Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 13F. Didot, 1822 - Bible |
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... Pindare dans les < « < siennes est toujours Pindare , Anacréon toujours << Anacréon , et ils sont tous deux très - opposés . << M. de La Motte , après avoir commencé par « étre Pindare , sut devenir Anacréon . » Cet éloge est celui d ...
... Pindare dans les < « < siennes est toujours Pindare , Anacréon toujours << Anacréon , et ils sont tous deux très - opposés . << M. de La Motte , après avoir commencé par « étre Pindare , sut devenir Anacréon . » Cet éloge est celui d ...
Page 70
Jean-François de La Harpe. seul lyrique qui ait en effet su réunir Pindare et Anacréon , et tous deux perfectionnés ... Pin- dare qu'Homère ; et s'il s'est approché d'Anacréon , c'est qu'il avait assez de finesse et de délicatesse dans l ...
Jean-François de La Harpe. seul lyrique qui ait en effet su réunir Pindare et Anacréon , et tous deux perfectionnés ... Pin- dare qu'Homère ; et s'il s'est approché d'Anacréon , c'est qu'il avait assez de finesse et de délicatesse dans l ...
Page 101
... Pindare et Horace ; l'un par rapport à sa verve originale et sublime ; l'autre par rapport à la foule et à la variété de ses beau- tés lyriques . Si Perrault eût eu assez de sens et d'équité pour attacher à sa cause les talents de ...
... Pindare et Horace ; l'un par rapport à sa verve originale et sublime ; l'autre par rapport à la foule et à la variété de ses beau- tés lyriques . Si Perrault eût eu assez de sens et d'équité pour attacher à sa cause les talents de ...
Page 111
... Pindare , et dont l'objet est de déclarer aussi téméraire qu'Icare quiconque osera essayer de suivre le vol de l'ai- gle thébain . Si ce noble espoir ne nous tente , L'art disparaît de l'univers . L'émulation seule enfante Les grands ...
... Pindare , et dont l'objet est de déclarer aussi téméraire qu'Icare quiconque osera essayer de suivre le vol de l'ai- gle thébain . Si ce noble espoir ne nous tente , L'art disparaît de l'univers . L'émulation seule enfante Les grands ...
Page 117
... Pindare et Horace suffiraient pour le prouver ; les traits en sont fréquents chez eux mais elle sort rapidement , comme tout le reste , de l'inspiration même qui meut le poëte , et du sujet qu'il traite , et jamais elle n'est le sujet ...
... Pindare et Horace suffiraient pour le prouver ; les traits en sont fréquents chez eux mais elle sort rapidement , comme tout le reste , de l'inspiration même qui meut le poëte , et du sujet qu'il traite , et jamais elle n'est le sujet ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 35 - Aimez donc la raison : que toujours vos écrits Empruntent d'elle seule et leur lustre et leur prix.
Page 142 - Le Nil a vu sur ses rivages Les noirs habitants des déserts Insulter, par leurs cris sauvages, L'astre éclatant de l'univers. Cris impuissants, fureurs bizarres! Tandis que ces monstres barbares Poussaient d'insolentes clameurs, Le dieu, poursuivant sa carrière, Versait des torrents de lumière Sur ses obscurs blasphémateurs.
Page 91 - Croit-on la nature bizarre, Pour nous aujourd'hui plus avare, Que pour les Grecs et les Romains? De nos aînés mère idolâtre, N'est-elle plus que la marâtre Du reste grossier des humains?
Page 153 - Arme-toi , viens nous défendre : Descends, tel qu'autrefois la mer te vit descendre. Que les méchants apprennent aujourd'hui A craindre ta colère. Qu'ils soient comme la poudre et la paille légère Que le vent chasse devant lui. TOUT LE CHOEUR. Tu vois nos pressants dangers : Donne à ton nom la victoire ; Ne souffre point que ta gloire Passe à des dieux étrangers.
Page 110 - Des douceurs de la paix , des horreurs de la guerre , Un ordre indépendant détermine le choix : C'est le courroux des rois qui fait armer la terre ; C'est le courroux des dieux qui fait armer les rois.
Page 235 - Pyrrhus, la laitière, enfin tous, Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant; il n'est rien de plus doux: Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes. Quand je suis seul, je fais au plus brave un défi...
Page 165 - S'ouvrent sur les rochers une route facile. Pour eux seuls de ces bois Dieu forma l'épaisseur, Et les trous tortueux de ce gravier aride Pour l'animal timide Qui nourrit le chasseur.
Page 287 - Vous avez confirmé dans ces lieux pleins d'ennui Ce que Newton connut sans sortir de chez lui. Vous avez arpenté quelque faible partie Des flancs toujours glacés de la terre aplatie.
Page 252 - Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée. En vain vous me frappez d'un son mélodieux, Si le terme est impropre ou le tour vicieux : Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme, Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain.
Page 150 - J'ai vu l'impie adoré sur la terre; Pareil au cèdre, il cachait dans les cieux Son front audacieux; II semblait à son gré gouverner le tonnerre, Foulait aux pieds ses ennemis vaincus : Je n'ai fait que passer, il n'était déjà plus.