Le rêve apprivoisé: pour une psychologie historique du topos prémonitoire |
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MICHEL WOELFFLE. Héritage Je marche seul dans la nuit sans étoiles ça ne me fait rien du tout je vais debout où le vent se couche J'oublie tout je travaille le jour j'ai des nuits sans ... nuit j'écoute La nuit j'écoute la femme qui dort.
MICHEL WOELFFLE. Héritage Je marche seul dans la nuit sans étoiles ça ne me fait rien du tout je vais debout où le vent se couche J'oublie tout je travaille le jour j'ai des nuits sans ... nuit j'écoute La nuit j'écoute la femme qui dort.
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Anonyme. eXCII nuit XCIIIe nuit XCIVe nuit XCV e nuit XCVIe nuit XCVIIe nuit XCVIIIe nuit XCIXe nuit Ce nuit Histoire du petit bossu CIe nuit CIIe nuit CIIIe nuit CIV e nuit CVe nuit Histoire que raconta le marchand chrétien CVIe nuit CVIIe ...
Anonyme. eXCII nuit XCIIIe nuit XCIVe nuit XCV e nuit XCVIe nuit XCVIIe nuit XCVIIIe nuit XCIXe nuit Ce nuit Histoire du petit bossu CIe nuit CIIe nuit CIIIe nuit CIV e nuit CVe nuit Histoire que raconta le marchand chrétien CVIe nuit CVIIe ...
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La Vie: Ses Peines Et Ses Joies Floran Cazeau. Nuits Sauvages.... Nuit des vierges! Ô nuits des archanges, Nuits où tout se confond dans un nocturne mélange! Nuit des jouisseurs et des ivrognes Qui s'en foutent du temps et de leurs besognes ...
La Vie: Ses Peines Et Ses Joies Floran Cazeau. Nuits Sauvages.... Nuit des vierges! Ô nuits des archanges, Nuits où tout se confond dans un nocturne mélange! Nuit des jouisseurs et des ivrognes Qui s'en foutent du temps et de leurs besognes ...
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... nuit. Sa garde était habituellement rythmée par l'alternance entre les soins proprement dits et leur miroir administratif. Cette nuit, elle sentit tout de suite que ses collègues ne la verraient pas souvent – ni longtemps – derrière un ...
... nuit. Sa garde était habituellement rythmée par l'alternance entre les soins proprement dits et leur miroir administratif. Cette nuit, elle sentit tout de suite que ses collègues ne la verraient pas souvent – ni longtemps – derrière un ...
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... NUIT , SALOPARDS.1 PAR LA + 2 , GU + 2 IL MONTRAIT , IL N'Y AVAIT RIEN QUE LA NUIT , COMME PARTOUT D'AILLEURS , UNE NUIT ENORME QUI BOUFFAIT TOUJOUKS LA NUIT EN CONVEFS / S DE TOUTES NATURES , A PORTER ATTENUANT LE MATIN , QUELQUE PANT DANS ...
... NUIT , SALOPARDS.1 PAR LA + 2 , GU + 2 IL MONTRAIT , IL N'Y AVAIT RIEN QUE LA NUIT , COMME PARTOUT D'AILLEURS , UNE NUIT ENORME QUI BOUFFAIT TOUJOUKS LA NUIT EN CONVEFS / S DE TOUTES NATURES , A PORTER ATTENUANT LE MATIN , QUELQUE PANT DANS ...
