 | Yves Marie André - Philosophy - 1843 - 774 pages
...toujours resté une peine : j'ai comparé la sincérité de ma conduite ( pardonnez-moi , mon révérend père , cette comparaison ; un homme réduit à se...mon égard depuis la première accusation qu'on leur fît de ma doctrine jusqu'à la dernière punition qu'ils en font. Je vous en épargne le détail ,... | |
 | Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud, Barthélemy Hauréau, Léopold Delisle, Gaston Bruno Paulin Paris, René Cagnat, Alfred Merlin - France - 1843 - 828 pages
...toujours resté une peine : j'ai comparé la sincérité de ma conduite (pardonnez-moi, mon révérend père, cette comparaison; un homme réduit à se défendre...voudroit bien pouvoir taire), j'ai donc comparé la sincérilé de ma conduite avec le procédé plein de dissimulationque les supérieurs ont suivi à... | |
 | Victor Cousin - 1856 - 538 pages
...toujours resté une peine : j'ai comparé la sincérité de ma conduite (pardonnez-moi, mon révérend père, cette comparaison ; un homme réduit à se...plein de dissimulation que les supérieurs ont suivi a mon égard depuis la première accusation qu'on leur fit de ma doctrine jusqu'a la dernière punition... | |
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... par notre adorable pontife. « Cependant, mon révérend père, quoique Dieu m'ait donné cette patience, et que ses consolations soient beaucoup plus douces que ses coups ne sont rudes, il m'est toujours resté une peine : j'ai comparé la sincérité... 