Essais de psychologie contemporaine: Baudelaire, M. Renan, Flaubert, M. Taine, Stendhal |
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... davantage . Et tes yeux attirants comme ceux d'un portrait ... a - t - il écrit d'une des femmes coupables dont il a subi la magie ; il traîne quelque chose de cette attirance et de ce regard au long de ses PSYCHOLOGIE.
... davantage . Et tes yeux attirants comme ceux d'un portrait ... a - t - il écrit d'une des femmes coupables dont il a subi la magie ; il traîne quelque chose de cette attirance et de ce regard au long de ses PSYCHOLOGIE.
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... regard au long de ses vers mystérieux et câlins , ironiques à demi , à demi plaintifs . Des stances de lui poursuivent l'imagination qu'elles inquiètent avec une ob- session qui fait presque mal . Il excelle surtout à commencer une ...
... regard au long de ses vers mystérieux et câlins , ironiques à demi , à demi plaintifs . Des stances de lui poursuivent l'imagination qu'elles inquiètent avec une ob- session qui fait presque mal . Il excelle surtout à commencer une ...
Page 23
... regard demeuré lu- cide l'inguérissable misère de sa destinée , c'est- à - dire , car voyons - nous le monde autre- ment qu'à travers le prisme de nos intimes besoins de toute destinée ! - III THEORIE DE LA DÉCADENCE Si une nuance très ...
... regard demeuré lu- cide l'inguérissable misère de sa destinée , c'est- à - dire , car voyons - nous le monde autre- ment qu'à travers le prisme de nos intimes besoins de toute destinée ! - III THEORIE DE LA DÉCADENCE Si une nuance très ...
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... regard de celui qui n'aura jamais éprouvé les nostalgiques délices de la folie de la Croix ? Il faut cependant que cette folie soit passée pour que l'intelligence et la sensibilité s'équilibrent dans une proportion qui permette la ...
... regard de celui qui n'aura jamais éprouvé les nostalgiques délices de la folie de la Croix ? Il faut cependant que cette folie soit passée pour que l'intelligence et la sensibilité s'équilibrent dans une proportion qui permette la ...
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... regards des lecteurs de nos stylistes pitto- resques . Presque jamais les métaphores ne se précisent et jamais l'écrivain n'essaye de riva- liser de rendu » avec la peinture ou la sculp- ture . S'il dessine un paysage , c'est d'un trait ...
... regards des lecteurs de nos stylistes pitto- resques . Presque jamais les métaphores ne se précisent et jamais l'écrivain n'essaye de riva- liser de rendu » avec la peinture ou la sculp- ture . S'il dessine un paysage , c'est d'un trait ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 21 - Un style de décadence est celui où l'unité du livre se décompose pour laisser la place à l'indépendance de la page, où la page se décompose pour laisser la place à l'indépendance de la phrase, et la phrase pour laisser la place à l'indépendance du mot.
Page 141 - Kabires, quelquesuns des monstres déjà vus, les bêtes sacrées des Babyloniens, puis d'autres qu'ils ne connaissaient pas. Cela passait comme un manteau sous le visage de l'idole, et remontant étalé sur le mur, s'accrochait par les angles, tout à la fois bleuâtre comme la nuit, jaune comme l'aurore, pourpre comme le soleil, nombreux, diaphane, étincelant, léger.
Page 116 - Le romanticisme est l'art de présenter aux peuples les œuvres littéraires qui, dans l'état actuel de leurs habitudes et de leurs croyances, sont susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible.
Page 134 - C'est étrange comme je suis né avec peu de foi au bonheur. J'ai eu, tout jeune, un pressentiment complet de la vie. C'était comme une odeur de cuisine nauséabonde qui s'échappe par un soupirail. On n'a pas besoin d'en avoir mangé pour savoir qu'elle est à faire vomir.
Page 126 - Mais on n'était pas seulement troubadour, insurrectionnel et oriental, on était avant tout artiste; les pensums finis, la littérature commençait; et on se crevait les yeux à lire au dortoir des romans, on portait un poignard dans sa poche comme Antony, on faisait plus : par dégoût de l'existence, Bar*** se cassa la tête d'un coup de pistolet, And*** se pendit avec sa cravate; nous méritions peu d'éloges, certainement!
Page 21 - L'individu est la cellule sociale. Pour que l'organisme total fonctionne avec énergie, il est nécessaire que les organismes moindres fonctionnent avec énergie, mais avec une énergie subordonnée, et, pour que ces organismes moindres fonctionnent eux-mêmes avec énergie, il est nécessaire que leurs cellules composantes fonctionnent avec énergie, mais avec une énergie subordonnée. Si l'énergie des cellules devient indépendante, les organismes qui composent l'organisme total cessent pareillement...
Page 312 - Il faut en convenir, le regard de Julien était atroce, sa physionomie hideuse ; elle respirait le crime sans alliage. C'était l'homme malheureux en guerre avec toute la société.
Page 115 - La tendresse des anciens jours leur revenait au cœur, abondante et silencieuse comme la rivière qui coulait, avec autant de mollesse qu'en apportait le parfum des seringas, et projetait dans leurs souvenirs des ombres plus démesurées et plus mélancoliques que celles des saules immobiles qui s'allongeaient sur l'herbe.
Page 114 - Je demande aussi ce que c'est que le grand secret de mélancolie que la lune raconte aux chênes. Un homme de sens, en lisant cette phrase recherchée et contournée, en reçoit-il quelques idées nettes ? Delille, Saint-Lambert...
Page 270 - Ah ! se disait-il en écoutant le son des vaines paroles que prononçait sa bouche, comme il eût fait un bruit étranger ; si je pouvais couvrir de baisers ces joues si pâles, et que tu ne le sentisses pas ! * — Je puis avoir de l'amour pour la maréchale, continuait-il...