Tsarskoé Sélo |
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... terre essentiellement russe , le prouve bien . Pierre connaissait l'histoire de son Empire , en connaissait l'esprit , et se rendait compte , qu'il était de toute nécessité pour lui de continuer la lutte séculaire contre les Suédois ...
... terre essentiellement russe , le prouve bien . Pierre connaissait l'histoire de son Empire , en connaissait l'esprit , et se rendait compte , qu'il était de toute nécessité pour lui de continuer la lutte séculaire contre les Suédois ...
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... l'orthodoxie . Dès lors , les deux villes souveraines commencèrent contre leurs puissants voisins la lutte po- litique , qui devait durer plusieurs siècles , défendant de toutes leurs forces la terre natale , ses épaisses forêts , - 9.
... l'orthodoxie . Dès lors , les deux villes souveraines commencèrent contre leurs puissants voisins la lutte po- litique , qui devait durer plusieurs siècles , défendant de toutes leurs forces la terre natale , ses épaisses forêts , - 9.
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Sergeĭ Nikolaevich Vilʹchkovskiĭ. leurs forces la terre natale , ses épaisses forêts , ses misé- rables cabanes , son ... terre russe , et qui doit appartenir à tout prix au Grand Duc de Moscou , devient la conviction profonde du Gou ...
Sergeĭ Nikolaevich Vilʹchkovskiĭ. leurs forces la terre natale , ses épaisses forêts , ses misé- rables cabanes , son ... terre russe , et qui doit appartenir à tout prix au Grand Duc de Moscou , devient la conviction profonde du Gou ...
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... terre russe de Nov- gorod , le dévouement à la foi orthodoxe , étaient si enracinés , que , lorsque par les traités de Stolbovo et de Kardis , il fut donné un délai de deux semaines pour quitter les terres restées à la Suède , la ...
... terre russe de Nov- gorod , le dévouement à la foi orthodoxe , étaient si enracinés , que , lorsque par les traités de Stolbovo et de Kardis , il fut donné un délai de deux semaines pour quitter les terres restées à la Suède , la ...
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... du XVII siècles dans ces contrées , se nommaient « Mizi » , probablement parce que la population finnoise les nommait « Moïss » . De cette façon , la terre seigneuriale de Saritzhof dans la bouche des émigrés finnois , 18 -
... du XVII siècles dans ces contrées , se nommaient « Mizi » , probablement parce que la population finnoise les nommait « Moïss » . De cette façon , la terre seigneuriale de Saritzhof dans la bouche des émigrés finnois , 18 -
Common terms and phrases
actuellement Anna Ivanovna appartements Babolovo bain bâtiment bois doré boulevard bronze doré cabinet Cameron canal chaussée de Pavlovsk chinois coin colonnes construction côté Cour d'après le plan damas blanc décoré digue donnant également entretenue aux frais escalier étage fabrique de papier façade fenêtres Finnois galerie Gatchina jardin privé kopecks Kouzmino l'architecte Bach l'architecte Vidov l'asile L'église luthérienne l'Em l'Empereur Alexandre l'Empereur Nicolas l'époque de Catherine l'époque de l'Impératrice l'Ermitage l'Impératrice Catherine l'Impératrice Elisabeth Léontievskaïa logements luthérienne Lycée marbre Menchikov Ménélas ment Michel Pavlovitch miza mobilier murs Nicolas Alexandrovitch Novgorod ornés Palais Alexandre Palais de Tsarskoé papier monnaie parc pavillon peint sur toile pendule pereur Pétersbourg petite pièce place plafond plans de l'architecte pont porcelaine portes-fenêtres Rastrelli recouverts représentant rococo roubles route rue Sadovaïa Russie salle salon Sophie stuc style empire style Louis XVI tableau peint toile de l'école trouvait autrefois Tsarskoé Sélo Tsésarevna village XVIII siècle Zemstvo
Popular passages
Page 136 - Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes : Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes. Quand je suis seul, je fais au plus brave un défi...
Page 136 - Perrette sur sa tête ayant un pot au lait Bien posé sur un coussinet, Prétendait arriver sans encombre à la ville. Légère et court vêtue, elle allait à grands pas; Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, Cotillon simple et souliers plats. Notre laitière, ainsi troussée, Comptait déjà dans sa pensée Tout le prix de son lait, en employait l'argent; Achetait un cent d'œufs; faisait triple couvée; La chose allait à bien par son soin diligent.
Page 136 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ; II était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable , Vu le prix dont il est, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeauî Perrette là-dessus saute aussi , transportée : Le lait tombe ; adieu veau , vache , cochon , couvée.
Page 136 - Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant; il n'est rien de plus doux: Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes. Quand je suis seul, je fais au plus brave un défi; Je m'écarte, je vais détrôner le sophi; On m'élit roi, mon peuple m'aime; Les diadèmes vont sur ma tête pleuvant: Quelque accident fait-il que je rentre en moi-même, Je suis Gros-Jean comme devant.
Page 136 - D'élever des poulets autour de ma maison ; Le renard sera bien habile S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ; II était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable * J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon.
Page 136 - Perrette là-dessus saute aussi, transportée: Le lait tombe; adieu veau, vache, cochon, couvée. La dame de ces biens, quittant d'un œil marri Sa fortune ainsi répandue.
Page 136 - Mais ce défaut venait d'un si bon cœur ! Quand on aime, on craint tant! Zémire aimait tant celle Que tout le monde aime comme elle ! Voulez-vous qu'on vive en repos, Ayant cent peuples pour rivaux?
Page 136 - Mais ce défaut partait d'un très-bon cœur. Quand on aime, on craint tant! Zémire aimait tant celle Que tout le monde aime comme elle ! Croyez-vous qu'on aime en repos , Ayant cent peuples pour rivaux?
Page 81 - Vassiltchikov, vous qui êtes à mon service depuis le commencement de mon règne, vous savez que j'ai partagé et encouragé ces illusions et ces erreurs ! » Puis, après un instant de silence, il ajouta : « Ce n'est pas à moi de sévir
Page 136 - L'Impératrice poussa un cri, qu'elle accompagna en russe des noms les plus tendres: le sang coulait de ma lèvre, ce qui augmenta la frayeur de Sa Majesté.