Œuvres completes de Voltaire, Volume 10la Société Littéraire-typographique, 1785 |
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Page 11
... aime à voir Philippe de Mornai , ce fidele et ftoïque ami , à côté de fon jeune et vaillant maître , repouffer par - tout la mort , et ne la donner jamais ! Cette fageffe philofophique eft bien éloignée des mœurs de notre fiècle ; et il ...
... aime à voir Philippe de Mornai , ce fidele et ftoïque ami , à côté de fon jeune et vaillant maître , repouffer par - tout la mort , et ne la donner jamais ! Cette fageffe philofophique eft bien éloignée des mœurs de notre fiècle ; et il ...
Page 22
... aimé , et fa gloire à être jufte . Notre Defcartes , le plus grand philofophe de l'Europe , avant que le chevalier Newton parût , a dédié fes Principes à la célèbre prin- ceffe Palatine Elifabeth ; non pas , dit - il , parce qu'elle ...
... aimé , et fa gloire à être jufte . Notre Defcartes , le plus grand philofophe de l'Europe , avant que le chevalier Newton parût , a dédié fes Principes à la célèbre prin- ceffe Palatine Elifabeth ; non pas , dit - il , parce qu'elle ...
Page 61
... aimé ; Fier ennemi de Rome , et de Rome eftimé . A travers deux rochers , où la mer mugiffante Vient brifer en courroux fon onde blanchiffante , Dieppe aux yeux du héros offre fon heureux port Les matelots ardens s'empreffent fur le ...
... aimé ; Fier ennemi de Rome , et de Rome eftimé . A travers deux rochers , où la mer mugiffante Vient brifer en courroux fon onde blanchiffante , Dieppe aux yeux du héros offre fon heureux port Les matelots ardens s'empreffent fur le ...
Page 77
... fort des combats refpecta quarante ans : ,, Frappez , ne craignez rien , Coligni vous pardonne ; ,, Ma vie eft peu de chofe , et je vous l'abandonne ...... " J'euffe aimé mieux la perdre en combattant pour vous G 3 CHANT SECOND . 77.
... fort des combats refpecta quarante ans : ,, Frappez , ne craignez rien , Coligni vous pardonne ; ,, Ma vie eft peu de chofe , et je vous l'abandonne ...... " J'euffe aimé mieux la perdre en combattant pour vous G 3 CHANT SECOND . 77.
Page 78
Voltaire Pierre Augustin Caron de Beaumarchais. " J'euffe aimé mieux la perdre en combattant pour vous ... " , Ces tigres à ces mots tombent à fes genoux : L'un faifi d'épouvante abandonne fes armes ; L'autre embraffe fes pieds qu'il ...
Voltaire Pierre Augustin Caron de Beaumarchais. " J'euffe aimé mieux la perdre en combattant pour vous ... " , Ces tigres à ces mots tombent à fes genoux : L'un faifi d'épouvante abandonne fes armes ; L'autre embraffe fes pieds qu'il ...
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Common terms and phrases
affaffins affez affurément ainfi auffi bataille d'Ivry Bourbon c'eft c'eſt Catherine de Médicis CHANT Charles IX ciel cieux Colbert Coligni combats Condé confeil courage crime d'Aumale deffeins deftin DIEU Difcorde duc de Guife duc de Mayenne efprits Elifabeth enfans ennemis eſt facrés fage faibleffe fainte fang fans fecours fecret fefait fein femble fent fervir fes yeux feul fiècle fiége foit foldats fon fils fon père fon poëme font fous fouvent fuivi fujet fureur gloire guerre Henri Henri III Henri IV Henriade héros Homère hommes Jacques Clément Jeanne d'Albret jufte l'édition de 1723 l'Eglife l'hiftoire l'Iliade laiffe Ligue Ligueurs long-temps lorfque Louis Lucain maffacre maifon main malheureux Mayenne Médicis Milton miniftre monftre mort n'eft Navarre paffer paffions par-tout perfonne peuple plaifirs plufieurs poëfie poëme épique poëte préfent prince proteftans puiffant refpect refte religion rois Rome Saint-Barthelemi ſes ſon Taffe trépas trône tyrans Valois vertu Virgile
Popular passages
Page 78 - Des assassins trop lents il veut hâter les coups : Aux pieds de ce héros il les voit trembler tous.
Page 79 - Des fureurs des humains c'est ce qu'on doit attendre; Mais ce que l'avenir aura peine à comprendre, Ce que vous-même encore à peine vous croirez, Ces monstres furieux, de carnage altérés, Excités par la voix des prêtres sanguinaires, Invoquaient le Seigneur en égorgeant leurs frères, Et, le bras tout souillé du sang des innocents, Osaient offrir à Dieu cet exécrable encens. O combien de héros indignement périrent! Resnel...
Page 173 - S'élancent loin des rangs, d'une course assurée : Sanglants, couverts de fer, et la lance à la main, D'un choc épouvantable ils se frappent soudain. La terre en retentit, leurs lances sont rompues : Comme en un ciel brûlant deux effroyables nues...
Page 43 - Et vouloir aux lecteurs plaire sans agrément. Bientôt ils défendront de peindre la Prudence, De donner à Thémis ni bandeau ni balance, De figurer aux yeux la Guerre au front d'airain...
Page 175 - Vient d'un pied chancelant sur ces funestes bords: Elle cherche ; elle voit dans la foule des morts, Elle voit son époux ; elle tombe éperdue ; Le voile de la mort se répand sur sa vue : Est-ce toi, cher amant...
Page 147 - Du Dieu qui nous créa la clémence infinie, Pour adoucir les maux de cette courte vie, A placé parmi nous deux êtres bienfaisants, De la terre à jamais aimables habitants, Soutiens dans les travaux, trésors dans l'indigence, L'un est le doux sommeil, et l'autre est l'espérance...