Histoire de la conjuration de Maximilien Robespierre |
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Common terms and phrases
accusation appelé armée arrêter arrivé assemblée assez avant avoient avoit bonne bourreaux chose citoyen cœur collègues comité de salut Commune conjurés conspiré convention corps côté cours Couthon cria croire d'autre d'avoir d'être décret demande députés dernières dire discours donner doute écrits ensuite esprits étoient étoit eût faction faisoit falloit femmes férocité force frapper frère garde générale gens gouvernement Henriot hommes idée j'ai Jacobins jeté jeune jour journalistes jugement l'assemblée l'homme laisser liberté lieu livres lorsqu'il lui-même mains maison malheureux manière marche membres ment mille montra mort moyen n'avoit n'étoit nation nationale nombre nommé nouvelle parler passa Patrie peine pendant père personne peuple pierre place porter pouvoit première présenta prison prononça propre proscription publique qu'à qu'un rapport rendre république reste révolution révolutionnaire rien Robes Robespierre s'il Saint-Just salut public sang second sera seroit seul sorte suivant tête tion tribunal tribune trouve vérité voulu yeux
Popular passages
Page 194 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Page 45 - La loi, en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine. Elles doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites, que c'est un très grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre.
Page 95 - La Commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements, qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le...
Page 232 - ... quelque intérêt ; aussi je n'ai besoin que de quelques jours pour calmer le désordre de mes idées, me décider sur le lieu de mon exil ; car, dans l'anéantissement de toutes mes facultés, je suis hors d'état de prendre un parti. Je vous quitte donc puisque vous l'exigez; mais, malgré...
Page 187 - Entouré de leurs assassins, je me suis déjà placé moi-même dans le nouvel ordre de choses où ils veulent m'envoyer. Je ne tiens plus à une vie passagère que par l'amour de la patrie et...
Page 231 - ... fureur qui vous aveugle, mais j'abandonne le soin de ma justification au temps qui dévoile toutes les perfidies, toutes les noirceurs. Alors quand le bandeau qui couvre vos yeux sera déchiré, si vous pouvez dans le désordre de vos passions distinguer la voix du remords, si le cri de la nature peut se faire entendre...
Page 95 - ... dans ses murs, au moment où il allait marcher à l'ennemi ; et sans doute la nation , après la longue suite de trahisons qui l'a conduite sur les bords de...
Page 187 - Si les mains perfides qui dirigent la rage des assassins ne sont pas encore visibles pour tous les yeux, je laisserai au temps le soin de lever le voile qui les couvre. « J'ai assez vécu : j'ai vu le peuple français s'élancer du sein de l'avilissement au...
Page 94 - Frères et amis, un affreux complot tramé par la Cour, pour égorger tous les patriotes de l'empire français, complot dans lequel un grand nombre de membres de l'Assemblée nationale sont compromis, ayant réduit, le 9 du mois dernier, la Commune de Paris à la cruelle nécessité de se servir de la puissance du peuple pour sauver la nation, elle n'a rien négligé pour bien mériter de la patrie. Après les témoignages que l'Assemblée nationale...
Page 187 - Réjouissons-nous donc , et rendons grâces au ciel , puisque nous avons assez bien servi notre patrie pour avoir été jugés dignes des poignards de la tyrannie ! » Il est donc pour nous de glorieux dangers à courir! Le séjour de la cité en offre au moins autant que le champ...