Les livres nouveaux, essais critiques sur la littérature contemporaine |
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... jour le plus défavorable . MM . Roederer et de Monmerqué , les premiers de nos jours , tentèrent d'édudier le siècle de Louis XIV et de ra- mener l'opinion publique leurs efforts , tout en produi- sant un effet sérieux , n'eurent pas ...
... jour le plus défavorable . MM . Roederer et de Monmerqué , les premiers de nos jours , tentèrent d'édudier le siècle de Louis XIV et de ra- mener l'opinion publique leurs efforts , tout en produi- sant un effet sérieux , n'eurent pas ...
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... jour n'est pas encore prêt à arriver , où on aura tout dit sur cette brillante époque . Il ne faut pas croire cependant que cette réaction soit uniquement due à un besoin d'em- ployer des forces intellectuelles lasses d'un trop long ...
... jour n'est pas encore prêt à arriver , où on aura tout dit sur cette brillante époque . Il ne faut pas croire cependant que cette réaction soit uniquement due à un besoin d'em- ployer des forces intellectuelles lasses d'un trop long ...
Page 7
... jour nouveau ces mêmes grands jours qui ont laissé une si terrible renommée dans la France centrale . Les biographies de M. de Grignan et de M. d'Argenson , achèvent de faire connaître le sujet qui m'occupe , l'une en donnant l'esquisse ...
... jour nouveau ces mêmes grands jours qui ont laissé une si terrible renommée dans la France centrale . Les biographies de M. de Grignan et de M. d'Argenson , achèvent de faire connaître le sujet qui m'occupe , l'une en donnant l'esquisse ...
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... jour davantage dans ses pensées . Du reste , elle n'im- portuna plus son père , lui témoigna toujours la même dé- férence , la même affection ; mais M. Pascal étant mort le 24 septembre 1654 , sa fille annonça aussitôt se résolution d ...
... jour davantage dans ses pensées . Du reste , elle n'im- portuna plus son père , lui témoigna toujours la même dé- férence , la même affection ; mais M. Pascal étant mort le 24 septembre 1654 , sa fille annonça aussitôt se résolution d ...
Page 18
... jours nobles et grandes , qui m'avez montré la beauté vé– « ritable et dégouté des attachemens vulgaires . C'est vous qui m'avez appris à fuir les sentiers de la foule , et , au << lieu d'élever ma fortune , à tâcher d'élever mon cœnr ...
... jours nobles et grandes , qui m'avez montré la beauté vé– « ritable et dégouté des attachemens vulgaires . C'est vous qui m'avez appris à fuir les sentiers de la foule , et , au << lieu d'élever ma fortune , à tâcher d'élever mon cœnr ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 58 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine; et en effet ils sont des hommes.
Page 340 - Pourquoi, durant les nuits, sa douce voix se mêle Au doux bruit des ruisseaux sous l'ombrage roulant : Je chantais, mes amis, comme l'homme respire, Comme l'oiseau gémit, comme le vent soupire, Comme l'eau murmure en coulant.
Page 79 - A cet aspect magique, l'imagination, le sentiment de la gloire s'exaltant à la fois, les soldats s'écrièrent tous ensemble : « Moscou ! Moscou ! » Ceux qui étaient restés au pied de la colline se hâtèrent d'accourir ; pour un moment, tous les rangs furent confondus et tout le monde voulut contempler la grande capitale, où nous avait conduits une marche si aventureuse. On ne pouvait se rassasier de ce spectacle éblouissant et fait pour éveiller tant de sentiments divers. Napoléon survint...
Page 6 - ... l'administration consiste dans un ensemble de moyens destinés à faire arriver le plus promptement, le plus sûrement possible , la volonté du pouvoir central dans toutes les parties de la société , et à faire remonter vers le pouvoir central, sous les mêmes conditions, les forces de la société, soit en hommes, soit en argent.
Page 126 - Arthénice, où se rendaient tant de personnes de qualité et de mérite qui composaient une cour choisie, nombreuse sans confusion, modeste sans contrainte, savante sans orgueil, polie sans affectation.
Page 335 - La curiosité n'est pas un goût pour ce qui est bon ou ce qui est beau, mais pour ce qui est rare, unique, pour ce qu'on a et ce que les autres n'o'nt point. Ce n'est pas un attachement à ce qui est parfait, mais à ce qui est couru, à ce qui est à la mode. Ce n'est pas un amusement, mais une passion, et souvent si violente, qu'elle ne...
Page 34 - ... car la Révolution a eu deux phases bien distinctes : la première pendant laquelle les Français semblent vouloir tout abolir dans le passé; la seconde où ils vont y reprendre une partie de ce qu'ils y avaient laissé.
Page 204 - L'œil, l'œil au ciel, faictes vostre debvoir De la entendre. Soit tost ou tard ce corps deviendra cendre, Car à nature il fault son tribut rendre , Et de cela nul ne se peult deffendre, II fault mourir.
Page 175 - Dieu tout-puissant, qui m'avez créé et racheté, je vous adore. » Conservez les jours du Roi mon père et ceux de ma famille. » Protégez-nous contre nos ennemis! Donnez à madame de Tourzel les forces dont elle a besoin pour supporter les maux qu'elle endure à cause de nous!
Page 18 - Euphémie, âmes aussi fortes que tendres, qui, après avoir jeté tant d'éclat, avez voulu vous éteindre dans l'obscurité et dans le silence, donnez-moi quelque chose de votre courage, enseignez-moi à sourire, comme vous, à la solitude, à la vieillesse, à la maladie, à la mort. Disciples de Jésus-Christ, joignez-vous à son précurseur sublime pour me répéter, au nom de...