La société française du XVIe au XXe siècle: XVIIe siècle. 2e série |
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... l'éloquence de la chaire 1 , inconnue aux religions païennes , semble plus facile à atteindre que l'éloquence de la tribune ou celle du barreau , puisqu'elle a pour complices , en quelque sorte pour collaborateurs , Dieu , la foi , le ...
... l'éloquence de la chaire 1 , inconnue aux religions païennes , semble plus facile à atteindre que l'éloquence de la tribune ou celle du barreau , puisqu'elle a pour complices , en quelque sorte pour collaborateurs , Dieu , la foi , le ...
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... l'éloquence chrétienne au IVe siècle . — His- torielles de Tallemant des Réaux . Petit de Julleville : Histoire de la langue el de la littérature françaises , t . II , III , V : Articles de Z : tent le caractère et s'élèvent à la ...
... l'éloquence chrétienne au IVe siècle . — His- torielles de Tallemant des Réaux . Petit de Julleville : Histoire de la langue el de la littérature françaises , t . II , III , V : Articles de Z : tent le caractère et s'élèvent à la ...
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... l'éloquence politique et religieuse , et Essai sur l'éloquence et la philosophie de saint Bernard en France aux XIV , XVo , XVI ° siècles . Histoire littéraire de la France , t . XXI , XXIV , XXV et XXVI , articles de Victor Le Clerc ...
... l'éloquence politique et religieuse , et Essai sur l'éloquence et la philosophie de saint Bernard en France aux XIV , XVo , XVI ° siècles . Histoire littéraire de la France , t . XXI , XXIV , XXV et XXVI , articles de Victor Le Clerc ...
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... éloquence s'épanouit de nouveau , dans la deuxième partie du XVIIe siècle , avec un éclat , une force , une clarté de ... l'éloquence de la chaire suit le train général de l'esprit humain , sa ré- forme marche à peu près du même pas que ...
... éloquence s'épanouit de nouveau , dans la deuxième partie du XVIIe siècle , avec un éclat , une force , une clarté de ... l'éloquence de la chaire suit le train général de l'esprit humain , sa ré- forme marche à peu près du même pas que ...
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... l'éloquence de la chaire , très théâtrale , a ses coudées franches à une époque où la religion est en vérité le tout de l'homme , pénètre toutes choses , do- mine , écrase , enchante les pensées , les volontés , sinon les actes , où le ...
... l'éloquence de la chaire , très théâtrale , a ses coudées franches à une époque où la religion est en vérité le tout de l'homme , pénètre toutes choses , do- mine , écrase , enchante les pensées , les volontés , sinon les actes , où le ...
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Common terms and phrases
Abbé aime âmes assez beau beauté belle Boileau Bossuet Bouillon Bourdaloue burlesque cardinal de Retz chaire Charles charme choses chrétien ciel clergé cœur comte concile de Bâle Condé Conti costume cour courtisan d'autrefois dames Daniel de Cosnac dévotion diable Dieu dire divin doute duchesse églises éloquence éventail évêque femmes fille François de Sales Fronde galanterie gens goût Henri Henri IV Histoire homme Jésuites Jésus-Christ jour l'abbé l'Église l'éloquence l'esprit l'Évangile l'éventail l'hôtel l'oraison funèbre Louis XIV Madame Marie marquise Mascaron Massillon Mazarin Menot ment Mme de Sévigné mode monde morale Olivier Maillard orateurs parlement parole passe passion péchés pensées Père personne peuple Pierre de Ségur plaisir Port-Royal prèche prêcher prêcheurs prédicateur prêtre prince princesse Rambouillet réforme reine religieux rien Roquette sacrées saint François Saint-Simon Satan satire Scudéry seigneurs Senault sermon sermonnaires seul société française sorte souvent talent tête teurs tion trouvait voilà XVIe XVIIe siècle
Popular passages
Page 171 - Dans un palais doré, Damon, jaloux et blême, Fait des vers où jamais personne n'entend rien. Il n'est ni courtisan, ni guerrier, ni chrétien; Et souvent, pour rimer, il s'enferme lui-même. La Muse, par malheur, le hait autant qu'il l'aime. Il a d'un franc poète et l'air et le maintien.
Page 244 - Quoi, mon Père, direz-vous qu'un des vôtres n'ait pas fait imprimer dans un de ses livres qu'un chrétien n'est pas obligé d'aimer Dieu ? Osez-vous dire que cela est faux ? — Monsieur, dit le Père en fureur, il faut distinguer.
Page 287 - On essaye le corps; il est à peindre. Le roi arrive, le tailleur dit: "Madame, il est fait pour vous." On comprend que c'est une galanterie; mais qui peut l'avoir faite? "C'est Langlée, dit le roi. — C'est Langlée assurément...
Page 171 - Il veut juger de tout et n'en juge pas bien. Il a pour le Phébus une tendresse extrême. Une sœur vagabonde, aux crins plus noirs que blonds, Va par tout l'univers promener deux tétons Dont, malgré son pays, Damon est idolâtre. Il se tue à rimer pour des lecteurs ingrats, L'Enéide, à son goût, est de la mort-aux-rats, Et, selon lui, Pradon est le roi du théâtre.
Page 230 - Dieu, si l'on faisait son devoir ; rien ne me donne de distraction ; je vois ce carrosse qui avance toujours, et qui n'approchera jamais de moi ; je suis toujours dans les grands chemins; il me semble que j'ai quelquefois peur que ce carrosse ne verse ; les .pluies qu'il fait depuis trois jours me mettent au désespoir, le Rhône me fait une peur étrange.
Page 223 - Toute sa chaleur est à l'esprit ; à la vérité, elle récompense bien la froideur de son tempérament. Si l'on s'en rapporte à ses actions, je crois que la foi conjugale n'a point été violée ; si l'on regarde l'intention, c'est une autre chose : pour en parler franchement, je crois que son mari s'est tiré d'affaire devant les hommes, mais je le tiens cocu devant Dieu.
Page 185 - En voyant ces œillets qu'un illustre guerrier Arrosa d'une main qui gagna des batailles, Souviens-toi qu'Apollon bâtissait des murailles, Et ne t'étonne pas si Mars est jardinier.
Page 96 - ... si vous remontez jusqu'à la source d'où cette opulence est venue , à peine en trouverez-vous où l'on ne découvre , dans l'origine et dans le principe, des choses qui font trembler.
Page 122 - Dieu, mais ce qui est sans doute le plus sage devant le monde : et parce qu'en le faisant ainsi l'on y met toujours des préalables, qui en couvrent une partie ; et parce que l'on évite, par ce moyen, le plus dangereux ridicule qui se puisse rencontrer dans notre profession, qui est celui de mêler à contre-temps le péché dans la dévotion*.
Page 244 - Mon père, ne me pressez point." Le Père continue. Enfin Despréaux le prend par le bras, et le serrant bien fort, lui dit: "Mon Père, vous le voulez.