Histoire de la conjuration de Maximilien Robespierre |
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... peine des troupes d'infâmes scélérats , qui , rangés autour de lui , sembloient composer sa garde . Tous les impudiques , les adultères , les débauchés qui s'étoient ruinés en festins , au jeu , ou avec les femmes ; ceux qui s'étoient ...
... peine des troupes d'infâmes scélérats , qui , rangés autour de lui , sembloient composer sa garde . Tous les impudiques , les adultères , les débauchés qui s'étoient ruinés en festins , au jeu , ou avec les femmes ; ceux qui s'étoient ...
Page 13
... peine de sa première enfance lorsque son père mourut . La considéra- tion dont celui - ci jouissoit , rejaillit sur les trois orphelins . Des parens , des amis s'employèrent pour adoucir la déplorable situation où les lais- soit la ...
... peine de sa première enfance lorsque son père mourut . La considéra- tion dont celui - ci jouissoit , rejaillit sur les trois orphelins . Des parens , des amis s'employèrent pour adoucir la déplorable situation où les lais- soit la ...
Page 19
... peine ils bégayoient , et déjà on exigeoit qu'ils parlassent la langue des Romains . La vie des hommes dont l'histoire de ce peuple a perpétué le souvenir , étoit la matière continuelle des lec- tures , ainsi que des sujets sur lesquels ...
... peine ils bégayoient , et déjà on exigeoit qu'ils parlassent la langue des Romains . La vie des hommes dont l'histoire de ce peuple a perpétué le souvenir , étoit la matière continuelle des lec- tures , ainsi que des sujets sur lesquels ...
Page 24
... peine échappé à la tutèle de ses précepteurs , déjà il eût voulu régenter ses semblables . Moqueur , frondant toutes les institutions , il dédaignoit les lumières qui eussent pu l'éclairer . Sa morgue , sa présomp- tion , sa suffisance ...
... peine échappé à la tutèle de ses précepteurs , déjà il eût voulu régenter ses semblables . Moqueur , frondant toutes les institutions , il dédaignoit les lumières qui eussent pu l'éclairer . Sa morgue , sa présomp- tion , sa suffisance ...
Page 39
... peine ; il com- posa donc ces cahiers comme il l'entendit ; il y jeta toutes les folies de son esprit ; il y versa tout le poison de son cœur ; il imprima à toutes leurs pages le sceau de son ignorance . Les absurdités politiques qu'on ...
... peine ; il com- posa donc ces cahiers comme il l'entendit ; il y jeta toutes les folies de son esprit ; il y versa tout le poison de son cœur ; il imprima à toutes leurs pages le sceau de son ignorance . Les absurdités politiques qu'on ...
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Common terms and phrases
accusation Arras assassins assemblée nationale assez auroit avoient avoit voulu Barrère bespierre Billaud bles Bourdon de l'Oise bourreaux Camille Desmoulins chose publique citoyen club cœur Coffinhal collègues comité de salut comité de sûreté comités révolutionnaires complices conjurés conspiré convention nationale Couthon crimes croyoit crut d'accusation Danton décret demande départemens députés devoit discours disoit donnoit égorger enfans étoient étoit eût Fabre d'Eglantines faction de Robespierre faisoient faisoit falloit férocité Fouquier-Tinville gens gouvernement Hébert Henriot Hérault de Séchelles hommes infortunés Jacobins jamais jeune Robespierre jour journalistes l'assemblée l'échafaud laissoit liberté loix malheureux MAXIMILIEN ROBESPIERRE membres ment mort n'avoient n'avoit n'étoit nation paratonnerres parens Patrie patriotisme père personne Pétion peuple Philippe politique pouvoit première assemblée nationale prison proscription république révolution Robes Robespierre avoit s'écria Saint-Just salut public sang sans-culottes scélérats séance sembloit seroit seul sorte supplice sûreté générale tenoit tête tion tribunal révolutionnaire tribune trouvoit tyran vouloit voyoit
Popular passages
Page 194 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Page 45 - La loi, en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine. Elles doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites, que c'est un très grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre.
Page 95 - La Commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements, qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le...
Page 232 - ... quelque intérêt ; aussi je n'ai besoin que de quelques jours pour calmer le désordre de mes idées, me décider sur le lieu de mon exil ; car, dans l'anéantissement de toutes mes facultés, je suis hors d'état de prendre un parti. Je vous quitte donc puisque vous l'exigez; mais, malgré...
Page 187 - Entouré de leurs assassins, je me suis déjà placé moi-même dans le nouvel ordre de choses où ils veulent m'envoyer. Je ne tiens plus à une vie passagère que par l'amour de la patrie et...
Page 231 - ... fureur qui vous aveugle, mais j'abandonne le soin de ma justification au temps qui dévoile toutes les perfidies, toutes les noirceurs. Alors quand le bandeau qui couvre vos yeux sera déchiré, si vous pouvez dans le désordre de vos passions distinguer la voix du remords, si le cri de la nature peut se faire entendre...
Page 95 - ... dans ses murs, au moment où il allait marcher à l'ennemi ; et sans doute la nation , après la longue suite de trahisons qui l'a conduite sur les bords de...
Page 187 - Si les mains perfides qui dirigent la rage des assassins ne sont pas encore visibles pour tous les yeux, je laisserai au temps le soin de lever le voile qui les couvre. « J'ai assez vécu : j'ai vu le peuple français s'élancer du sein de l'avilissement au...
Page 94 - Frères et amis, un affreux complot tramé par la Cour, pour égorger tous les patriotes de l'empire français, complot dans lequel un grand nombre de membres de l'Assemblée nationale sont compromis, ayant réduit, le 9 du mois dernier, la Commune de Paris à la cruelle nécessité de se servir de la puissance du peuple pour sauver la nation, elle n'a rien négligé pour bien mériter de la patrie. Après les témoignages que l'Assemblée nationale...
Page 187 - Réjouissons-nous donc , et rendons grâces au ciel , puisque nous avons assez bien servi notre patrie pour avoir été jugés dignes des poignards de la tyrannie ! » Il est donc pour nous de glorieux dangers à courir! Le séjour de la cité en offre au moins autant que le champ...