Oeuvres complètes

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Sont corrompus par le despotisme..

En 900, les villes d'Italie essayent un peu de commerce.

Les papes donnent la finesse..

Le loisir, l'opulence et le climat donnent ce que l'on ne reverra
jamais au monde, les mœurs du quatorzième siècle..
Anecdotes de la famille de Médicis..

Politique des Médicis...

Politique de Venise, seconde patrie de la peinture..

Politique de Rome, la capitale des arts au quinzième siècle,
Considérations générales sur les mœurs de ce siècle..
La peinture, après avoir donné tout ce qui était compatible avec la
civilisation du seizième siècle, tombe dans le genre ennuyeux.
Cause de la misère actuelle; la vie est dans les idées et non dans les
jouissances données par les beaux-arts,

De la monarchie absolue et des arts.
De la monarchie constitutionnelle.

LIVRE PREMIER,

CHAP. I. Des plus anciens monuments de la peinture,

CHAP. II. Nicolas Pisano voit la lumière, et il ose la suivre.

CHAP. III. Premiers sculpteurs.

CHAP. IV. Progrès de la mosaïque.

CHAP. V. Premiers peintres,

CHAP. VI. Suite des premiers peintres vers 1230.

CHAP. XII. La beauté méconnue; les Toscans trouvent les vases

étrusques et ne les imitent pas.

LIVRE SECOND.

PERFECTIONNEMENT DE LA PEINTURE DE GIOTTO A LÉONARD DE VINCI,

DE 1349 A 1466.

CHAP. XIII. Circonstances générales.

CHAP. XIV. Contemporains de Giotto.

CHAP. XV. Du goût français dans les arts; voir des défauts dans ce
que le public admire est sottise.

CHAP. XVI. École de Giotto. Imitateurs plats; leur siècle leur de-
mandait de peindre la Bible: ils n'y trouvent jamais sacrifice de
de l'intérêt propre à quelque sentiment généreux.
CHAP. XVII. Esprit public à Florence; amour furieux pour la li-
berté.

CHAP. XVIII. De la sculpture à Florence, Ghiberti et Donatello.
CHAP. XIX. Paolo Ucello et la perspective.

CHAP. XX. Masaccio, premier homme de génie.
CHAP. XXI. Suite de Masaccio.

CHAP. XXII. Définition. Ce que c'est que grandiose, style, ton gé-
néral.

CHAP. XXIII. De la peinture après Masaccio.

CHAP. XXIV. Vie de frère Philippe, aventures romanesques.

CHAP. XXV. André del Castagno assassine le premier peintre à
l'huile.

CHAP. XXVI. Invention de la peinture à l'huile par Jean de Bruges,
duquel il y a deux tableaux au Musée royal.
CHAP. XXVII. La chapelle Sixtine. Sixte IV y appelle, en 1474,
les meilleurs peintres de Florence.

CHAP. XXVIII. De Ghirlandajo et de la perspective aérienne.
CHAP. XXIX. Prédécesseurs immédiats des grands hommes.

CHAP. XXX. État des esprits en 1500; on appelait beau ce qui était
fidèlement imité; le beau idéal eût passé pour incorrection. -
Corruption triste et cruelle de l'Écosse, comparée à la corruption
voluptueuse de la belle Italie.

CHAP. XXXI. Revue.

CHAP. XXXII. Les cinq grandes écoles.
CHAP. XXXIII. Épreuve sous la statue d'Isis.

CHAP. XXXIV. Le véritable artiste toujours fou, souvent ridicule.
CHAP. XXXV. Caractères des peintres de Florence; bon dessin,

style minutieux, peu de beauté, point d'expression..

CHAP. XXXVI. La fresque à Florence.

CHAP. XXXVII. Différence entre Florence et Venise.

LIVRE TROISIÈME

VIE DE LÉONARD DE VINCI.

CHAP. XXXVIII. Léonard, fils naturel d'un notaire de la république
(1452)

CHAP. XXXIX. Les époques de sa vie.

CHAP. XL. Ses premiers ouvrages.

127

129

130

CHAP. XLI. Des trois styles de Léonard.

151

CHAP. XLII. Léonard à Milan.

132

CHAP. XLIII. Vie privée de Léonard à la cour de Milan.

133

CHAP. XLIV. Sa vie d'artiste. Il fait une révolution dans les arts,
mais peint fort peu.

136

CHAP. XLV. Léonard au couvent des Grâces. Il peint le dernier
repas de Jésus avec les apôtres.

137

CHAP. L. Bandello conte la manière de peindre de Vinci.
CHAP. LI. Malheurs du tableau de la Cène.
CHAP. LII. On le restaure; il n'en reste presque plus rien.
CHAP. LIII. Journal d'un voyageur.

151

154

155

CHAP. LIV. De la vérité historique, triomphe des pédantesques.
CHAP. LV. Chute de Ludovic, le protecteur de Léonard.
CHAP. LVI. Léonard trouve en Toscane le jeune Michel-Ange. Car-
ton de la bataille d'Anghiari.

158

CHAP. LVII. Malheurs de Léonard. Ses trois grands ouvrages : le
Cheval colossal, la Cène et la Bataille d'Anghiari, n'existent plus
que dans l'histoire.

