Dictionnaire des sciences philosophiques, Volume 1 |
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absolue âme Anaxagore animaux Aristote attribue Bacon beau c'est-à-dire caractère Carnéade cartésianisme cause choses Chrysippe Cicéron Condillac Confucius connaissance conscience conséquent considérer corps d'Aristote Descartes développement Dieu Diogène Laerce disciples distinction distingue divine doctrine école écrits éléments elle-même esprit existence facultés force forme général grec hommes idées infini intel jugement Kant l'âme l'autre l'école l'esprit humain l'être l'existence l'histoire l'homme l'idée l'intelligence l'unité l'univers Leibniz Leipzig liberté livre Locke logique lois losophie lui-même Maine de Biran Malebranche matière ment métaphysique méthode monde morale mouvement nature nécessaire notion objets opinions organes ouvrages panthéisme pensée phénomènes philo philoso philosophie physique Pierre d'Ailly Platon Plotin premier principe propre psychologie publié puissance pure qu'une question raison rapport religion reste rien saint saint Augustin scepticisme science scolastique sens sensation sentiment seul sophie sorte Spinoza stoïciens substance système théologie théorie tion traité universelle vérité volonté vrai
Popular passages
Page 265 - Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris, musulmane en ces lieux.
Page 104 - Les Pères nous montrent un juste en la personne de saint Pierre, à qui la grâce, sans laquelle on ne peut rien, a manqué.
Page 278 - Mais séparables ou non , l'espace a des parties que l'on peut assigner , soit par le moyen des corps qui s'y trouvent, soit par les lignes ou les surfaces qu'on y peut mener. Prétendre que l'espace infini est sans parties, c'est prétendre que les espaces finis ne le composent point, et que l'espace infini pourrait subsister quand tous les espaces finis seraient réduits à rien. Voilà donc...
Page 292 - Locke distingue deux sources de nos idées, les sens et la réflexion. Il serait plus exact de n'en reconnaître qu'une, soit parce que la réflexion n'est dans son principe que la sensation même, soit parce qu'elle est moins la source des idées, que le canal par lequel elles découlent des sens.
Page 180 - ... s'ils sont corporels ou incorporels, ni s'ils existent séparés des objets sensibles ou dans ces objets et en faisant partie; ce problème est trop difficile et demanderait des recherches plus étendues.
Page 272 - Doctrine ou les quatre livres de philosophie morale et politique de la Chine, traduction du chinois par MG Pauthier. i vol 15 fr. 'CORNEILLE (P.). — Théâtre précédé des discours sur le poème dramatique, suivi d'un examen analytique des pièces non comprises dans la présente édition et d'un choix de poésies diverses.
Page 312 - La raison est en quelque sorte le pont jeté entre la psychologie et l'ontologie , entre la conscience et l'être; elle pose à la fois sur l'une et sur l'autre; elle descend de Dieu et s'incline vers l'homme ; elle apparaît à la conscience comme un hôte qui lui apporte des nouvelles d'un monde inconnu dont il lui donne à la fois et l'idée et le besoin. Si la raison était personnelle, elle serait de nulle valeur et sans aucune autorité hors du sujet et du moi individuel. Si elle restait à...
Page 26 - Euler, sur la discontinuité des fonctions arbitraires qui entrent dans les intégrales des équations aux différences partielles; question plus importante , et sur laquelle leurs ouvrages ont répandu plus de lumière. Les premiers principes du mouvement, comme la loi du levier, celle de...
Page 157 - Divertissements, parties de plaisir, jeux, collations, voyages à la campagne, visites et telles autres récréations nécessaires à quantité de gens d'étude (à ce qu'ils disent) ne sont pas mon fait; je n'y perds point de temps. Je n'en perds point aux soins domestiques, ni à briguer quoi que ce soit, ni à des sollicitations, ni à telles autres affaires.
Page 88 - Arcésilas lui opposait les illusions des rêves et du délire, la diversité des opinions humaines, les contradictions de nos jugements (ibid., c.