(620 p.)Libr. de Guillaumin et Cie., 1867 |
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... se satisfaire aux dépens d'autrui ne pussent se développer ? Non , assurément ; ce serait là , sans doute , un progrès immense , et de la pleine réalisation duquel les sociétés les plus avancées sont encore 12 INTRODUCTION .
... se satisfaire aux dépens d'autrui ne pussent se développer ? Non , assurément ; ce serait là , sans doute , un progrès immense , et de la pleine réalisation duquel les sociétés les plus avancées sont encore 12 INTRODUCTION .
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... sociétés , embrassant à la fois leur présent et leur avenir , c'est le perfectionnement , généralisé le plus possible , de nos facultés physiques , intellectuelles et morales , lequel a , pour conséquence certaine , l'amélioration de la ...
... sociétés , embrassant à la fois leur présent et leur avenir , c'est le perfectionnement , généralisé le plus possible , de nos facultés physiques , intellectuelles et morales , lequel a , pour conséquence certaine , l'amélioration de la ...
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... sociétés ? Quant à la grande objection de M. Cousin , sur une règle de conduite qui impo- serait à tous l'obligation de posséder la science des intérêts généraux , au point d'avancement où elle serait parvenue , avant de savoir comment ...
... sociétés ? Quant à la grande objection de M. Cousin , sur une règle de conduite qui impo- serait à tous l'obligation de posséder la science des intérêts généraux , au point d'avancement où elle serait parvenue , avant de savoir comment ...
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... sociétés cette nouvelle règle de con- » duite , c'est d'avoir confondu deux choses qui demeureront éternelle- » ment distinctes , le sentiment et la raison . Quelques efforts que l'on >> fasse pour les concilier , ces deux mobiles ...
... sociétés cette nouvelle règle de con- » duite , c'est d'avoir confondu deux choses qui demeureront éternelle- » ment distinctes , le sentiment et la raison . Quelques efforts que l'on >> fasse pour les concilier , ces deux mobiles ...
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... sociétés ; tous ils imaginent >> une panacée et la déclarent propre à guérir nos mille souffrances . » Hobbes , avec l'antiquité , a pour idéal l'obéissance ; Harrington adoptera » une loi d'équilibre ; certaines sectes modernes l ...
... sociétés ; tous ils imaginent >> une panacée et la déclarent propre à guérir nos mille souffrances . » Hobbes , avec l'antiquité , a pour idéal l'obéissance ; Harrington adoptera » une loi d'équilibre ; certaines sectes modernes l ...
Common terms and phrases
accumulations Adam Smith associations assurément banques besoins billets billets de banque c'est-à-dire capitaux causes Charles Comte Charles Dunoyer chemins de fer choses circulation circulation fiduciaire civilisation classes concurrence conditions conséquences considérable consommations constitue crédit d'autres denrées déterminer développement directions diverses division des travaux doctrines échanges économistes entrepreneurs entreprises espèce États-Unis exploitations facultés fécondité forces productives garanties gouvernements hausse houille individuelle indus industrie industrielles intérêts Journal des Économistes l'autorité l'échange l'économie politique l'ensemble l'État l'industrie l'intérêt commun l'unité monétaire légale liberté des travaux lois loppement masse ment mesure monnaie fiduciaire morale moyens de production multiplication multitude nations nature naturelles nécessaires nombre nuisibles numéraire objets valables opérations ouvriers perfectionnement peuvent populations possible professions progrès propriété puissance quantité réduction régime rémunération rente résultats résulte richesses salaires saurait science science économique serait services personnels services productifs seulement social sociétés taux tendances tion transactions travailleurs unités utilités valables valeur d'échange valeur de l'unité vérité
Popular passages
Page 218 - Sachez sur-tout que le luxe enrichit Un grand état, s'il en perd un petit. Cette splendeur, cette pompe mondaine, D'un règne heureux est la marque certaine.
Page 37 - L'homme n'est pas ici-bas seulement pour être heureux ; il n'y est même pas pour être simplement honnête ; il y est pour réaliser de grandes choses par la société, pour arriver à la noblesse (à la sainteté, comme disait le christianisme) et dépasser la vulgarité où se traîne l'existence de presque tous les individus.
Page 124 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile.
Page 583 - État qui rapetisse les hommes, afin qu'ils puissent être entre ses mains les instruments dociles de ses projets (même bienfaisants), s'apercevra qu'on ne peut faire de grandes choses avec de petits hommes, et que la perfection de mécanisme à laquelle il a tout sacrifié finira par ne lui servir de rien, faute du pouvoir vital qu'il lui a plu de proscrire pour faciliter le jeu de la machine.
Page 128 - Or, cette attente, cette persuasion ne peuvent être que l'ouvrage de la loi. Je ne puis compter sur la jouissance de ce que je regarde comme mien, que sur la promesse de la loi qui me le garantit.
Page 28 - La justice, c'est-à-dire le respect de la personne dans tout ce qui la constitue, voilà le premier devoir de l'homme envers son semblable. Ce devoir est-il le seul? « Quand nous avons respecté la personne des autres, que nous n'avons ni contraint leur liberté, ni étouffé leur intelligence, ni maltraité leur corps, ni attenté à leur famille ou à leurs biens, pouvons-nous dire que nous ayons accompli toute la morale à leur égard?
Page 27 - Le bonheur public doit être l'objet du législateur : l'utilité générale doit être le principe du raisonnement en législation. Connaître le bien de la communauté dont les intérêts sont en question , voilà ce qui constitue la science ; trouver les moyens de le réaliser, voilà ce qui constitue l'art. Ce principe de...
Page 124 - Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé , eût crié à ses semblables : Gardez-vous d'écouter cet imposteur; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous , et que la terre n'est à personne!
Page 218 - La république a bien affaire De gens qui ne dépensent rien! Je ne sais d'homme nécessaire Que celui dont le luxe épand beaucoup de bien. Nous en usons. Dieu sait: notre plaisir occupe L'artisan, le vendeur, celui qui fait la jupe.
Page 128 - L'idée de la propriété consiste dans une attente établie, dans la persuasion de pouvoir retirer tel ou tel avantage selon la nature du cas. Or, cette persuasion, cette attente ne peut être que l'ouvrage de la loi.