et des palefreniers. La cour du bâtiment de l'ecure des «pensionnaires» est entourée de constructions de boda prom les besoins de l'administration. En été, on laisse les chevaux en liberté dans la pratic Derrière l'écurie, en face de la tour, des dalles de marlok indiquent la sépulture des chevaux favoris des amuveraine C'est là que sont ensevelis «L'amis, cheval, que P'Empereur Alexandre I montait pendant la campagne de France, Plura que montait Nicolas I à Varna; «Kol, dueval si l'Empereur Alexandre III passait la revue de *** ***** La volonté, que l'Empereur Nicolas expre la pr mois de son règne, de donner un asile wax you your de son auguste frère, fut religieusement exkaajaks ja su vaux personnels des empereurs terminent les dans un une belle écurie, se promenent Peik en kate, ed, a leur mort, leurs os se réduisent lentent as you des dalles de marbre, certifiant de la tasties leurs augustes maîtres. A cinq minutes de mardi du ynd she's wish, Algarv le large de l'allée de l'Arsenal, s youre un bitument xm briques assez Bert, de wys Paingur mbul Juserien 1818, cedros but he's youds pris dans le pars expert so mude five, yule mammall de part arx LED. mur, de forme rectangulaire, était percé de quatre portes et avait un bastion à chaque coin. Trois de ces bastions avaient été aménagés en «Lusthaus» ou «pavillons de plaisir» pour les besoins de la chasse; on se proposait de transformer le quatrième en église. Sur le plan, datant de 1779, annexé ci-joint, se voient la direction des murs et l'emplacement des trois bastions disparus; le quatrième a été conservé près de la «Tour Blanche». La hauteur des murs était de quatre archines et demie. La façade du Nord partait du bastion de la «Tour Blance» dans la direction des constructions de la ferme Impériale, et se terminait par un autre bastion au point d'intersection avec la façade Ouest, laquelle commençait au bastion, qui occupait l'emplacement, où se trouvent actuellement les maisons en pierre du corps de garde. Sur ce dernier bastion, se trouvait une église, supprimée sous le règne de Catherine II. La façade du midi traversait l'étang des «<Lamas>> et arrivait jusqu'au bastion Sud-Est à la place, où se trouve actuellement la Chapelle; et celui de l'ouest allait de la Chapelle à la «Tour Blanche». Une partie de cette façade existe encor aujourd'hui, et sur ce mur viennent s'appuyer les serres chaudes dites <<supérieures». En 1818, les murs du «parc aux bêtes» furent détruits, et on utilisa les matériaux pour la construction du bâtiment des «Lamas», de «la Chapelle», de la <<Ferme», de la «Tour Blanche» et de la «Ruine», qui fait partie de ce bâtiment. Les «Lusthaus» des trois bastions, leurs tourelles, leurs coupoles, et leur ornementation intérieure de lambris multicolores furent détruits au commencement du XIX siècle. Seul, l'Arsenal survécut, mais sous un tout autre aspect, que celui qu'il avait primitivement. Avant la construction du mur du «parc aux bêtes» une glacière en pierre, surmontée d'une galerie en bois ajouré, partait de l'intersection de deux percées, dirigées du centre du parc vers les coins et les portes, et aboutissait à un monticule, fait avec la terre provenant du creusement des étangs des «Lamas». Vers 1748 on construisit, d'après les plans |