Le diable boiteaux à ParisLib. Nouvelle, 1858 - 550 pages |
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... monsieur ! fit le comte en s'a- dressant à un petit vieillard coquettement poudré , qui jouaitavec une magnifique tabatière d'or , en balançant sa jambe croisée et laissant voir un pied fort aristocra- tique ... Certainement ! et , du ...
... monsieur ! fit le comte en s'a- dressant à un petit vieillard coquettement poudré , qui jouaitavec une magnifique tabatière d'or , en balançant sa jambe croisée et laissant voir un pied fort aristocra- tique ... Certainement ! et , du ...
Page 7
... monsieur , réclama le vicomte , la croyance aux tables tournantes est passée à l'état de chose in- discutable ; elle a des partisans à l'Institut , et tous les vrais savants s'y rallient c'est l'émancipation du monde matériel par le ...
... monsieur , réclama le vicomte , la croyance aux tables tournantes est passée à l'état de chose in- discutable ; elle a des partisans à l'Institut , et tous les vrais savants s'y rallient c'est l'émancipation du monde matériel par le ...
Page 9
... monsieur que vous m'avez amené ce soir ? - Quel monsieur , marquise ? ... Mais ce petit vieillard là - bas , qui prend du tabac et secoue son jabot de malines . - - D'abord , marquise , je ne vous ai amené per- sonne ; car , dans ce cas ...
... monsieur que vous m'avez amené ce soir ? - Quel monsieur , marquise ? ... Mais ce petit vieillard là - bas , qui prend du tabac et secoue son jabot de malines . - - D'abord , marquise , je ne vous ai amené per- sonne ; car , dans ce cas ...
Page 10
... monsieur , lui dit - il avec hau- teur , qui avez trouvé cet ingénieux moyen de réfu- tation commode ? ... - C'est moi - même , monsieur , répondit le petit homme , en massant paisiblement une nouvelle pincée de sa poudre exotique qu'il ...
... monsieur , lui dit - il avec hau- teur , qui avez trouvé cet ingénieux moyen de réfu- tation commode ? ... - C'est moi - même , monsieur , répondit le petit homme , en massant paisiblement une nouvelle pincée de sa poudre exotique qu'il ...
Page 11
... monsieur ! s'écria - t - il ; si vous oubliez sa vieillesse , moi je n'oublie jamais que les cheveux blancs sont une couronne à laquelle nul n'a le droit de toucher ! Un bruit sec retentit sur la joue du jeune homme : ce soufflet était ...
... monsieur ! s'écria - t - il ; si vous oubliez sa vieillesse , moi je n'oublie jamais que les cheveux blancs sont une couronne à laquelle nul n'a le droit de toucher ! Un bruit sec retentit sur la joue du jeune homme : ce soufflet était ...
Common terms and phrases
Ah çà arrive Arthur Asmodée assez avez beau boiteux bottes bras brave c'était cachemire cent CHAPITRE charmant cher chose cœur cornets à pistons coup cria crinoline demanda Gaston diable DIABLE BOITEUX Dieu dire duel enfant Est-ce êtes eût femme fenêtre fit Gaston fit le baron fleurs graine d'orties Grand-Cerf Grassot Guichart hameau heures honnête interrompit Gaston j'ai jamais jeter jeune ami jeune fille jeune homme jolie jour joyeux l'homme l'hôtelier Lodoïska main maire maison mari marquise matin médecin ment messieurs mille Mitoufflet Mlle Molière monde monsieur murmura n'avait Ophélia passé Paul Véronèse pauvre père petit vieillard petite piano poëte porte premier président province qu'un Rabichon racon répondit le baron reste rien rire robe roses s'écria Gaston s'était saint salon serait seul sixième étage soir sorte sourire tabac d'Espagne tête tion Triptolème trouve venait vicomte vin de Champagne voici voilà voiture voix vrai whist yeux
Popular passages
Page 177 - II ya une chose que l'on n'a point vue sous le ciel et que selon toutes les apparences on ne verra jamais: c'est une petite ville qui n'est divisée en aucuns partis; où les familles sont unies...
Page 177 - Les provinciaux et les sots sont toujours prêts à se fâcher et à croire qu'on se moque d'eux ou qu'on les méprise ; il ne faut jamais hasarder la plaisanterie, même la plus douce et la plus permise qu'avec des gens polis ou qui ont de l'esprit.
Page 177 - ... familles sont unies, et où les cousins se voient avec confiance; où un mariage n'engendre point une guerre civile; où la querelle des rangs ne se réveille pas à tous moments par l'offrande, l'encens et le pain bénit, par les processions, et par les obsèques; d'où l'on a banni les caquets, le mensonge, et la médisance; où l'on voit parler ensemble le bailli et le président, les élus et les assesseurs; où le doyen vit bien avec ses chanoines, où les chanoines ne dédaignent pas les...
Page 188 - C'est une question très difficile , et qui demande des instructions préliminaires. DONDINDAC; Avant de recevoir vos instructions , il faut que je vous conte ce qui m'est arrivé un jour. Je venais de faire bâtir un cabinet au bout de mon jardin; j'entendis une taupe qui raisonnait avec un hanneton : Voilà une belle fabrique, disait la taupe; il faut que ce soit une taupe bien puissante qui ait fait cet ouvrage. Vous vous moquez, dit le hanneton ; c'est un hanneton tout plein de génie qui est...
Page 224 - Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend pas nos rois.
Page 177 - ... rangs ne se réveille pas à tous moments par l'offrande, l'encens et le pain bénit, par les processions et par les obsèques ; d'où l'on a banni les caquets, le mensonge et la médisance ; où l'on voit parler ensemble le bailli et le président, les élus et les assesseurs ; où le doyen vit bien avec ses chanoines, où les chanoines ne dédaignent pas les chapelains, et où ceux-ci souffrent les chantres.
Page 341 - Quel plaisir de vivre sous un si beau ciel et dans ce séjour si délicieux! » Je descends dans la ville, où je n'ai pas couché deux nuits, que je ressemble à ceux qui l'habitent : j'en veux sortir.
Page 232 - Théophile : Certes, ce fut un triste jeu Quand à Paris dame Justice, Pour avoir mangé trop d'épice, Se mit tout le palais en feu.
Page 250 - XXe siècle, les seules illustrations d'un livre de lecture en principe à la portée de toutes les bourses et de toutes les intelligences...
Page 127 - Lithographie ou pour mieux dire autographié à Paris... le 23 juin 1860. Signé : La marquise de douairière. » = Les Empaillés et peines diverses, par JB Lav (Brochure in-8° imprimée à Bordeaux). On y trouve ce refrain : Vive le vin ! Vive ce jus divin 1 Je veux jusqu'à la fin Qu'il égayé ma vie ! Petit ou grand , Un homme est toujours franc , Loyal et bon vivant, S'il boit sec et souvent. Tout le monde a chanté ces vers, mais de qui sontils? La note placée au bas de la page soulève...