161

CHAP. LVIII. Léonard à Rome. Madones de l'Ermitage. Le Vinci
précurseur du Corrége dans le clair-obscur.

164

CHAP. LIX. Léonard et Raphaël.

167

CHAP. LX. Léonard bon sculpteur.

168

CHAP. LXI. Léonard voit les rapports du physique et du moral de
l'homme, fondements de toute bonne philosophie .

169

CHAP. LXII. Pour être aussi célèbre que Bacon, il n'a manqué à
Léonard que d'imprimer.

171

CHAP. LXIII. Léonard suit François Ier en France..
CHAP. LXIV. Testament et mort de Vinci.

174

176

CHAP. LXV. L'on ne peut courir la chance d'être grand qu'en s’ap-
pliquant à une seule chose.

CHAP. LXVI. Que dans ce qui plaît nous ne pouvons aimer que ce
qui nous plaît. Les jugements des grands artistes, les uns sur les
autres, ne sont que des certificats de ressemblance.

178

LIVRE QUATRIÈME.

DU BEAU IDEAL ANTIQUE.

CHAP. LXVII. Histoire du beau.

186

CHAP. LXVIII. Philosophie des Grecs qui ne sentaient pas que tout
est relatif.

Ib.

CHAP. LXIX. Moyen simple d'imiter la nature.

187

CHAP. LXX. Où trouver les anciens Grecs.

Ib.

CHAP. LXXI. De l'opinion publique chez les sauvages..

188

CHAP. LXXIII. Qualités des dieux..

CHAP. LXXII. Les sauvages grossiers pour mille choses raisonnent
fort juste.

Ib.

189

CHAP. LXXIV. Les dieux perdent l'air de la menace.

190

CHAP. LXXV. Le spectateur n'a qu'une certaine quantité d'attention
à donner.

191

CHAP. LXXVI. Chose singulière, il ne faut pas copier exactement
la nature.

CHAP. LXXXII. L'artiste s'éloigne de plus en plus de la nature.

CHAP. LXXXIII. La beauté antique est l'expression d'un caractère
utile.

CHAP. LXXXIV. De la froideur de l'antique.

CHAP. LXXXV. Le Torse plus grandiose que le Laocoon.
CHAP. LXXXVI. Défaut que n'a jamais l'antique.

196

197

198

CHAP. LXXXVII. Donner une physionomie aux muscles, tel est l'u-
nique moyen de la sculpture.

Ib.

200

CHAP. LXXXVIII. Les différences de forme sont moindres que celles
de couleur. L'Apollon serait beau dans plusieurs parties de l'A-

frique.

204

CHAP. LXXXIX. Un sculpteur.

205

CHAP. XC. Difficulté de la peinture et de l'art dramatique.

206

CHAP. XCI. De mémoire de rose, on n'a jamais vu mourir de jar-
dinier.

CHAP. XCV. Les trois jugements. Une civilisation très-avancée
ne permet pas de dire à un inconnu quelque chose qui décèle ou
beaucoup d'esprit ou beaucoup d'âme.

216

CHAP. XCVI. Le flegmatique; du sens intérieur et de M. Schleghel.
CHAP. XCVII. Du tempérament mélancolique.

217

224

CHAP. XCVIII. Tempéraments athlétiques et nerveux, les saintes.
CHAP. XCIX. Suite de l'athlétique et du nerveux.

228

234

CHAP. C. Influence des climats.

236

CHAP. CI. Comment l'emporter sur Raphaël? Imogène.

239

CHAP. CII. Jusqu'à quel point l'homme peut-il oublier son intérêt

direct pour se livrer aux charmes de la sympathie?

CHAP. CVI. En France, on sait toujours ce qu'il est ridicule de ne
pas savoir..

244

245

CHAP. CVII. Art de voir.

Ib.

CHAP. CVIII Plus un artiste a de style dans le portrait, moins
il a de mérite aux yeux du physionomiste.

247

air?.

CHAP. CIX. Que la vie active ôte la sympathie pour les arts.
CHAP. CX. N'y a-t-il pas une différence entre la beauté et le bon

LIVRE SIXIÈME.

249

251

DU BEAU IDÉAL MODERNE.

CHAP. CXI. De l'homme aimable. Pour suivre ceci, il faut d'abord
oublier.

255

CHAP. CXII. De la décence des mouvements chez les Grecs,
CHAP. CXIII. De l'étourderie et de la gaieté dans Athènes.
CHAP. CXIV. De la beauté des femmes.

aussi qu'il ne paraisse que dans le besoin.

CHAP. CXV. Que la beauté antique est incompatible avec les pás-
sions modernes.

CHAP. CXVI. De l'amour.

CHAP. CXVII. L'antiquité n'a rien de comparable à la Marianne de
Marivaux.

CHAP. CXVIII. Nous n'avons que faire des vertus antiques.
CHAP. CXIX. De l'idéal moderne..

CHAP. CXX. Remarques. Dans nos mœurs, c'est l'esprit, accompa-
gné d'un degré de force très-ordinaire, qui est la force. Wilkes,
Beaumarchais, Mirabeau .