page 619 - Craignez, Romains, craignez que le ciel quelque jour Ne transporte chez vous les pleurs et la misère ; Et, mettant en nos mains, par un juste retour, Les armes dont se sert sa vengeance sévère, II ne vous fasse, en sa colère, Nos esclaves à votre tour.
Page 377 - TIRCIS, il faut penser à faire la retraite ; La course de nos jours est plus qu'à demi faite , L'âge insensiblement nous conduit à la mort : Nous avons assez vu sur la mer de ce monde Errer au gré des flots notre nef vagabonde ; II est temps de jouir des délices du port.