Oeuvres posthumes de m. Fr. Thurot ...: Leçons de grammaire de logique. Vie de Reid

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L. Hachette, 1837 - Grammar, Comparative and general - 528 pages
 

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Page 110 - L'autre, pour se parer de superbes atours, Des plus adroites mains empruntait le secours ; Et moi, pour toute brigue et pour tout artifice, De mes larmes au ciel j'offrais le sacrifice. Enfin, on m'annonça l'ordre d'Assuérus.
Page 42 - Mandeville a bien senti qu'avec toute leur morale les hommes n'eussent jamais été que des monstres, si la nature ne leur eût donné la pitié à l'appui de la raison ; mais il n'a pas vu que de cette seule qualité découlent toutes les vertus sociales qu'il veut disputer aux hommes.
Page 117 - Esther dans la pourpre est assise ; La moitié de la terre à son sceptre est soumise : Et de Jérusalem l'herbe cache les murs ! Sion, repaire affreux de reptiles impurs, Voit de son temple saint les pierres dispersées ! Et du Dieu d'Israël les fêtes sont cessées ! ÉLISE.
Page xv - Ses dix. catégories sont : la substance , la quantité, la qualité, la relation, le lieu, le temps, la situation, avoir, agir et pâlir: c'est-à-dire , comme le remarquent très bien MM.
Page 118 - A rempli ce palais de filles de Sion , Jeunes et tendres fleurs, par le sort agitées, Sous un ciel étranger comme moi transplantées. Dans un lieu séparé de profanes témoins, Je mets à les former mon étude et mes soins ; Et c'est là que, fuyant l'orgueil du diadème , Lasse de vains honneurs, et me cherchant moi-même, Aux pieds de l'Éternel je viens m'humilier, Et goûter le plaisir de me faire oublier. Mais à tous les Persans je cache leurs familles. Il faut les appeler. Venez, venez,...
Page 111 - Cependant mon amour pour notre nation A rempli ce palais de filles de Sion , Jeunes et tendres fleurs, par le sort agitées, Sous un ciel étranger comme moi transplantées. Dans un lieu séparé de profanes témoins, Je mets à les former mon étude et mes soins ; Et c'est là que, fuyant l'orgueil du diadème , Lasse de vains honneurs, et me cherchant moi-même, Aux pieds de l'Éternel je viens m'humilier, Et goûter le plaisir de me faire oublier.
Page 113 - II me fit d'un empire accepter l'espérance. A ses desseins secrets, tremblante, j'obéis : Je vins ; mais je cachai ma race et mon pays.
Page 90 - C'est le pur sang du Dieu qui lance le tonnerre... J'entends gronder la foudre, et sens trembler la terre. Un Dieu vengeur, un Dieu fait retentir ces coups.
Page 115 - Il m'observa longtemps dans un sombre silence ; Et le Ciel, qui pour moi fit pencher la balance, Dans ce temps-là sans doute agissait sur son cœur. Enfin avec des yeux où régnait la douceur : Soyez reine, dit-il ; et, dès ce moment même De sa main sur mon front posa son diadème.
Page 354 - Sachez surtout que le luxe enrichit Un grand État, s'il en perd un petit. Cette splendeur, cette pompe mondaine , D'un règne heureux est la marque certaine.

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