Traité élémentaire de physiologie humaine |
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Traité Élémentaire de Physiologie Humaine Francois Guilbert Viault,Felix Jolyet No preview available - 2018 |
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Common terms and phrases
acide action albumine albuminoïdes alcaline aliments animaux artères artériel azotés bile bulbe c'est-à-dire capillaires carbonique cardiaque cavité cellules centre cérébraux cerveau chimique chlorure de sodium circulation CO² coagulation cœur contractilité contraction corps diastole digestion dilatation diminue divers élastique éléments épithélium excitations expériences externe ferment fibres fibrine forme ganglions glandes globules globules rouges glycogène graisse grenouille hémisphères cérébraux hémoglobine interne l'acide l'action l'air l'animal l'artère l'excitation l'œil l'organisme l'oxygène l'urine larynx leucocytes liquide lymphe manomètre mécanique membrane ment moelle moteurs motrices mouvements muqueuse muscle musculaire nerfs nerveux niveau normal noyau nutrition optique organes ovules oxygène parois pepsine périphérique phénomènes physiologique plasma pneumogastrique postérieure poumon pression produit protoplasma pulmonaire pulsations quantité réflexe respiration respiratoires rétine salive sang sanguine secousse sécrétion section sensation sensibilité sérum spermatozoïdes substance sucre surface système systole température tension tétanos thoracique tion tissus tube urée vaisseaux valvules variations vasculaire vaso-dilatateurs veine porte veines veineux ventriculaire ventricule vésicule
Popular passages
Page 760 - Ainsi, 1° on peut retrancher, soit par devant , soit par derrière, soit par en haut, soit par côté , une portion assez étendue des lobes cérébraux, sans que leurs fonctions soient perdues. Une portion assez restreinte de ces lobes suffit donc à l'exercice de leurs fonctions.
Page 368 - ... sous ce point de vue, les animaux qui respirent sont de véritables corps combustibles qui brûlent et se consument.
Page 761 - La faculté de percevoir, de juger, de vouloir une chose , réside dans le même lieu que celle d'en percevoir, d'en juger, d'en vouloir une autre; et conséquemment cette faculté, essentiellement une, réside essentiellement dans un seul organe.
Page 595 - Quand un point de la rétine est impressionné par une lumière qui subit des variations périodiques et régulières, et que la durée de la période est suffisamment courte, il...
Page 649 - ... c'est le sens par lequel il est le plus tôt , le plus souvent et le plus sûrement averti , par lequel il agit , il se détermine ; par lequel il reconnoît ce qui est convenable ou contraire à sa nature ; par lequel enfin il aperçoit , sent et choisit ce qui peut satisfaire son appétit.
Page 649 - La plupart des animaux ont l'odorat si parfait, qu'ils sentent de plus loin qu'ils ne voient : non seulement ils sentent de très loin les corps présents et actuels, mais ils en sentent les émanations et les traces long-temps après qu'ils sont absents et passés. Un tel sens est un organe universel de sentiment ; c'est un œil qui voit les objets non seulement où ils sont, mais même par-tout où ils ont été...
Page 753 - ... dans le cervelet réside une propriété dont rien ne donnait encore l'idée en physiologie, et qui consiste à coordonner les mouvements voulus par certaines parties du système nerveux , excités par d'autres.
Page 740 - ... que la pathologie cérébrale est si riche de faits qu'elle n'en refuse à aucun système : tout ce qu'on veut y voir on l'y trouve, tout ce qu'on lui demande elle le donne; suivant la manière dont on l'interroge, elle conduit à l'erreur, au doute ou à la vérité.
Page 790 - Flourens (3), perdent toute perception, toute intelligence en général ; ils perdent encore jusqu'à ces instincts propres, inhérents à chaque espèce et si tenaces en chacune d'elles. D'un autre côté, comme nul de ces instincts, comme nulle des facultés intellectuelles et perceptives ne se perd par l'ablation du cervelet ou par celle des tubercules quadrijumeaux, il en résulte, ajoute cet auteur, que tous ces instincts, que toutes ces facultés appartiennent donc bien exclusivement aux lobes...
Page 501 - ... balancement perpétuel qui doit exister entre la circulation centrale et la circulation périphérique. Si la sensibilité des parois du cœur est excitée par une réplétion sanguine trop forte, il en résulte une action réflexe énergique qui dilate les vaisseaux capillaires et attire le sang à la périphérie. Si au contraire la sensibilité interne du cœur est trop faiblement excitée, les vaisseaux périphériques se resserrent et refoulent le sang vers le centre circulatoire.