L'AME HEUREUSE. fleureuse et bien heureuse, entre toutes ses sœurs Est l'âme solitaire, L'âme qui, méprisant le monde et ses splendeurs, L'âme qui toute à Dieu rêve un autre séjour D'un indicible amour! Heureuse l'âme pure, heureuse l'âme douce Qu'un siècle dégradé méconnaît et repousse, Qui demande à souffrir pourvu que Dieu la voio, Dont la source est ailleurs ! Et les yeux vers le ciel, suivant son humble route, L'offrande de ses pleurs ! Ces pleurs Dieu les reçoit, ces pleurs Dieu les aspire. De son éternité. FIN DE LA QUATRIÈME PARTIE, |