Contents
7 | |
17 | |
27 | |
LANCIEN REGIME DE LONIRISME | 48 |
UNE REDONDANCE GLORIEUSE | 73 |
Rupture ou métamorphose? | 87 |
LOGIQUE ET ILLOGISMES DE LA VIOLENCE | 98 |
Epilogue LINVENTION DU CA | 124 |
Désirs | 135 |
Profondeurs | 141 |
BIBLIOGRAPHIE | 151 |
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Le Rêve Apprivoisé: Pour Une Psychologie Historique Du Topos Prémonitoire Paul Pelckmans Limited preview - 2023 |
Common terms and phrases
Alexandre Hardy amour Amsterdam Athalie aurait auteurs Banquo baroque Calpurnie cauchemar Cervantès chap choses coeur contenu latent contexte Corneille croire d'Athalie début dénouement Descartes Dieu dire diurne Don Quichotte Dothan doute dramaturges éveillé évidence Faublas Freud freudien gloser Hooft Horace images j'ai Jan Luyken Jean Rotrou jour l'Ancien Régime l'intrigue l'onirisme lecteur Lesage Mairet ment moderne monde Montaigne mort nuit oeuvre onirique Panthée paraitre pareil parfois Pauline penser personnage pièce Pierre du Ryer plutôt Polyeucte pourrait pourtant première prémonition présage problème prophétie psychanalyse psychologie qu'un question Racine René Girard reste rêve rêveur rien roman Rotrou Ryer s'agit s'avère sacré Saül scène secret semble sens serait seul Shakespeare sommeil songe prémonitoire soupçon souvent spectateur suggère suite sujet surtout texte théâtre classique tion Tirso Tirso de Molina topos prémonitoire tradition traditionnelles tragédie Traumdeutung des confidentes Tristan l'Hermite Ursule veille vérité violence vision Vondel vrai XVIIème siècle
Popular passages
Page 75 - Quelle apparence que j'eusse souillé la scène par le meurtre horrible d'une personne aussi vertueuse et aussi aimable qu'il fallait représenter Iphigénie ? Et quelle apparence encore de dénouer ma tragédie par le secours d'une déesse et d'une machine, et par une métamorphose, qui pouvait bien trouver quelque créance du temps d'Euripide, mais qui serait trop absurde et trop incroyable parmi nous?
Page 119 - J'admirais sa douceur, son air noble et modeste, J'ai senti tout à coup un homicide acier Que le traître en mon sein a plongé tout entier, De tant d'objets divers le bizarre assemblage...
Page 30 - David, David triomphe ; Achab seul est détruit. Impitoyable Dieu, toi seul as tout conduit ! C'est toi qui me flattant d'une vengeance aisée, M'as vingt fois en un jour à moi-même opposée : Tantôt pour un enfant excitant mes remords, Tantôt m'éblouissant de tes riches trésors, Que j'ai craint de livrer aux flammes, au pillage.
Page 14 - Qu'on rêve avec plaisir, quand notre âme blessée Autour de ce qu'elle aime est toute ramassée ! Vous le savez, seigneur, et comme, à tout propos, Un doux je ne sais quoi trouble notre repos...
Page 64 - ... considérant que toutes les mêmes pensées que nous avons étant éveillés, nous peuvent aussi venir quand nous dormons, sans qu'il y en ait aucune pour lors qui soit vraie, je me résolus de feindre que toutes les choses qui m'étaient jamais entrées en l'esprit n'étaient non plus vraies que les illusions de mes songes.
Page 63 - Il m'en advient comme de mes songes ; en songeant, je les recommande à ma mémoire (car je songe volontiers que je songe), mais le lendemain je me représente bien leur couleur comme elle estoit, ou gaye, ou triste, ou estrange; mais quels ils estoient au reste, plus j'ahane à le trouver, plus je l'enfonce en l'oubliance.
Page 118 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi. Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille.
Page 65 - Et je dois rejeter tous les doutes de ces jours passés, comme hyperboliques et ridicules, particulièrement cette incertitude si générale touchant le sommeil, que je ne pouvais distinguer de la veille ; car à présent j'y rencontre une...
Page 64 - Toutefois j'ai ici à considérer que je suis homme, et par conséquent que j'ai coutume de dormir, et de me représenter en mes songes les mêmes choses, ou quelquefois de moins vraisemblables, que ces insensés lorsqu'ils veillent. Combien de fois m'est-il arrivé de songer la nuit que j'étais en ce lieu, que j'étais habillé, que j'étais auprès du feu, quoique je fusse tout nu dedans mon lit?
Page 30 - J'allais prier Baal de veiller sur ma vie, Et chercher du repos au pied de ses autels : Que ne peut la frayeur sur l'esprit des mortels...