Œuvres, Volume 41805 |
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... à la poésie . Et le bruit de la mort de Thésée , fondé sur ce voyage fabuleux , donne lieu à Phèdre de faire une déclaration d'amour , qui devient une des principales causes de son malheur , et qu'elle n'aurait jamais osé 1 . PRÉFACE . 5.
... à la poésie . Et le bruit de la mort de Thésée , fondé sur ce voyage fabuleux , donne lieu à Phèdre de faire une déclaration d'amour , qui devient une des principales causes de son malheur , et qu'elle n'aurait jamais osé 1 . PRÉFACE . 5.
Page 27
... lieu ? Hippolyte me cherche , et veut me dire adieu ? Ismène , dis - tu vrai ? n'es - tu point abusée ? ISMÈNE . C'est le premier effet de la mort de Thésée . Préparez - vous , madame , à voir de tous côtés Voler vers vous les cœurs par ...
... lieu ? Hippolyte me cherche , et veut me dire adieu ? Ismène , dis - tu vrai ? n'es - tu point abusée ? ISMÈNE . C'est le premier effet de la mort de Thésée . Préparez - vous , madame , à voir de tous côtés Voler vers vous les cœurs par ...
Page 48
... lieu de père : Je mets sous son pouvoir et le fils et la mère . Pour le fléchir enfin tente tous les moyens ; Tes discours trouveront plus d'accès que les miens : Presse , pleure , gémis ; peins - lui Phèdre mourante ; Ne rougis point ...
... lieu de père : Je mets sous son pouvoir et le fils et la mère . Pour le fléchir enfin tente tous les moyens ; Tes discours trouveront plus d'accès que les miens : Presse , pleure , gémis ; peins - lui Phèdre mourante ; Ne rougis point ...
Page 65
... lieu prescrivez - vous ? THÉSÉE . Fusses - tu par - delà les colonnes d'Alcide , Je me croirais encor trop voisin d'un perfide . HIPPOLYTE . Chargé du crime affreux dont vous me soupçonnez , Quels amis me plaindront quand vous m ...
... lieu prescrivez - vous ? THÉSÉE . Fusses - tu par - delà les colonnes d'Alcide , Je me croirais encor trop voisin d'un perfide . HIPPOLYTE . Chargé du crime affreux dont vous me soupçonnez , Quels amis me plaindront quand vous m ...
Page 76
... lieu funeste et profané , Où la vertu respire un air empoisonné ; Profitez , pour cacher votre prompte retraite , De la confusion que ma disgrâce y jette . Je vous puis de la fuite assurer les moyens : Vous n'avez jusqu'ici de gardes ...
... lieu funeste et profané , Où la vertu respire un air empoisonné ; Profitez , pour cacher votre prompte retraite , De la confusion que ma disgrâce y jette . Je vous puis de la fuite assurer les moyens : Vous n'avez jusqu'ici de gardes ...
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Common terms and phrases
ABNER AMAN âme amour ARICIE ASAPH ASSUÉRUS ATHALIE autels AZARIAS Baal bras cacher chante Chantons charmes cher chercher CHEUR CHŒUR ciel cieux cœur colère courroux craint crime cruel d'Assuérus d'Esther d'horreur d'Ochozias David dessein devant Dieu dieux douleur Éliacin ÉLISE en-vain enfans enfant ennemis Enone ESTHER éternelle fille fils front funeste fureur gloire grand-prêtre haîne Hélas heureux HIPPOLYTE horreur HYDASPE innocent ISMAEL ISMÈNE ISRA ÉLITE ISRAELITE j'ai jamais Jéhu Jézabel JOAD JOAS Joram JOSABET jour Juifs l'amour l'innocence l'univers laisse larmes lévites lieux long-tems Madame main malheureux Mardochée MATHAN méchans mère moi-même monstre mort mortels NABAL Ochozias paix PANOPE par-tout père perfide peuple PHÈDRE pleurs prêtres prince profane reine rois rois de Juda sacré saint sais SALOMITH sang sans-doute secret seigneur Sion sœur soin songe soupirs superbe temple tems THÉRAMÈNE THÉSÉE traître tremble Trézène triste trône trouble veux vœux vois VOIX seule vous-même yeux ZACHARIE zèle
Popular passages
Page 38 - Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers, Volage adorateur de mille objets divers Qui va du dieu des morts déshonorer la couche; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche, Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi, Tel qu'on dépeint nos dieux, ou tel que je vous voi. 640 Il avait votre port, vos yeux, votre langage, Cette noble pudeur colorait son visage, Lorsque de notre Crète il traversa les flots, Digne sujet des vœux des filles de Minos.
Page 61 - Examinez ma vie, et songez qui je suis. Quelques crimes toujours précèdent les grands crimes ; Quiconque a pu franchir les bornes légitimes, Peut violer enfin les droits les plus sacrés. Ainsi que la vertu, le crime a ses degrés ; Et jamais on n'a vu la timide innocence Passer subitement à l'extrême licence.
Page 35 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche , et ne me trouve plus : Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune; Je ne me souviens plus des leçons de Neptune ; Mes seuls gémissements font retentir les bois , Et mes coursiers oisifs ont oublié ma voix.
Page 6 - Ce que je puis assurer, c'est que je n'en ai point fait où la vertu soit plus mise en jour que dans celle-ci; les moindres fautes y sont sévèrement punies : la seule pensée du crime y est regardée avec autant d'horreur que le crime même...
Page 179 - Et quel temps fut jamais si fertile en miracles ? Quand Dieu par plus d'effets montra-t-il son pouvoir? Auras-tu donc toujours des yeux pour ne point voir, Peuple ingrat? Quoi? toujours les plus grandes merveilles Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles ? Faut-il, Abner, faut-il vous rappeler le cours no Des prodiges fameux accomplis en nos jours?
Page 209 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Eliacin, vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point, sans doute, un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier ; Laissez là cet habit, quittez ce vil métier ; Je veux vous faire part de toutes mes richesses, Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Page 76 - Prenez garde, seigneur: vos invincibles mains Ont de monstres sans nombre affranchi les humains ; Mais tout n'est pas détruit, et vous en laissez vivre Un... Votre fils, seigneur, me défend de poursuivre.
Page 38 - Que faisiez-vous alors ? Pourquoi , sans Hippolyte , Des héros de la Grèce assembla-t-il l'élite ? Pourquoi , trop jeune encor , ne pûtes-vous alors Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords ? Par vous aurait péri, le monstre de la Crète , Malgré tous les détours de sa vaste retraite : Pour en développer l'embarras incertain Ma sœur du fil fatal eût armé votre main.
Page 49 - Je connais mes fureurs, je les rappelle toutes. Il me semble déjà que ces murs, que ces voûtes Vont prendre la parole, et prêts à m'accuser, Attendent mon époux pour le désabuser.
Page 201 - J'entre : le peuple fuit, le sacrifice cesse, Le grand prêtre vers moi s'avance avec fureur : Pendant qu'il me parlait, ô surprise, ô terreur! J'ai vu ce même enfant dont je suis menacée, Tel qu'un songe effrayant l'a peint à ma pensée. Je l'ai vu : son même air, son même habit de lin, Sa démarche, ses yeux, et tous ses traits enfin ; C'est lui-même.