Uniquement occupés de n'être pas entendus par madame d'Estouteville , nous descendions la tête baissée , parlant bien bas pour qu'elle ne pût nous comprendre. Deux jeunes gens ont passé ; l'un a dit à l'autre : — « Où est donc ce tranquille... Eugene de Rothelin, - Page 149by Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1808 - 161 pagesFull view - About this book
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1822 - 544 pages
...vous!... mais à moi ?... » Elle me voyait affligé ; c'était peut-être notre dernier jour de bonhenr , et elle m'a répondu : — » J'écrirai. » Uniquement...tête , et les ai regardés en frémissant de colère. Athéiiaïs s'est attachée pour ainsi dire à mon bras : elle tremblait : « Et vous, » m'at-elle... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1840 - 524 pages
...qu'elles consentent à dire ; mais vous !... mais à moi !... » —Elle me voyait affligé, c'était peut-être notre dernier jour de bonheur, et elle...Uniquement occupés de n'être pas entendus par madame d'Esiouteville, nous descendions la tête baissée, parlant bien bas pour qu'elle ne pût nous comprendre.... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Sousa-Botelho - French fiction - 1845 - 526 pages
...» Uniquement occupés de n'elre pas entendus par madame d'Estouteville , nous descendions la Iéte baissée , parlant bien bas pour qu'elle ne pût nous...l'autre : « Où est donc ce tranquille monsieur de Hieux? » — J'ai relevé la téte, et les ai regardés eu frémissant de colère. Athénaïs s'est... | |
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