Le diable boiteaux à ParisLib. Nouvelle, 1858 - 550 pages |
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... société est un immense tableau où le grand peintre a jeté l'om- bre à côté de la lumière , et il ne faut point se hâter de ne voir que du noir là où il ne manque pas d'é- clatants rayons de soleil ... Toutes les femmes ne sont point des ...
... société est un immense tableau où le grand peintre a jeté l'om- bre à côté de la lumière , et il ne faut point se hâter de ne voir que du noir là où il ne manque pas d'é- clatants rayons de soleil ... Toutes les femmes ne sont point des ...
Page 62
... Société est comme ces vigilantes fermières qui n'engraissent si bien leurs poulardes que pour les rendre plus propres à être mangées . -- Voilà qui est d'une philosophie horrible ! Oui ; mais elle est vraie . L'homme est sans pitié pour ...
... Société est comme ces vigilantes fermières qui n'engraissent si bien leurs poulardes que pour les rendre plus propres à être mangées . -- Voilà qui est d'une philosophie horrible ! Oui ; mais elle est vraie . L'homme est sans pitié pour ...
Page 92
... société , et , comme elle n'a rien à perdre aux yeux du monde , elle trouve parfaitement superflu de jeter sur sa conduite un voile qu'elle jette rarement sur autre chose . Quoi ! s'écria Gaston , ces gracieuses femmes , dont 92 LE ...
... société , et , comme elle n'a rien à perdre aux yeux du monde , elle trouve parfaitement superflu de jeter sur sa conduite un voile qu'elle jette rarement sur autre chose . Quoi ! s'écria Gaston , ces gracieuses femmes , dont 92 LE ...
Page 120
... société interlope qui s'agitait au- tour d'elle ... Au milieu de sa vie de dissipation , Na- thalie avait cependant su conserver une sorte de dignité qui peut - être contribuait à ses succès . Elle n'avait pas perdu le souvenir de son ...
... société interlope qui s'agitait au- tour d'elle ... Au milieu de sa vie de dissipation , Na- thalie avait cependant su conserver une sorte de dignité qui peut - être contribuait à ses succès . Elle n'avait pas perdu le souvenir de son ...
Page 125
... société a de plus pré- cieux , et pourtant nul ne songe à vanter sa discré- tion et sa vertu , et l'on a raison : il ne fait que son devoir ... De plus , cet homme que vous voyez là est un de ces intrépides voyageurs que rien n'ar- rête ...
... société a de plus pré- cieux , et pourtant nul ne songe à vanter sa discré- tion et sa vertu , et l'on a raison : il ne fait que son devoir ... De plus , cet homme que vous voyez là est un de ces intrépides voyageurs que rien n'ar- rête ...
Common terms and phrases
Ah çà arrive Arthur Asmodée assez avez beau boiteux bottes bras brave c'était cachemire cent CHAPITRE charmant cher chose cœur cornets à pistons coup cria crinoline demanda Gaston diable DIABLE BOITEUX Dieu dire duel enfant Est-ce êtes eût femme fenêtre fit Gaston fit le baron fleurs graine d'orties Grand-Cerf Grassot Guichart hameau heures honnête interrompit Gaston j'ai jamais jeter jeune ami jeune fille jeune homme jolie jour joyeux l'homme l'hôtelier Lodoïska main maire maison mari marquise matin médecin ment messieurs mille Mitoufflet Mlle Molière monde monsieur murmura n'avait Ophélia passé Paul Véronèse pauvre père petit vieillard petite piano poëte porte premier président province qu'un Rabichon racon répondit le baron reste rien rire robe roses s'écria Gaston s'était saint salon serait seul sixième étage soir sorte sourire tabac d'Espagne tête tion Triptolème trouve venait vicomte vin de Champagne voici voilà voiture voix vrai whist yeux
Popular passages
Page 177 - II ya une chose que l'on n'a point vue sous le ciel et que selon toutes les apparences on ne verra jamais: c'est une petite ville qui n'est divisée en aucuns partis; où les familles sont unies...
Page 177 - Les provinciaux et les sots sont toujours prêts à se fâcher et à croire qu'on se moque d'eux ou qu'on les méprise ; il ne faut jamais hasarder la plaisanterie, même la plus douce et la plus permise qu'avec des gens polis ou qui ont de l'esprit.
Page 177 - ... familles sont unies, et où les cousins se voient avec confiance; où un mariage n'engendre point une guerre civile; où la querelle des rangs ne se réveille pas à tous moments par l'offrande, l'encens et le pain bénit, par les processions, et par les obsèques; d'où l'on a banni les caquets, le mensonge, et la médisance; où l'on voit parler ensemble le bailli et le président, les élus et les assesseurs; où le doyen vit bien avec ses chanoines, où les chanoines ne dédaignent pas les...
Page 188 - C'est une question très difficile , et qui demande des instructions préliminaires. DONDINDAC; Avant de recevoir vos instructions , il faut que je vous conte ce qui m'est arrivé un jour. Je venais de faire bâtir un cabinet au bout de mon jardin; j'entendis une taupe qui raisonnait avec un hanneton : Voilà une belle fabrique, disait la taupe; il faut que ce soit une taupe bien puissante qui ait fait cet ouvrage. Vous vous moquez, dit le hanneton ; c'est un hanneton tout plein de génie qui est...
Page 224 - Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend pas nos rois.
Page 177 - ... rangs ne se réveille pas à tous moments par l'offrande, l'encens et le pain bénit, par les processions et par les obsèques ; d'où l'on a banni les caquets, le mensonge et la médisance ; où l'on voit parler ensemble le bailli et le président, les élus et les assesseurs ; où le doyen vit bien avec ses chanoines, où les chanoines ne dédaignent pas les chapelains, et où ceux-ci souffrent les chantres.
Page 341 - Quel plaisir de vivre sous un si beau ciel et dans ce séjour si délicieux! » Je descends dans la ville, où je n'ai pas couché deux nuits, que je ressemble à ceux qui l'habitent : j'en veux sortir.
Page 232 - Théophile : Certes, ce fut un triste jeu Quand à Paris dame Justice, Pour avoir mangé trop d'épice, Se mit tout le palais en feu.
Page 250 - XXe siècle, les seules illustrations d'un livre de lecture en principe à la portée de toutes les bourses et de toutes les intelligences...
Page 127 - Lithographie ou pour mieux dire autographié à Paris... le 23 juin 1860. Signé : La marquise de douairière. » = Les Empaillés et peines diverses, par JB Lav (Brochure in-8° imprimée à Bordeaux). On y trouve ce refrain : Vive le vin ! Vive ce jus divin 1 Je veux jusqu'à la fin Qu'il égayé ma vie ! Petit ou grand , Un homme est toujours franc , Loyal et bon vivant, S'il boit sec et souvent. Tout le monde a chanté ces vers, mais de qui sontils? La note placée au bas de la page soulève...