Histoire de la littérature française depuis ses origines jusqu'à nos jours, Volume 1 |
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... autre spectacle non moins frap- pant la science s'émancipe d'une tutelle longtemps bien- faisante ; l'Église n'est plus le seul pouvoir moral , l'esprit humain commence à s'affranchir . Bientôt il se fortifie par l'héritage de l ...
... autre spectacle non moins frap- pant la science s'émancipe d'une tutelle longtemps bien- faisante ; l'Église n'est plus le seul pouvoir moral , l'esprit humain commence à s'affranchir . Bientôt il se fortifie par l'héritage de l ...
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... autre : les haches de pierre résonnaient .... Ils frappaient pesamment sur leurs blancs boucliers , leurs armures étaient ébranlées , mais leurs corps restaient immo- biles . » C'est avec cette grandeur et cette simplicité digne d'Ho ...
... autre : les haches de pierre résonnaient .... Ils frappaient pesamment sur leurs blancs boucliers , leurs armures étaient ébranlées , mais leurs corps restaient immo- biles . » C'est avec cette grandeur et cette simplicité digne d'Ho ...
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Jacques Demogeot. temps deux autres traits de la physionomie germanique qui se conserveront longtemps dans notre histoire ... autre , le respect profond pour les femmes , cette espèce de culte protecteur que Tacite signalait déjà chez les ...
Jacques Demogeot. temps deux autres traits de la physionomie germanique qui se conserveront longtemps dans notre histoire ... autre , le respect profond pour les femmes , cette espèce de culte protecteur que Tacite signalait déjà chez les ...
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... autre . Quand on eut donné lecture de la lettre du pape Agapet , on fut obligé de la traduire en langue tudesque , pour que les rois pussent l'entendre . Les princes de la troisième race , au contraire , cultivèrent avec soin l'idiome ...
... autre . Quand on eut donné lecture de la lettre du pape Agapet , on fut obligé de la traduire en langue tudesque , pour que les rois pussent l'entendre . Les princes de la troisième race , au contraire , cultivèrent avec soin l'idiome ...
Page 55
... autres allant se eter dans la mer de Toscane , qui baigne un pays barbare , érissé d'écueils et de récifs : ainsi la ... autre , épandu au nord de la Loire , rencontrant partout des Ger- mains , des Kymris , des Northmans , se chargea d ...
... autres allant se eter dans la mer de Toscane , qui baigne un pays barbare , érissé d'écueils et de récifs : ainsi la ... autre , épandu au nord de la Loire , rencontrant partout des Ger- mains , des Kymris , des Northmans , se chargea d ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 427 - Tout est dit : et l'on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu'il ya des hommes, et qui pensent.
Page 587 - Car vos beaux yeux sont pleins de douceurs infinies, Car vos petites mains, joyeuses et bénies, N'ont point mal fait encor; Jamais vos jeunes pas n'ont touché notre fange, Tête sacrée! enfant aux cheveux blonds!
Page 586 - C'est que l'amour, la tombe, et la gloire, et la vie, L'onde qui fuit, par l'onde incessamment suivie, Tout souffle, tout rayon, ou propice ou fatal, Fait reluire et vibrer mon âme de cristal, Mon âme aux mille voix, que le Dieu que j'adore Mit au centre de tout comme un écho sonore.
Page 394 - Mon imitation n'est point un esclavage : Je ne prends que l'idée, et les tours, et les lois Que nos maîtres suivaient eux-mêmes autrefois. Si d'ailleurs quelque endroit plein chez eux d'excellence Peut entrer dans mes vers sans nulle violence, Je l'y transporte, et veux qu'il n'ait rien d'affecté, Tâchant de rendre mien cet air. d'antiquité.
Page 587 - Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire, Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie Et sa bouche aux baisers ! ^Seigneur!
Page 595 - ... grandeur royale, qui donnent de la saillie au crime ; et maintenant mêlez à toute cette difformité morale un sentiment pur, le plus pur que la femme puisse éprouver, le sentiment maternel ; dans votre monstre, mettez une mère ; et le monstre intéressera, et le monstre fera pleurer, et cette créature qui faisait peur fera pitié, et cette âme difforme deviendra presque belle à vos yeux.
Page 348 - Tous ces crimes d'État qu'on fait pour la couronne. Le ciel nous en absout alors qu'il nous la donne, Et dans le sacré rang où sa faveur l'a mis Le passé devient juste et l'avenir permis.
Page 393 - Et j'aimerais mille fois mieux Un glaive aux mains d'un furieux Que l'étude en certains génies. Ronsard est dur, sans goût, sans choix, Arrangeant mal ses mots, gâtant par son françois Des Grecs et des Latins les grâces infinies. Nos aïeux, bonnes gens, lui laissaient tout passer, Et d'éruditions ne se pouvaient lasser. C'est un vice aujourd'hui : l'on oserait à peine En user seulement une fois la semaine. Quand il plaît au hasard...
Page 314 - Les cendres des brûlés sont précieuses graines , Qui , après les hivers noirs d'orage et de pleurs , Ouvrent, au doux printemps , d'un million de fleurs Le baume salutaire , et sont nouvelles plantes , Au milieu des parvis de Sion florissantes.
Page 595 - Prenez la difformité physique la plus hideuse, la plus repoussante, la plus complète ; placez-la là où elle ressort le mieux, à l'étage le plus infime, le plus souterrain et le plus méprisé de l'édifice social ; éclairez de tous côtés, par le jour sinistre des contrastes, cette misérable créature ; et puis jetez-lui une âme, et mettez dans cette âme le sentiment le plus pur qui soit donné à l'homme, le sentiment paternel.