Seventeenth Century French ReadingsAlbert Schinz, Helen Maxwell King |
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... jour . Il ne voulait pas aussi qu'il rimât les mots qui avaient quelque convenance , comme mon- tagne et campagne , défense et offense , père et mère , toi et moi . Il ne voulait pas non plus que l'on rimât les mots qui dérivaient les ...
... jour . Il ne voulait pas aussi qu'il rimât les mots qui avaient quelque convenance , comme mon- tagne et campagne , défense et offense , père et mère , toi et moi . Il ne voulait pas non plus que l'on rimât les mots qui dérivaient les ...
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... . Le matin L'aurore sur le front du jour Sème l'azur , l'or et l'ivoire , Et le soleil , lassé de boire , Commence son oblique tour .. • La lune fuit devant nos yeux ; La nuit a 12 DEUX RÉVOLTÉS CONTRE MALHERBE Le matin.
... . Le matin L'aurore sur le front du jour Sème l'azur , l'or et l'ivoire , Et le soleil , lassé de boire , Commence son oblique tour .. • La lune fuit devant nos yeux ; La nuit a 12 DEUX RÉVOLTÉS CONTRE MALHERBE Le matin.
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... l'enclume , Etincelle sous le marteau . Cette chandelle semble morte ; Le jour la fait évanouir . 1 Avette - abeille . 2 Ois écoute , ouïs . ΙΟ A 15 20 25 5 ΤΟ 15 20 Ce n'est pas d'aujourd'hui que je THEOPHILE DE VIAU 13.
... l'enclume , Etincelle sous le marteau . Cette chandelle semble morte ; Le jour la fait évanouir . 1 Avette - abeille . 2 Ois écoute , ouïs . ΙΟ A 15 20 25 5 ΤΟ 15 20 Ce n'est pas d'aujourd'hui que je THEOPHILE DE VIAU 13.
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... jour que tu me pris , Et j'ai fidèlement aimé ta belle tête Sous des cheveux châtains et sous des cheveux gris . C ... jours ne veut pas te laisser , Et le temps , orgueilleux d'avoir fait ton visage , En conserve l'éclat et craint de l ...
... jour que tu me pris , Et j'ai fidèlement aimé ta belle tête Sous des cheveux châtains et sous des cheveux gris . C ... jours ne veut pas te laisser , Et le temps , orgueilleux d'avoir fait ton visage , En conserve l'éclat et craint de l ...
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... jour . Mon sang se refroidit , ma force diminue , Et je serais sans feu si j'étais sans amour . C'est dans peu de matins que je croîtrai le nombre De ceux à qui la Parque a ravi la clarté . Oh ! qu'on oira1 souvent les plaintes de mon ...
... jour . Mon sang se refroidit , ma force diminue , Et je serais sans feu si j'étais sans amour . C'est dans peu de matins que je croîtrai le nombre De ceux à qui la Parque a ravi la clarté . Oh ! qu'on oira1 souvent les plaintes de mon ...
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Common terms and phrases
admirable aime âme assez auteurs avez beau beauté belle bêtes Boileau Bossuet carte de Tendre casuistes cause chanter choses chrétiens ciel Clélie cœur Condé connaissance connaître Cotin d'être Descartes dessein Dieu dire dis-je discours dit-il divertissement doctrine donner duc d'Enghien écrits esprit eût fable fille gens GEORGES DE SCUDÉRY gloire Guirlande de Julie Henriette d'Angleterre hommes Ive siècle av j'ai j'avais jamais jour jugement l'âme l'amour l'esprit l'homme laisse lanturlu lettre Louis XIV Lygdamon Madame main Malherbe maxime ment merveilles mieux Mlle Mlle de Scudéry monde morale mort n'en nature ouvrages parler paroles passage du Rhin passer passions pense père personne peuple plaisir poète premier prince princesse qu'à qu'un quelquefois Racan raison renard reste Rhin rien rimer rois s'il saint sais sait Sapho Satire savez Scudéry semble sentiments sera seul sorte souvent Sylvie Tendre terre tion trouve vanité vérité veux voilà vrai yeux ΙΟ
Popular passages
Page 171 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 86 - Mais nous, que la raison à ses règles engage, Nous voulons qu'avec art l'action se ménage : Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.
Page 222 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser : une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 325 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 83 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 325 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 220 - Nous avons beau enfler nos conceptions, au delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C'est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part.
Page 144 - Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc, prouva par sa harangue Qu'il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal. Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable ! Rien que la mort n'était capable D'expier son forfait. On le lui fit bien voir. Selon que vous serez puissant ou misérable, Les...
Page 222 - Le plus grand philosophe du monde, sur une planche plus large qu'il ne faut, s'il ya au-dessous un précipice, quoique sa raison le convainque de sa sûreté, son imagination prévaudra. Plusieurs n'en sauraient soutenir la pensée sans pâlir et suer.
Page 82 - N'offrit plus rien de' rude à l'oreille épurée. Les stances avec grâce apprirent à tomber, Et le vers sur le vers n'osa plus enjamber.