 | Théodore Vernier comte de Montorient - 1810 - 414 pages
...perdus, si ce livre ne nous eût relevés du bourbier; graces à ses soins, nous osons à cette heure et parler et écrire : les dames en régentent les maîtres d'école , c'est notre bréviaire ; et il invite Amiot à traduire encore Xénophon ». On doit se rappeler que le cardinal du Perron... | |
 | Blaise Pascal - Jansenists - 1816 - 432 pages
...livre ne nous « eût retirés du bourbier. Sa mercy ( grace à lui ) nous « osons à cette heure et parler et écrire; les dames « en régentent les maîtres d'école; c'est notre bre« viaire. » 5. DE BÈZE (THÉODORE). On sait avec quelle éloquence il parla dans le colloque... | |
 | Authors - 1824 - 490 pages
...« livre ne nous eût retirés du bourbier. Sa merci « ( grace à lui ) nous osons à cette heure et parler « et écrire ; les dames en régentent les maîtres « d'école; c'est notre bréviaire. » (Essais, n, 4; FRANÇOIS DE NEDFCHATEAU , Estai sur les meilleurs ouvrages écrits en prose dans... | |
 | Belgian literature - 1842 - 1214 pages
...ce livre ne nous «.eût retirés du bourbier. Sa mercy (grâce à lui), nous osons à cette "heure et parler et écrire; les dames en régentent les...qu'une main habile fit un recueil des excellents mots d'Amyot et de quelques ;iulres anciens auteurs français, qui, par je ne sais quelle bizarrené, n'ont... | |
 | Jacques Demogeot - French literature - 1852 - 684 pages
...si ce livre ne nous eût relevés du bourbier; sa merci ( grâce à lui ) nous osons à cette heure et parler et écrire; les dames en régentent les maîtres d'école : c'est notre bréviaire. » Montaigne a raison d'être reconnaissant: car s'il ne dut qu'à son aimable génie, la peinture... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1853 - 466 pages
...» Et il ajoute avec un vif sentiment de ce bienfait : « Grâce à lui, nous osons à cette heure et parler et écrire; les dames en régentent les maîtres d'école : c'est notre bréviaire. » Rien ne saurait prévaloir contre un tel témoignage. Il est juste que la récompense des écrivains... | |
 | Eugène Jung, Godefroy Eugéne Yung - 1855 - 368 pages
...ignorants étions perdus si ce livre ne nous eût relevés du bourbier; sa merci, nous osons à cette heure et parler et écrire; les dames en régentent les maîtres d'école ; c'est notre bréviaire. » Et Vaugelas : « Quelle obligation ne lui a point notre langue, n'y ayant jamais eu personne qui... | |
 | Jacques Demogeot - French literature - 1855 - 700 pages
...si ce livre ne nous eût relevés du bourbier ; sa merci (grâce à lui) nous osons à cette heure et parler et écrire ; les dames en régentent les maîtres d'école ; c'est notre bréviaire. » Montaigne a raison d'être reconnaissant : car s'il ne dut qu'à son aimable génie la peinture... | |
 | Jacques Demogeot - 1855 - 724 pages
...si ce livre ne nous eût relevés du bourbier ; sa merci (grâce à lui) nous osons à cette heure et parler et écrire ; les dames en régentent les maîtres d'école : c'est notre bréviaire. » Montaigne a raison d'être reconnaissant : car s'il ne dut qu'à son aimable génie la peinture... | |
 | Jacques Claude Demogeot - French literature - 1860 - 700 pages
...Montaigne, si ce livre ne nous eût relevés du bourbier; sa merci (grâce à lui) nous osons à cette heure et parler et écrire; les dames en régentent les maîtres d'école : c'est notre bréviaire. « Montaigne a raison d'être reconnaissant : car s'il ne dut qu'à son aimable génie la peinture... | |
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Nous autres ignorants, étions perdus, si ce livre ne nous eût relevés du bourbier; sa merci, nous osons à cette heure et parler et écrire; les dames en régentent les maîtres d'école; c'est notre bréviaire. 
